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Webinaire | Coronavirus (COVID-19) et musées
THÉMATIQUE
Avec l’industrie du tourisme, les secteurs culturels et de la création sont parmi les plus touchés par la crise actuelle du Coronavirus (COVID-19).
Le contexte est particulièrement critique pour les secteurs culturels et de la création en raison de la rupture soudaine et massive des opportunités de revenus, en particulier pour les acteurs les plus fragiles. Certaines parties bénéficient de soutiens publics (par exemple, les musées publics, les bibliothèques et les théâtres) mais peuvent connaître des déficits budgétaires importants.
Le secteur comprend de grandes multinationales ayant des revenus durables (par exemple, Netflix) ; en revanche, des nombreuses petites entreprises et des professionnels indépendants, essentiels pour le secteur, pourraient faire faillite. Cette crise constitue une menace structurelle pour la survie de nombreuses entreprises et de nombreux travailleurs de la production culturelle et créative.
Aujourd’hui plus que jamais, l’importance de la culture et de la créativité pour la société est évidente. La disponibilité de contenus culturels contribue à la santé mentale et au bien-être, et de nombreuses institutions culturelles ont fourni des contenus en ligne et gratuits ces dernières semaines à cette fin. Des modèles commerciaux durables pendant et après la crise initiale sont indispensables à la survie du secteur. Laisser de côté la partie la plus fragile du secteur pourrait causer des dommages économiques et sociaux irréparables. Le défi actuel consiste à concevoir des soutiens publics qui atténuent les impacts négatifs à court terme et aident à identifier de nouvelles opportunités à moyen terme pour les différents acteurs publics, privés et à but non lucratif actifs dans la production culturelle et créative.
Ce webinaire, co-organisé avec l’OCDE, réunira des représentants de la communauté des musées et des gouvernements locaux et nationaux pour faire le point :
- Les impacts à court et long terme de la crise actuelle sur les musées
- Les solutions innovantes mises en place par les musées dans les différents pays
- Les mesures mises en place par les gouvernements nationaux et locaux pour atténuer les effets à court et à long terme de la crise sur les musées et leurs écosystèmes au sens large. Que reste-t-il à faire ?
INTERVENANTS
- Mattia AGNETTI Secrétaire exécutif, Fondazione Musei Civici di Venezia (MUVE), Italie
- Natalie BONDIL Directrice générale et conservatrice en chef, Musée des Beaux-Arts de Montréal, Canada
- Inkyung CHANG Directrice et fondatrice du Musée du fer, République de Corée
- John DAVIES Chercheur économique, Economie créative et analyse des données, nesta
- Peter KELLER Directeur général, ICOM
- Antonio LAMPIS Directeur général des musées, ministère italien du patrimoine culturel et du tourisme (MIBACT)
- Joan ROCA Directeur, Musée d’histoire de Barcelone (MUHBA), Espagne
- Ekaterina TRAVKINA Coordinatrice – Culture, industries créatives et développement local, OCDE
PODCAST
Le Sens de l'objet

La sixième soirée-débat d'ICOM France, organisée avec l’Institut national du patrimoine le 29 janvier 2020, a porté sur le sens de l'objet.
Pour des professionnels de musée, le mot d’objet revêt un sens singulier : il désigne de manière générale ce que le musée conserve, qu’il s’agisse d’une institution muséale de beaux-arts, d’histoire, d’histoire naturelle, de sciences et techniques, d’art contemporain.
Il revient aux professionnels de musée de donner un sens, un langage, une interprétation à l'objet qu'ils conservent ; l'objet est un témoin préservé, pour transmettre la mémoire des arts, des sciences, des sociétés.
Le conserver est la mission première, qui pose néanmoins un certain nombre de questions :
- L’objet a-t-il un sens en lui-même ?
- À quelles conditions restaure-t-on le sens de l'objet ?
- Le sens de l’objet est-il séparable de son contexte ?
- Le sens de l’objet est-il « durable » ?
- ...
Le débat a proposé des approches techniques, scientifiques, mais aussi philosophiques.

Visite numérique sur la Démocratie athénienne
Chaque jour, le Musée des Moulages de l’Université Lumière Lyon 2 vous propose un texte ou une vidéo sur la Démocratie au Ve siècle av. J.-C., et sur la place qu’y occupe le tirage au sort.
