
Recherche
Résultats de la recherche
2104 résultats trouvés
La régie des œuvres ou le quotidien d’un musée
Contenu de la formation
L’ensemble des tâches et des activités liées à la régie des œuvres est aujourd’hui parfaitement intégré au fonctionnement quotidien des musées nationaux et des collectivités territoriales. En se généralisant dans les établissements, le métier s’est étoffé en termes de compétences mais aussi en termes de responsabilités notamment ces 10 dernières années. La régie des collections et des expositions demande ainsi des connaissances très spécifiques. La gestion du mouvement des œuvres constitue le socle commun de compétences mais les questions de conservation préventive, de cadre assurantiel, de planification et de méthodes auxquelles s’ajoutent les préoccupations liées au développement durable ou à l’informatique documentaire génèrent la mise en œuvre de savoir-faire particuliers. Qu’en est-il dans le quotidien du musée ? Comment la théorie rejoint-elle la pratique ? Quelles modalités opérationnelles sont mises en place ?
S’appuyant sur l’expérience croisée des musées de Strasbourg, cette formation a pour but de donner aux participants des outils et des exemples de bonnes pratiques transposables dans leur quotidien pour fluidifier les opérations de régie. Une alternance entre exposés et rencontres avec des professionnels de la régie ainsi que des mises en situation permettra à chacun de s’approprier les contenus proposés.
Coordonnateur : Ludovic Chauwin, régisseur des collections, département de la régie des collections, direction des musées, direction de la culture, Ville de Strasbourg
Public concerné : régisseurs d’œuvres d’art, conservateurs du patrimoine et des bibliothèques, chargés d’études documentaires, attachés de conservation, assistants de conservation, responsables de collections patrimoniales, professionnels du patrimoine d’Etat, des Collectivités territoriales et du secteur privé.
Prix : 870 euros / nombre de places : 30
Candidatures pour le DU Delphine Lévy –
Présentation du DU
Depuis 2022, la Fondation de l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne héberge une nouvelle chaire conçue en hommage à l’action de Delphine Lévy, fondatrice et directrice générale de Paris Musées jusqu’à sa disparition prématurée en 2020. La Chaire Delphine Lévy est consacrée à des actions visant à favoriser l’accès le plus large possible aux collections des musées et au patrimoine culturel. La Chaire a permis la mise en place d’un diplôme universitaire (DU) inédit dans le champ de l’enseignement supérieur, qui se propose d'être un espace de transmission d’outils et de méthodes pluridisciplinaires, mais aussi de discussion sur la construction d’une culture de l'accessibilité à tous les niveaux des institutions patrimoniales. À ce titre, il s’adresse aux professionnels et futurs professionnels de ces institutions.Validé en un an, le DU accueille à parité des étudiants en formation initiale, qui le suivent en complément de leur Master 2 ou de leur doctorat, et des professionnels dans le cadre de la formation continue, afin d’encourager le partage d’expérience et la construction d'un réseau. Il fait intervenir des professionnels du
secteur et des chercheurs de différents champs lors de cours théoriques, de visites sur le terrain et de workshops hors les murs. Les activités liées à ce DU représentent environ 100 heures sur l’année académique aménagées de manière à être compatibles avec une activité professionnelle, le suivi d’un Master 2, ou les recherches doctorales. Elles requièrent toutefois motivation, capacité de travail et aptitude à l’échange.
Composer son dossier de candidature :
- Curriculum vitae
- Lettre de motivation
- Lettre de recommandation d’un enseignant-chercheur
Plus d'information dans le document ci-contre
Conférence annuelle du comité international ICOM GLASS
Le thème de la conférence annuelle du Comité international pour les musées et collections de verre - GLASS - est "Le verre au Tyrol".
