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Réouverture des musées : partage de documents
ICOM France relaie les documents administratifs nécessaires à la reprise d'activité d'un musée.
Situé à Nice, le musée national du Sport - dirigé par Marie Grasse - réouvre ses portes aux publics jeudi 13 mai, en accord avec la préfecture des Alpes-Maritimes.
Vous trouverez ci-dessous la liste des documents préparés par ce musée en amont de la réouverture :
Protocole de reprise d'activité
Protocole sanitaire Covid-19 dans les réserves du musée
Liste des fournitures générales nécessaires au respect des consignes sanitaires
Réouverture des musées : où en sommes-nous ?

Animée par Juliette Raoul-Duval, la rencontre s'est déroulée en deux temps :
- Interventions d'Emilie Girard (MuCEM) ; Catherine Grenier (Fondation Giacometti) ; Marie Lavandier (musée du Louvre-Lens) ; Cyrille Sciama (musée des impresssionnismes - Giverny) ; Jérôme Farigoule (SMF)
- débat avec l'ensemble des participants
Réouverture des musées : où en sommes-nous ?
Animée par Juliette Raoul-Duval, la rencontre s'est déroulée en deux temps :
- Interventions d'Emilie Girard (MuCEM) ; Catherine Grenier (Fondation Giacometti) ; Marie Lavandier (musée du Louvre-Lens) ; Cyrille Sciama (musée des impresssionnismes - Giverny) ; Jérôme Farigoule (SMF)
- débat avec l'ensemble des participants
Patrimonialisations de la littérature
Thème de l'appel à contribution
La cristallisation de la littérature dans la mémoire collective et sa circulation dans l’espace public reposent essentiellement sur de grands noms, de grandes oeuvres et forgent un mythologie qui fait l’objet d’une médiation spécifique. C’est ce qui fait de la littérature un patrimoine partagé. Mais comment ce patrimoine se construit-t-il et se diffuse-t-il ?
Pendant longtemps, les études littéraires se sont centrées sur l’analyse des oeuvres, et des oeuvres les plus canoniques en particulier. Même les études de réception se consacraient le plus souvent à la façon dont les écrivains étaient reçus par leurs pairs. Ce n’est que plus récemment que la manière dont les oeuvres et leurs auteurs accédaient à la reconnaissance a été interrogée, à travers les notions de légitimation, de sacralisation ou de canonisation.
Depuis une dizaine d’années, ces phénomènes et procédés ont été envisagés comme processus de patrimonialisation, qu’il s’agisse de rendre compte de la présence de l’oeuvre hors du livre (Depoux), son adaptation, sa diffusion via des collections de monographies illustrées (Labbé, Martens, Scibiorska), sa mise en scène au sein de maisons d’écrivains (Régnier), ou l’entrée de l’auteur dans les programmes scolaires et dans la statuaire publique (Labbé).
La notion de patrimoine, d’abord en usage dans les domaines architectural, naturel et technique, est aujourd’hui régulièrement utilisée dans le domaine des arts et en particulier en littérature, ce qui invite à interroger les dynamiques de patrimonialisation propres à ce champ et à poser la question des instances qui déterminent ce phénomène. En effet, ces dernières semblent à la fois plus nombreuses et moins centrales que les institutions susceptibles de patrimonialiser des ressources naturelles ou des bâtiments situés dans l’espace public, par exemple. Comment la « raison patrimoniale » (Poulot, 2006) se traduit-elle dans le champ littéraire ? Entre consécration et popularisation, la patrimonialisation de la literature s’effectue par le biais d’un vaste ensemble de discours et d’images, mais aussi à travers la thésaurisation et la sélection explicites qu’opèrent ces institutions diverses à l’attention des générations futures, même lorsqu’elles présentent leurs choix comme un simple enregistrement de ce qui résiste à l’épreuve du temps.