Cette visite numérique, réalisée par l’équipe du Musée des Moulages, sera ponctuée par l’intervention d’une archéologue et enseignante-chercheuse, d’un dessinateur de bandes dessinées et d’un politiste.
Boostez votre culture civique en suivant cette visite sur nos pages
Edito d'avril 2020

Chers membres, chers collègues,
90 % des 60 000 musées du monde sont fermés, encore pour de nombreuses semaines : le déconfinement sera progressif. Les musées, partout dans le monde, continuent de faire preuve d’agilité et ont pris un véritable virage digital. L’ enquête de notre partenaire NEMO le montre : 60 % des 650 musées enquêtés ont accru leur présence numérique et 40 % constaté une augmentation de la fréquentation de leurs visites virtuelles, même si seuls 13,4 % ont augmenté leur budget numérique. Dès avant la crise du Covid 19, les établissements muséaux avaient engrangé des productions numériques, comme une dimension essentielle de leur relation à venir avec les publics et notamment à l’égard d’une audience plus jeune.
Signe de l’ampleur de cette présence numérique, des « classements » des meilleures visites virtuelles des musées commencent à sortir dans les pages Culture des hebdos : «Et si on cliquait sur musées ? » titre cette semaine l’Obs. Le rédacteur passe en revue de nombreux sites. Chacun lira son dernier mot à sa façon : « on attendra que les musées rouvrent »… Le monde des musées est dans une réflexion profonde et intense. Sylvie Ramond, directrice des musées d’art de Lyon, s’interroge dans The Art Newspaper Daily, « sur le modèle productiviste de nos musées » … et Fabrice Hergott, directeur du musée d’art moderne de la ville de Paris Musées, y rappelle que « la fréquentation des musées est un bien irremplaçable ». Mais l’acuité des réflexions prospectives ne peut pas masquer une actualité sombre : l’association américaine des musées estime que 30 % des musées américains risque de ne pas réouvrir, tant semblent insurmontables les pertes de recettes déjà enregistrées. En Europe, la majorité des musées n’a pas débauché ses équipes salariées, selon la même enquête de NEMO. Toutefois, des musées associatifs commencent à avoir quelques craintes et les professionnels prestataires sont très affectés. La fédération française des conservateurs restaurateurs s’en alarme notamment : au-delà des ressources financières de leurs membres, c’est l’état des collections qui serait en jeu, à leurs yeux.
Les solidarités s’organisent : un article conjoint des ministres de la culture d’Italie, d’Espagne et d’Allemagne est paru dans le journal Tagsspiegel le 4 avril. Il conclut : « nous sommes d’autant plus déterminés à protéger notre bien le plus précieux : notre foi dans la solidarité et le pouvoir de la culture ». Le ministre français de la culture s’est engagé « à ne laisser personne sur le bord de la route […] la culture aura un rôle majeur à jouer pour nous permettre de retrouver des jours meilleurs ». Devant la commission culture du Sénat, le ministre a annoncé la création d’une « cellule patrimoine » afin d’accompagner les musées, à l’échelle régionale et nationale, lors du déconfinement étalé dans le temps.
A l’international, l’Unesco travaille à élaborer des stratégies pour l’avenir, en se concentrant plus particulièrement sur la région arabe et l’Afrique, car « au terme de cette catastrophe, il faudra sauver nombre de musées […] en sauvant la culture, nous sauvons la société, sa diversité, sa vitalité et sa créativité » dit Anne Marie Afeiche, directrice des musées du Liban.
Pour l’ICOM, cette dramatique situation surgit au cœur d’un mandat qui s’était fixé comme objectif de « redéfinir les musées ». Débat clivant depuis plusieurs mois, on ne peut à l’évidence plus penser aujourd’hui qu’à ce qui nous unit. « On aura besoin des musées pour nous rappeler qui nous sommes et d’où nous venons » écrit la présidente d’ICOM Suay Aksoy dans son courrier aux membres. ICOM est né après la guerre, pour contribuer à la paix entre les hommes. C’est aujourd’hui un réseau de 49 000 professionnels dans 135 pays du monde. Solidarité et partage de compétences (cf. les Recommandations professionnelles pour la préservation des collections) sont sans doute les mots dont nous aurons besoin dans les mois et les années qui viennent.