Mag. Christina Zenz, chef intérimaire du département de l'art avant 1900 dans les musées d'État du Tyrol à Innsbruck / Dr. Christina Wais-Wolf, Corpus Vitrearum Österreich, Österreichische Akademie der Wissenschaften / Institute for Habsburg and Balkan Studies, Milan Hlaveš, membre du conseil d'administration et Eva-Maria Günther, trésorière du Comité du verre de l'ICOM, ont organisé cette réunion et nous ont préparé un programme de visites varié.
A Innsbruck, le musée d'art populaire tyrolien accueillera deux sessions de communications et l'assemblée générale annuelle d'ICOM Glass. Le programme comprend des visites de la collection de verre Strasser (château d'Ambras), du dépôt du musée et des ateliers de restauration des musées d'État du Tyrol, ainsi que des excursions à Hall, Kramsach, Rattenberg, Kufstein et Wattens, où l'on fabrique de la verrerie tyrolienne depuis plusieurs siècles.
Frais de participation : environ 100 euros.
Comme les années précédentes, des présentations de 15 minutes sont également proposées. Si vous souhaitez faire une présentation, veuillez contacter l'adresse électronique suivante : ruriko.tzchida@gmail.com
La date limite de soumission des titres et des résumés est fixée au 20 juin. Nous remercions tous les membres qui ont déjà soumis des articles.
Programme ci-joint
Conférence annuelle du comité international ICOM GLASS
Le thème de la conférence annuelle du comité international pour les musées et collections de verre - GLASS - est "Le verre au Tyrol".
Mag. Christina Zenz, chef intérimaire du département de l'art avant 1900 dans les musées d'État du Tyrol à Innsbruck / Dr. Christina Wais-Wolf, Corpus Vitrearum Österreich, Österreichische Akademie der Wissenschaften / Institute for Habsburg and Balkan Studies, Milan Hlaveš, membre du conseil d'administration et Eva-Maria Günther, trésorière du Comité du verre de l'ICOM, ont organisé cette réunion et nous ont préparé un programme de visites varié.
A Innsbruck, le musée d'art populaire tyrolien accueillera deux sessions de communications et l'assemblée générale annuelle d'ICOM Glass. Le programme comprend des visites de la collection de verre Strasser (château d'Ambras), du dépôt du musée et des ateliers de restauration des musées d'État du Tyrol, ainsi que des excursions à Hall, Kramsach, Rattenberg, Kufstein et Wattens, où l'on fabrique de la verrerie tyrolienne depuis plusieurs siècles.
Frais de participation : environ 100 euros.
Comme les années précédentes, des présentations de 15 minutes sont également proposées. Si vous souhaitez faire une présentation, veuillez contacter l'adresse électronique suivante : ruriko.tzchida@gmail.com
La date limite de soumission des titres et des résumés est fixée au 20 juin. Nous remercions tous les membres qui ont déjà soumis des articles.
"Matière, Matérialité"
Le 36e congrès du CIHA de Lyon 2024 accueillera, au cours de 4 jours, plus de 90 sessions autour du thème "Matière, Matérialité" . Ces sessions sont réparties entre 14 thèmes :
- Penser la matière
- Les Matériaux de l'Œuvre
- La Fabrique de l'Art
- Facteurs Économiques
- Écologie et Politique
- Anthropologie
- Matérielle du Travail Imaginaire des Matériaux
- Dématérialisation/Rematérialisation
- Apparence et perception
- Nouvelles matérialités Immatérialité/Éphémère
- Patrimonialisation
- Histoire Matérielle des Objets
- Histoire de la Conservation Politique
- Éthique du "Care"
Nous vous invitons vivement à soumettre vos propositions de communication !
La liste des sessions est disponible sur le site internet
Les propositions de communications doivent inclure :
- Un titre
- Un résumé de 300 à 500 mots
- Un CV de 500 signes
Les propositions seront étudiées par les présidents et présidentes de sessions.
Clôture : 15 septembre 2023
Pour toute information complémentaire sur l’appel à communications, contactez le secrétariat scientifique du CIHA : CIHA-Lyon-2024@cfha-web.fr
Pour toute question technique concernant votre soumission, contactez : contact@cihalyon2024.fr
Pour toute question concernant le contenu des appels à communications, contactez les présidents et présidentes des sessions concernées.