Alors que les politiques patrimoniales engagées au XIXe siècle et relancées sous l’impulsion d’André Malraux dans les années 1950 ont été suivies d’une diffusion massive, voire d’une banalisation de la notion de patrimoine elle-même, les études concernant la patrimonialisation n’ont véritablement pris leur essor que dans les années 1990, peu après la théorisation de la post-modernité, qui avait mis en évidence le rôle des oeuvres du passé dans la création contemporaine. À partir des travaux de Dominique Poulot en histoire de l’art, de ceux de Jean Davallon en sciences de l’information et de la communication, ou de ceux de Nathalie Heinich en sociologie, par exemple, la notion de patrimonialisation a ainsi été explorée pour des objets sensiblement distincts de la littérature, repérés notamment en raison de leur matérialité marquée et des questions du lien entre patrimonialisation et politiques de conservation. L’histoire de l’art se penche, quant à elle, sur l’évolution de la notion d’« objets de mémoire » (Debary et Turgeon) en fonction, notamment, de l’idée d’une qualité esthétique et d’une réception contextuelle, tout en situant dans l’histoire la naissance d’une distinction entre patrimoine matériel et immatériel (Poulot).
Ce dossier s’emploiera à répondre à ces questions en s’intéressant aux mécanismes qui font de la littérature et des écrivains des êtres patrimoniaux, ainsi qu’aux modes de diffusion des oeuvres et des figures littéraires à travers différentes sphères médiatiques. Trois axes de recherche, non exclusifs les uns des autres, sont envisageables :
- Axe 1 – Discours et images
- Axe 2 – Médias
- Axe 3 – Institutions et réseaux
L’étude des modes de patrimonialisation de la littérature mène, comme on le voit, à une extension du domaine traditionnellement dévolu aux études littéraires en mettant en lumière la constitution d’un savoir sur l’histoire littéraire et culturelle couplé à l’établissement d’une affectivité induite par le rapport ainsi institué avec un passé rendu présent, disponible, et valorisé. Du côté des disciplines qui ont développé des travaux d’envergure sur le patrimoine et sa constitution, la confrontation avec les objets proposés par la patrimonialisation de la littérature et des écrivains conduit, en raison des nécessaires ajustements conceptuels que suppose le recours à une notion élaborée pour éclairer d’autres phénomènes, à une remise en perspective de la notion elle-même et des approches auxquelles elle a jusqu’à présent donné lieu.
Ce dossier de Culture & Musées aura pour finalité de présenter ces nouvelles tendances, convergentes dans des champs disciplinaires distincts, en cartographiant leurs lignes de force et en examinant les enjeux épistémologiques qu’elles soulèvent, en ce qu’elles engagent l’adoption d’approches interdisciplinaires et de points de vue résolument croisés. Pour favoriser un tel questionnement, le dossier réunira des chercheurs venus d’horizons disciplinaires distincts en les invitant à confronter leurs perspectives et leurs objets aux approches développées non seulement au sein des sciences de l’information et de la communication et des études littéraires, mais aussi dans le cadre des études culturelles, de l’analyse du discours, de la sociologie, ainsi que de la muséologie.
Les résumés comporteront :
un titre, 5 mots clés, 5 références bibliographiques (mobilisées dans le projet d’article), les noms, adresse électronique, qualité et rattachement institutionnel (Université, laboratoire) de leur auteur.e. ainsi qu’une courte biographie et 3 références bibliographiques (pour chaque auteur.e). Ils détailleront l’ancrage disciplinaire ou interdisciplinaire de la recherche, la problématique, le terrain ou le corpus, la méthodologie employée, le cas échéant, une première projection sur les résultats.
Envoi des propositions d’articles à :
Marcela Scibiorska : marcela.scibiorska(a)uclouvain.be
Mathilde Labbé : mathilde.labbe(a)univ-nantes.fr
David Martens : david.martens(a)kuleuven.be
Copie à : Dominique Poulot, directeur de rédaction : culturedominique(a)gmail.com
Musées et COVID-19
La pandémie COVID-19 a perturbé les activités des musées du monde entier, menaçant leur survie financière ainsi que les moyens de subsistance de milliers de leurs professionnels des musées.
Afin de recueillir des informations sur la manière dont l’épidémie actuelle de COVID-19 affecte et affectera le secteur culturel à court et à long terme, l’ICOM a lancé une enquête mondiale pour analyser l’impact des mesures de la mise en quarantaine.
Elle a porté sur 5 thèmes :
- la situation des musées et du personnel,
- l’impact économique prévu,
- le numérique et la communication,
- la sécurité des musées et la conservation des collections,
- les professionnels indépendants des musées.