ICOM a lancé une grande enquête, qui se poursuivra jusqu’à la fin du mois d’avril, pour évaluer la situation de ses membres et leurs besoins. Je vous invite à y répondre nombreux. J’ai demandé à ce que nous puissions disposer d’une extraction des résultats sur notre territoire et de la possibilité d’ajouter des questions spécifiques. N’hésitez pas à en proposer.
Les assemblées annuelles d’ICOM international ne se tiendront pas en juin à l’UNESCO, la plupart des comités internationaux ont reporté leurs réunions annuelles ou sont sur le point de le faire, ou d'en proposer une version à distance. Nous vous tiendrons bien sûr informés des nouvelles échéances.
ICOM France a mis en place une veille de l’activité de ses membres institutionnels, s'engageant à soutenir et à relayer ce réseau et sa créativité. Nous vous en donnons déjà un aperçu. Cette veille se poursuivra au jour le jour et nous la mettrons en ligne toutes les semaines.
Nos collègues ont les yeux tournés vers demain, et pensent déjà à redonner place à chacun dans leur organisation, à mobiliser des ressources, à préparer la réouverture aux publics … C’est aussi notre histoire au présent qui s’écrit, les musées sont là pour conserver aujourd’hui ce qui fera trace dans la mémoire collective de demain. Que devons-nous de ce confinement conserver ? De nombreux artistes s’expriment et plusieurs musées leur font place sur leurs sites et réfléchissent activement aux moyens de soutenir la création contemporaine. Les musées de sciences mesurent leurs responsabilités d’accompagner leurs visiteurs virtuels vers plus de connaissance et de discernement, croire et savoir ce n’est pas la même chose… ; les muséums d’histoire naturelle saisissent l’actualité de l’enjeu de l’environnement ; les musées de société s'engagent sur la manière d'impliquer mieux les publics …
ICOM France continue d’être à votre écoute et à faire lien entre ces membres en relayant leurs informations sur ce site et sur nos réseaux sociaux. Suivez-les et alimentez-les ! ICOM France suit également avec intérêt et engagement les grands questionnements qui émergent et qui transforment notre appréhension des musées et de leur fonctionnement.
Nous continuons à faire vivre le débat, la soirée déontologie du 29 janvier « Le Sens de l’objet » est en ligne depuis quelques jours et sera éditée d’ici la fin du mois ; la journée internationale du 10 mars : « Les musées aujourd’hui et demain ? Définitions, missions et déontologie » est entièrement décryptée, déjà en ligne, en cours de traduction et sera éditée d’ici quelques semaines.
Le rendez-vous du 25 septembre – assemblée générale et journée professionnelle - devrait se dérouler comme prévu à Strasbourg et à l’automne, nos soirées débat déontologie reprendront leur cours à l’Inp.
Bon courage.
Juliette Raoul-Duval,
présidente d'ICOM France
Les musées confrontés aux défis du COVID-19 restent engagés auprès des communautés
Partout dans le monde, les musées et les communautés qu'ils servent, ressentent l'impact du COVID-19 puisqu’il est demandé aux populations de rester chez elles et que les grands rassemblements sont interdits.
Depuis l'apparition du coronavirus, les petites et grandes institutions muséales, aussi bien publiques que privées, ont dû fermer leurs portes, et pour la plupart d'entre elles pour une durée indéterminée. On estime que 90 % des quelques 60 000 musées du monde font l’objet de fermeture totale, partielle ou éventuelle. Quelles que soient leur taille, leur emplacement ou leur statut, les musées sont confrontés à des défis difficiles, tels que la protection de leurs collections, la santé et la sécurité de leur personnel, les questions financières ainsi que l’engagement auprès de leur public. Ils contribuent à notre société, proposent des idées novatrices et inspirent tout le monde en cette période difficile et incertaine.