Les Assises de l’histoire de l’art
Les premières Assises de l’histoire de l’art en France se tiendront en collaboration avec le Domaine départemental de Sceaux et la mission de préfiguration du Musée du Grand Siècle.
L'objectif de cette journée est de réunir toute la communauté de l’histoire de l’art en France : aussi bien le monde de la recherche universitaire que les professionnels du patrimoine et de sa conservation-restauration, ainsi que les acteurs du marché de l’art, de l’édition, de la critique et de la collection.
Le programme s'organisera en quatre temps, avec, entre autres, les interventions suivantes :
1. Quel musée pour Notre-Dame de Paris ? 10h15-11h
Aline Magnien (directrice du laboratoire de recherche des monuments historiques), Philippe Plagnieux (professeur, Panthéon-Sorbonne, président de l’APAHAU), Jonathan Truillet (conservateur en chef, Directeur adjoint des opérations, Établissement public en charge de la cathédrale Notre-Dame de Paris), et Philippe Villeneuve (architecte en chef des monuments historiques en charge de la restauration et de la reconstruction de Notre-Dame de Paris). Modération : Judith Kagan (conservatrice générale, sous-direction des monuments historiques et des sites patrimoniaux).
Pavillon de l’Aurore (30 places).
2. Le mécénat privé et la recherche - 11h30-12h45
Bénédicte Gady (conservatrice, musée des Arts Décoratifs-Paris), Estelle Guille des Buttes (conservatrice en chef, adjointe au sousdirecteur de la politique des musées, Service des Musées de France), France Nerlich (professeure, université de Tours ; Directrice du DER, INHA), Lionel Sauvage (collectionneur) et Kathy Alliou (directrice du département des Œuvres, Beaux-Arts de Paris). Modération : Olivia Voisin (directrice des musées d’Orléans).
Pavillon de l’Aurore (30 places).
3. Musées de proximité : quel rôle dans l'enseignement de l’histoire de l’art ? 14h15-15h30
Marion Abbadie (attachée de conservation, musées de Poissy), Défendin Détard (doctorant, professeur agrégé d’histoiregéographie) et Émilie Maisonneuve (conservatrice, directrice du Musée Lambinet, de l’espace Richaud et du carré à la farine, Versailles) Modération : Karen Chastagnol (directrice, musée du Domaine royal de Marly) et Alexandra Zvereva (responsable des collections patrimoniales, directrice du Musée Ducastel-Vera, Saint-Germain-en-Laye).
Salle de l’Intendance (30 places).
4. Les restitutions des biens spoliés pendant la Seconde Guerre mondiale : où en est-on ? 15h45 - 17h
Margaux Dumas (docteure, laboratoire ICT de Paris-Cité), Corinne Hershkovitch (avocate au barreau de Paris) et Isabelle RougeDucos (conservatrice, Mission de recherche et de restitution des biens culturels spoliés entre 1933 et 1945). Modération : Juliette Trey (directrice adjointe du département des études et de la recherche, INHA).
Salon blanc (château, 50 places).
5. Les collections ukrainiennes et leur avenir : témoignages et projets - 15h45 - 17h
Olga Apenko (conservatrice au Musée Khannenko et chargée de mission au musée du Louvre), Lidia Apollonava (historienne de l'art, spécialiste des avant-gardes) et Olga Balashova (directrice du Board du NGO, musée ukrainien pour l'art contemporain) (programme sous réserve de modification en fonction de l’actualité). Modération : Corentin Dury (conservateur, musée des Beaux-Arts d’Orléans ; doctorant).
Salle de l’Intendance (30 places).
Retrouvez l'ensemble des interventions dans le programme ci-contre.