Le rapport a permis l’analyse de près de 1 600 réponses à l’enquête recueillies entre le 7 avril 2020 et le 7 mai 2020 auprès de musées et de professionnels des musées, représentant 107 pays et 5 continents.
En parallèle, le rapport de l’UNESCO “Les musées dans le monde face à la pandémie de COVID-19” (mai 2020) contient les résultats de son enquête menée à l’échelle internationale sur l’impact de la COVID-19 sur les musées. Le rapport fournit un nouveau regard sur les chiffres et les grandes tendances concernant les musées du monde, les mesures qu’ils ont prises pour répondre à la pandémie et les actions proposées pour la période post-COVID. Le rapport souligne la capacité de résilience des musées, ainsi que les défis auxquels ils sont confrontés dans leurs efforts pour continuer à promouvoir l’accès à la culture.
RÉSUMÉ DES CONCLUSIONS
En avril, presque tous les musées du monde entier ont été fermés à cause de la pandémie COVID-19, selon 94,7 % des personnes interrogées.
Pendant la période de fermeture, de nombreux musées ont renforcé leurs activités numériques. Bien que près de la moitié des personnes interrogées aient répondu que leur musée était déjà présent sur les réseaux sociaux ou permettait déjà l’accès à ses collections en ligne avant la fermeture, les activités de communication numérique analysées par l’enquête ont augmenté pour au moins 15 % des musées, en particulier concernant les activités sur les réseaux sociaux, en hausse pour plus de la moitié des musées ayant participé.
La plupart des professionnels des musées travaillaient à domicile : dans 84 % des musées ayant répondu, au moins une partie du personnel travaillait à domicile pendant la période de fermeture.
La situation des employés permanents semble relativement stable. Néanmoins, dans 6 % des cas, les contrats n’ont pas été renouvelés ou ont été résiliés.
La situation des professionnels indépendants des musées est quant à elle alarmante : 16,1 % des personnes interrogées ont déclaré avoir été mis en chômage partiel, et 22,6 % n’ont pas vu leur contrat renouvelé. Le secteur des freelances est très fragile : 56,4 % des personnes interrogées ont déclaré qu’elles devront suspendre le paiement de leur propre salaire en raison de la crise, 39,4 % ont déclaré que leurs entreprises réduiront leurs effectifs.
De même, presque tous les musées du monde réduiront leurs activités suite la pandémie COVID-19, près d’un tiers d’entre eux réduiront leur personnel et plus d’un dixième pourraient être contraints de fermer définitivement. 82,6 % des personnes interrogées prévoient que les programmes des musées devront être réduits et 29,8 % s’attendent à une réduction du personnel. 12,8 % des participants craignent que leur musée ne ferme.
Les fermetures toucheront particulièrement les régions où les musées sont récents et peu nombreux et où les structures sont encore fragiles : dans les pays africains, asiatiques et arabes, respectivement 24, 27 et 39 % craignent que les musées ne ferment, contre seulement 12, 10 et 8 % en Amérique latine et aux Caraïbes, en Amérique du Nord et en Europe.
En général, la sécurité et la conservation du patrimoine dans les musées se sont poursuivies pendant toute la période de quarantaine : environ 80 % des personnes interrogées ont déclaré que les mesures de sécurité et de conservation avaient été maintenues ou renforcées pour faire face au manque de personnel sur place. Toutefois, en Afrique, en Amérique latine et dans les Caraïbes, ces mesures ont été jugées insuffisantes par près de 20 % des personnes interrogées.
Une fois de plus, l’ICOM, qui représente la communauté internationale des musées, appelle les responsables politiques et les décideurs à allouer d’urgence des fonds de secours pour sauver les musées et leurs professionnels, afin qu’ils puissent survivre à la crise et poursuivre leur mission vitale de service public. La reprise de nos économies et le processus de guérison de nos sociétés après la crise COVID-19 seront longs et complexes. Les musées, en tant que protagonistes exceptionnels du développement local et en tant que lieux incomparables de rencontre et d’apprentissage pour tous, auront un rôle important à jouer dans la reconstruction de l’économie locale et dans la réparation du tissu social des communautés touchées.