Trouver des moyens créatifs de servir le public
La culture ne s'arrête jamais, et il est crucial que les musées continuent aussi à fonctionner, surtout face au COVID-19. "Les musées sont plus que de simples lieux où le patrimoine de l'humanité est préservé et mis en valeur", a déclaré Ernesto Ottone R., Sous-Directeur Général de l'UNESCO pour la Culture. "Ils sont aussi des espaces clés d'éducation, d'inspiration et de dialogue. À un moment où des milliards de personnes dans le monde sont séparées les unes des autres, les musées peuvent nous rassembler". Il n'est pas surprenant que nous voyions les musées et les populations qu'ils servent, devenir plus souples, plus ingénieux et plus innovants. Des visites virtuelles aux contenus sur Facebook et Instagram, des podcasts aux plateformes en ligne en libre accès, les musées et les institutions culturelles font preuve de créativité pour faire face à cette situation sans précédent. Certains professionnels des musées ont partagé avec l'UNESCO la manière dont ils font face à cette période difficile.
" Le COVID-19 est une pandémie qui touche tout le monde. Afin de contribuer à réduire la propagation, le musée Livingstone est fermé mais actif via Facebook et notre site internet. Soyez prudents, restez chez vous", a déclaré Terry Nyambe, assistant du conservateur d'ichtyologie du musée Livingstone, en Zambie.
"Pour continuer le support qu’ils apportent comme réseaux sociaux, de nombreux musées au Liban ont rendu disponibles des visites virtuelles et des applications mobiles. Nous allons surmonter la crise et nous allons garder en mémoire qu’après le COVID-19, il faudra reprogrammer les activités de nos musées, car en sauvant la culture, nous sauvons la société, sa diversité, sa vitalité et sa créativité ", a déclaré Anne-Marie Afeiche, Directrice générale, Conseil général des musées du Liban.
Hamady Bocoum, Directeur général du Musée des civilisations noires de Dakar, au Sénégal, est passé rapidement à l'action. "Depuis que le Musée a fermé en raison du COVID-19, nous engageons nos experts pour élaborer des visites guidées de toutes les expositions. Celles-ci seront diffusées par segments à la télévision sénégalaise et seront également disponibles en ligne", a-t-il déclaré.
Beryl Ondiek, Directeur des musées nationaux aux Seychelles, a déclaré que "dans la brume du chaos, les musées brisent les murs qui nous séparent. Les musées peuvent utiliser toutes les collections et les informations dont nous disposons, et transmettre notre patrimoine culturel et naturel aux communautés par le biais d'internet pour élever les esprits et maintenir tout le monde connecté".
"À un moment où des milliards de personnes dans le monde sont séparées les unes des autres, les musées peuvent nous rassembler". Ernesto Ottone, Directeur général adjoint de l'UNESCO pour la culture
Élaborer des stratégies pour l'avenir
Si les fermetures sont généralement décidées par les autorités nationales, la plupart des musées doivent concevoir leurs propres stratégies d'adaptation pendant la pandémie du COVID-19, et celles-ci varient considérablement. Les défis sont multiples : le soutien au personnel, la sécurité et la préservation des collections. Non seulement les musées ne génèrent pas de revenus, mais ils sont également vulnérables lorsqu'ils sont fermés. A titre d’exemple, le 29 mars 2020, le tableau "Jardin au printemps" de Vincent van Gogh a été volé au musée Singer Laren, aux Pays-Bas, qui est actuellement fermé au public en raison du COVID-19.
Les musées se tournent vers diverses sources, notamment les autorités locales et nationales, le public et d'autres bienfaiteurs. Dans certains cas, de grandes fondations et entités philanthropiques lancent de nouveaux fonds pour soutenir les organisations culturelles. D'autres initiatives consistent à assouplir les restrictions relatives aux demandes de subventions, à prolonger ou à supprimer les délais et à honorer les engagements pris pour des événements qui n'auront pas lieu[i].