Les Actualités
Enquête de conservation préventive sur la sobriété énergétique dans les musées
Le C2RMF lance une enquête sur la sobriété énergétique dans les musées
Dans le contexte actuel de recherche de sobriété énergétique, le Département de la conservation préventive du C2RMF réalise une enquête sur les actions mises en place par les musées de France pendant l’hiver 2022-2023 et leur impact éventuel sur la conservation des collections. Cet état des lieux visera à produire un guide de bonnes pratiques à mettre en place pour l’hiver 2023-2024.
Pour ce faire, nous vous remercions de bien vouloir compléter le questionnaire ci-dessous avant le 31 juillet 2023 :
Pour toute information ou question complémentaire, vous pouvez contacter Juliette REMY, cheffe du Département de la conservation préventive à l’adresse suivante: juliette.remy@culture.gouv.fr
En savoir plus sur la sobriété énergétique :
La sobriété énergétique est la diminution des consommations d'énergie par des changements de modes de vie et des transformations sociales. Ce concept politique se traduit notamment par la limitation, à un niveau suffisant, des biens et services, produits et consommés. Centrée sur les comportements, l'organisation et la structure de la société, la sobriété énergétique se distingue des autres démarches de transition énergétique par son approche non techniciste. Sa confusion avec l'efficacité énergétique demeure fréquente.
La sobriété énergétique peut amener à reconsidérer les besoins au regard de leur coût environnemental.
Chiffres-clés des acteurs du PCSTI en France 2022
L’OCIM lance sa nouvelle enquête « Chiffres-clés des acteurs du PCSTI en France 2022 ».
Cette enquête dresse un panorama des acteurs du patrimoine et de la culture scientifique, technique et industrielle (PCSTI). Elle permet de disposer d’indicateurs concernant le poids économique de ces acteurs, leurs activités et la couverture territoriale de leurs actions en métropole et Outre-mer.
Grâce à des données chiffrées, ce travail d’observation permet également à l’ensemble des acteurs de mieux se situer dans leur champ professionnel. Cette année, une attention particulière est portée aux enjeux liés à la diversité ainsi qu’aux rapprochements entre la science et la société que les institutions muséales et patrimoniales contribuent à façonner.
L''Ocim est un centre national d'idéation, de savoirs partagés et de référence pour les professionnel·le·s et chercheur·e·s des musées, du patrimoine et de la culture scientifique, technique et industrielle (PCSTI). Depuis 2015, l’Ocim dresse chaque année un panorama du PCSTI en France pour comprendre ce que représente ce champ en termes d'emplois, de publics, de poids économique et de couverture territoriale. Ce questionnaire a pour objectif de récolter les données 2022.
Vous pouvez répondre à cette enquête jusqu'au 14 juillet 2023.
Ce questionnaire comporte 5 parties :
- Le/la répondant·e et la direction
- Le profil de la structure
- Les activités de la structure
- Focus sur les activités "science et société"
- Enquête spéciale "Muséums"
Vous aurez besoin de divers documents : données RH et budgétaires, chiffres de la fréquentation le cas échéant.
Répondre à cette enquête vous prendra environ 30 minutes.
Des ruines au jardin
Le numéro 46 des Cahiers de Mariemont entreprend d’explorer les différentes facettes de l’intégration des ruines, réelles ou factices, dans l’art du jardin.
Proposez vos articles en français et en anglais jusqu'au 15 octobre 2023
La revue des Cahiers de Mariemont fait appel aux historien.nes, historien.nes de l’art, archéologues, architectes, urbanistes, botanistes, jardinier.ère.s et autres spécialistes de l’aménagement des jardins pour mettre au jour les caractéristiques communes et les grandes évolutions de la pratique de l’intégration des ruines dans les jardins européens au cours des siècles. Il s’agira également d’identifier les enjeux et les stratégies actuels de gestion et de valorisation de cette pratique. Les articles, dépassant l’étude de cas, privilégieront une démarche d’analyse et de mise en perspective diachronique, thématique (types de faits archéologiques, de publics, d’environnements, de climats...) ou territoriale.