Cycle bi-mensuel de débats virtuels d'ICOM France
Calendrier du cycle de débats virtuels d'ICOM France
Jeudi 14 mai - séance 1- Réouverture des musées : où en sommes-nous ?
- Jérôme Farigoule, sous-direction de la politique des musées - ministère de la Culture
- Emilie Girard, directrice scientifique et des collections - MuCEM
- Catherine Grenier, directrice - Fondation Giacometti
- Marie Lavandier, directrice , musée du Louvre-Lens
- Cyrille Sciama, directeur - musée des impresssionnismes - Giverny
Mardi 26 mai - séance 2 - Réouverture des musées : où en êtes-vous ?
- Olivier Cogne, directeur - Musée Dauphinois
- Marie Grasse, directrice - Musée national du Sport
- Bruno Maquart, président - Universcience
- Hélène Vassal, cheffe du service des collections - musée national d'Art moderne-CCI, Centre Pompidou
- Charles Villeneuve de Janti, directeur des collections - Paris-Musées
Mardi 9 juin - séance 3 - Réouvertures : l'importance du dialogue local entre musées, représentants de l'Etat et élus.
- Emmanuelle Delapierre, directrice - Musées des beaux-arts de Caen
- Patrick Le Chanu, conseiller musées - DRAC Grand Est
- Christine Martin, adjointe culture - Ville de Dijon
- Xavier Rey, directeur - Musées de Marseille
- Laurent Roturier, directeur - DRAC IdF
- Michel Rouger, directeur - MuséoParc Alésia
Mercredi 24 juin - séance 4 - Aspects économiques et sociaux de la reprise d'activité (budget, subventions, ressources humaines...)
- Marie-Laure Estignard, directrice - Musée des arts et métiers
- Anne-Catherine Hauglustaine, directrice - Musée de l'Air et de l'Espace
- Adrien Joly, directeur du développement - Mucem
- Chloë Theault, conseillère musées - DRAC Occitanie
Mercredi 8 juillet - séance 5 - Premiers retours d'expérience : tourisme et musée font-ils bon ménage cet été ?
- Céline Chanas, présidente FEMS et directrice - Musée de Bretagne
- Laurence Chesneau Dupin - LCD Conseil
- Laure Koupaliantz, directrice du développement touristique - Epernay Agglo Champagne
- David Liot, directeur adjoint - Musée de la Marine
Mercredi 22 juillet - séance 6 - Que prévoyez-vous pour les enfants ? (accueil des centres de loisir, accueil des scolaires à la rentrée, etc.)
- Laurène Bertrand, responsable des publics - Musée National du Sport
- Hélène Fourneaux, responsable du service culturel et éducatif- Musées de Strasbourg
- Virginie Mathurin, chargée de mission "Education artistique et culturelle" - Ministère de la Culture
- Laure Ménétrier, directrice - Musée du vin de Champagne et d'Archéologie régionale
Mercredi 12 août - séance 7 - Conservation, restaurations, sécurité des œuvres, veille sanitaire... où en êtes-vous ?
- Florence Bertin, responsable de la conservation préventive et de la restauration - Musée des Arts décoratifs
- Nathalie Bruhière, conservatrice - restauratrice - FFCR
- Eléonore Kissel, responsable de la conservation restauration - Musée du quai Branly - Jacques Chirac
- Florence Le Corre, conservatrice en charge de la collection photographique - Musée du Service de santé des Armées
- Ariane Segelstein, conservatrice-restauratrice - Bouclier bleu Ile-de-France
- Dominique de Font-Réaulx, directrice de la médiation et de la programmation culturelle - Musée du Louvre
- Philippe Guillet, directeur - Muséum national d'Histoire naturelle
- Sophie Harent, directrice - Musée Magnin
- Pierre-Yves Lochon, fondateur - Club Innovation et Culture CLIC France
Mercredi 9 septembre - séance 9 - Métiers précaires : état des lieux
- Nathalie Bruhière, conservatrice-restauratrice - représentante FFCR
- Marie-Clarté O'Neill, présidente - CECA (Comité international de l'ICOM pour l'éducation et l'action culturelle)
- Odile Boubakeur, conférencière - RMN - Grand Palais et membre élue d'ICOM France
- Pauline Chassaing, responsable des relations internationales - Institut national du patrimoine
Mercredi 7 octobre - séance 10 - En six mois, que de changements ! Si on vous dit résilience, que répondez-vous ?
