Patrimoine et mémoire de l’esclavage

Sous-titre
comment exposer les collections liées à cette histoire ?
DEMANDEZ LE PROGRAMME // Lundi 25 novembre de 18h à 20h30

Comment des musées de types variés, dont les projets scientifiques et culturels, les modes d’approche et les moyens diffèrent, répondent-ils aux questions que pose l’exposition des collections liées à l’histoire de l’esclavage ?

Cette soirée aura pour objectif d'aborder cette période, non plus seulement d'un point de vue économique ou historique, mais en humanisant les récits grâce aux traces tangibles parvenues jusqu'à nous (moulages, lettres et archives, artefacts, beaux-arts, témoignages des descendants). Il s'agira de redonner une voix, un visage, à ces personnes par le biais des collections muséales. 

Alors que le ministère de la Culture travaille sur la valorisation de « patrimoines contestés » ; alors que la question de la « décolonisation » des musées, des collections et des modes de fonctionnement de nos établissements est au cœur des réflexions menées par la communauté des professionnels en France comme à l’étranger, notamment au sein de l’ICOM ; alors que la question des droits humains est de plus en plus présente dans nos échanges professionnels, cette soirée propose un temps de partage d’expériences et de réflexions de professionnels autour de cette question de fond qui concerne aujourd’hui un large éventail de typologies de musées.

Ouverture de la rencontre par :

  • Charles Personnaz, directeur de l'Inp
  • Emilie Girard, présidente d'ICOM France

Focus sur les intervenants

 

Crédits photographiques : Aly Ndiaye - Philippe Ruel ; Nathalie Bondil - Max Abadian 2019

Modalités

INSCRIPTIONS

Evénement public, ouvert uniquement sur inscription.

Participation sur plate-forme numérique

Lien à venir

Participation sur place

Auditorium Jacqueline Lichtenstein de l’institut national du patrimoine :
2 rue Vivienne – 75002 Paris
Accueil du public à partir de 17h40

Rencontre simultanément traduite en anglais, espagnol et français avec le soutien du ministère de la Culture