Voici une liste non exhaustive de pistes de réflexion à explorer :
- L’appropriation des ruines, réelles ou factices, transparaît très tôt dans l’art du jardin. Après l’essor de la fabrique au dernier quart du XVIIIème siècle, quelle a été la place des ruines dans les tendances et les styles d’aménagement du XIXe siècle à nos jours ? Peut-on dessiner des évolutions à l’échelle régionale ou européenne ?
- Pour les propriétaire(s) ou le(s) commanditaire(s) qui ont intégré des ruines dans des jardins, quels ont été les enjeux de cette intégration ? Que souhaitaient-ils faire voir et faire comprendre grâce aux ruines ? Aujourd’hui, un concept de « jardin archéologique » semble s’être développé en France. Que recouvre-t-il ?
- Quel a été le rôle de l’aristocratie, de la bourgeoisie et d’autres acteur.ice.s public.que.s ou privé.e.s dans la préservation (ou non) de ruines historiques dans leurs jardins ? Quel a été l’impact de la législation, des politiques publiques, puis des processus de classements dans cette préservation ?
- Les ruines sont un objet de fascination atemporel. Encore aujourd’hui de nombreux artistes s’en inspirent. Quelle est leur réinterprétation de ce type de paysage ? Quelle marge de manœuvre l’artiste s’autorise-t-il par rapport à la réalité dans ses représentations ? Quels sont les apports de l’étude de la représentation artistique des ruines à l’archéologie ?
- Le jardin se transforme au fil du temps et ces transformations nécessitent des adaptations. Comment les ruines y ont-elles été entretenues, restaurées ou réutilisées (pour de nouveaux usages) au cours du temps ? Quelle a été l’évolution des méthodes et des techniques de protection et de valorisation, de médiation ?
- Comment a été pensé l’aménagement jardinier autour des ruines, quels ont été les codes et les types de végétaux ou d’artefacts en usage ? Existe-t-il une « bonne » manière de faire cohabiter végétation et vestiges archéologiques dans les jardins ? Quelle est l’influence du changement climatique et de la conscience écologique croissante sur la conception de ces jardins ? Comment ces pratiques ont-elles évolué au cours du temps ? Que dit cette évolution de la perception de la ruine et du jardin ?
- Dans le cadre de restaurations, quelles ont été les approches de reconstitution, recomposition ou restitution des ruines dans les jardins ? Et selon quelles ressources : documentaires (archives, iconographies...), archéologiques (sondages, fouilles...), artistiques (littérature, peinture...) ?
- Quel est le rôle des paysagistes ou des jardiniers dans l’intégration des ruines dans les jardins ? Quelle part de créativité leur est laissée dans un lieu contraint par les exigences de l’archéologie ?
- Il conviendrait également d’aborder la question du financement de la préservation des ruines dans les jardins. Par exemple, quel a été le rôle des acteur.ice.s privé.e.s dans la mise en valeur paysagère de vestiges archéologiques au cours des XIXe et XXème siècles ?
- L’intégration et la valorisation de ruines dans les jardins peut participer à la promotion touristique locale ayant un rôle au-delà des frontières du jardin lui-même. Mise en scène, valorisée voire expliquée, la ruine nous rattache au passé, ancre le présent dans l’histoire locale. Comment son apparence peut-elle se donner à voir comme une mise en récit ou un faire-valoir d’une histoire parfois complexe dans laquelle est invité le visiteur/promeneur ? Quelle est l’expérience faite par le promeneur d’un jardin intégrant des ruines ou d’un jardin archéologique?
Les propositions de contributions, en français ou en anglais (comprenant un résumé de 2 000 à 3 000 signes espaces compris, avec un titre provisoire, une courte bibliographie sur le sujet, et une biographie de 2 ou 3 lignes) sont à envoyer à l’éditeur des Cahiers de Mariemont, Jean-Sébastien Balzat (jean-sebastien.balzat@musee-mariemont.be) avant le 15 octobre 2023.
Le texte de l’article ainsi qu’un résumé (français et anglais) et 10 mots clés (français et anglais) sont attendus pour le 15 mars 2024.