- Olivier Cogne, directeur - Musée Dauphinois
- Laure Menetrier, directrice - Musée du vin de Champagne et d'Archéologie
- Annabelle Ténèze, directrice - Les Abattoirs, musée d'art moderne et contemporain - Frac Occitanie Toulouse
Chaque rencontre, d'une durée d'1h30, débute à 14h.
Femmes des années 40
La place accordée aux femmes et le regard qu’on leur porte sont autant d’enjeux qui animent aujourd’hui notre société. Loin de la postérité des hommes, les femmes et leurs actions ont souvent été oubliées ou peu valorisées, notamment dans le récit de la Seconde Guerre mondiale. Pourtant, qu’elles soient résistantes, collaborationnistes, soldates, juives, mères de famille ou ménagères, les femmes ont dû se positionner, s’engager ou simplement tenter de survivre à cette période troublée de l’Histoire.
À travers l’exposition Femmes des années 40, le Musée de la Résistance et de la Déportation de l’Isère revient sur l’histoire des femmes iséroises des années 1940, de l’entre-deux-guerres à la Libération. Leurs parcours, leurs choix et leurs rôles sont évoqués grâce à de nombreux documents – photographies, vêtements, témoignages écrits ou filmés, produits de substitution – présentés pour la première fois.
Une exposition inédite qui invite le visiteur à se plonger au cœur du quotidien des femmes des années 1940.
En partenariat avec l’Office national des anciens combattants et victimes de guerre
Cycle de webinars de l'UMAC
Chère communauté UMAC,
A la suite de notre Zoom IMD 2020, beaucoup d’entre vous nous ont demandé d’organiser de nouvelles sessions afin d’échanger sur les expériences vécues par les musées d’universités pendant la période de confinement .
Aujourd’hui, les règles semblent s’assouplir, et nous pouvons discuter des préparatifs de réouvertures, et des réouvertures elles-mêmes.
Il a été également demandé à l’UMAC d’enregistrer ces sessions, et de les rendre accessibles à tous sur notre site internet. C’est ce que nous avons fait.
Du 5 juin au 3 juillet, chaque vendredi, l’UMAC proposera donc 5 webinars, chacun sur une thématique spécifique du confinement (ces webinars sont planifiés sur 2 time zones, vous n’aurez donc pas besoin de vous réveillez en pleine nuit pour les suivre).
Webinar 1 : Réouvrir pour le public
5 juin 2020
Webinar 2 : Réouvrir les collections
12 juin 2020
Webinar 3 : Les leçons du confinement : quelle utilisation du digital ?
19 juin 2020
Webinar 4 : Les leçons du confinement : quid de l’enseignement en ligne?
26 juin 2020
Webinar 5 : Les leçons du confinement : quel futur, à court et moyen termes?
3 juillet 2020
La participation est ouverte à tous, sur inscription. Pour plus d’informations sur nos webinars : http://umac.icom.museum/umac-post-lockdown-series/
Bien à vous,
Marta Lourenço, Université de Lisbonne
Présidente de l'UMAC
Appel à partenariat - Plateforme Europeana
Appel à partenariat
NEMO nous transmet cet appel à partenariat.
La Fondation Musei Senesi (FMS) lance un appel à partenaires pour le programme 2020 CEF Telecom.
L’objectif de cet appel est de soutenir la plateforme paneuropéenne Europeana, qui donne accès aux ressources numériques des institutions culturelles de l’Union européenne.
Europeana permet aux institutions de se connecter, et de partager leurs collections et leurs métadonnées par delà les frontières.
Date limite de soumission : 25 juin 2020
https://ec.europa.eu/inea/en/connecting-europe-facility/cef-telecom/apply-funding/2020-europeana
Cycle de débats virtuels : "Réouvertures, où en êtes-vous?" - Séance 2

Animée par Juliette Raoul-Duval, la rencontre s'est déroulée en deux temps :
- Interventions d'Hélène Vassal (Centre Pompidou), Olivier Cogne (Musée Dauphinois), Bruno Maquart (Universcience), Marie Grasse (Musée national du Sport), Charles Villeneuve de Janti (Paris-Musées)
- débat avec l'ensemble des participants