Le Mary Rose Museum de Portsmouth, au Royaume-Uni, dépend du Mary Rose Trust pour la conservation et l'exposition du navire de guerre préféré du roi Henry VIII et de sa collection unique d'artefacts. Helen Bonser-Wilton, Directrice générale du Trust, a indiqué qu'après la fermeture du musée dans le cadre du COVID-19, le Mary Rose était "en péril mortel" car 90% du financement provient des visiteurs, la majorité étant générée entre les mois d’avril et de septembre. Elle a décrit comment "une aide financière urgente était nécessaire de la part du gouvernement pour assurer la poursuite des processus complexes de conservation de l'épave et de ses artefacts". [ii]
Suzy Hakimian, Présidente de l'ICOM Liban, a fait remarquer que de nombreux musées aux moyens plus limités tentent de faire face à une augmentation des défis financiers auxquels ils étaient déjà confrontés en temps normal. "Au terme de cette catastrophe, il faudra sauver nombre de musées afin de préserver leurs collections et surtout d'éviter de licencier leur personnel", a-t-elle déclaré. "Cela constituera une donnée fondamentale à intégrer dans les futurs plans d'urgence des musées", a-t-elle ajouté.
[i] Inside Philanthropy https://www.insidephilanthropy.com/home/2020/3/22/how-can-funders-most-…
[ii] WebWire https://www.webwire.com/ViewPressRel.asp?aId=257471
Voir également: Recommandation de 2015 concernant la protection et la promotion des musées et des collections
Partager les bonnes pratiques
L'UNESCO, avec le soutien du Conseil international des musées (ICOM) travaille à mesurer l'impact du COVID-19 sur le secteur des musées. L'UNESCO identifie actuellement les musées du monde qui offrent des contenus en ligne et des stratégies innovantes en réponse à la crise du coronavirus. Une liste est en cours d'établissement avec des liens vers les institutions muséales, et les informations seront mises en ligne. Un effort particulier a été fait pour se concentrer sur la région arabe et l'Afrique, pour lesquelles les données sont encore fragmentaires. Cette cartographie permettra au grand public d'accéder à ces collections, tout en permettant aux musées d'échanger des bonnes pratiques pour soutenir le développement de stratégies muséales à long terme.
Veille de l'activité des membres institutionnels d'ICOM France
Dès le début de la période de confinement, l'initiative #Culturechez nous lancée par le ministère de la Culture a été suivie par l'ensemble des professionnels de tous les secteurs culturels.
Les musées ont pour leur part mis en avant leurs riches ressources en ligne et étoffé leurs offres numériques : visites virtuelles des expositions, sélections d’œuvres, redécouverte des collections à travers les bases de données, MOOCs, étoffement de leurs chaînes YouTube et de l’offre vidéo (Masterclasses, interviews, webséries, etc.).
Depuis, certains musées proposent même un véritable programme de confinement avec des nouveaux contenus proposés chaque jour par les conservateurs, médiateurs et scientifiques. Les activités créées pour les enfants et les contenus pédagogiques pour accompagner les élèves et éducateurs sont mis en avant également.
Retrouver ci-contre le lien vers la veille numérique portant sur les initiatives des musées membres institutionnels d'ICOM France effectuée par notre équipe :
Veille numérique
JEUX OLYMPIQUES
#culturecheznous
Durant la période de confinement, le Musée National du Sport vous donne exceptionnellement accès à son exposition itinérante JEUX OLYMPIQUES - EN ROUTE VERS PARIS 2024 !
Le 13 septembre 2017, la France se voyait officiellement confier l'accueil des Jeux Olympiques et Paralympiques de 2024. 100 ans après, les Jeux sont de retour dans la capitale et c’est un pays tout entier qui vibrera au rythme des exploits des plus grands athlètes internationaux !
L’exposition « Jeux Olympiques – en route vers Paris 2024 ! » revient sur l’histoire de l’olympisme, de son origine antique à son rayonnement planétaire actuel, en passant par la présentation de son organisation et la mise en avant du rôle crucial joué par Pierre de Coubertin.
La naissance du mouvement paralympique, les symboles, les rituels ou encore l’impact sociétal d’une telle épreuve sont autant de thématiques développées dans cette exposition à l’aide de 14 panneaux illustrés.
Pour visualiser l’exposition c’est par ICI
Webinaire "Le musée à l'heure de la post-pandémie"
À propos du sujet
La pandémie de coronavirus a entraîné des défis sans précédent pour le paysage muséal. Comme prévu, la plupart des institutions se sont tournées vers les médias sociaux, mais les musées devraient-ils penser différemment lorsqu'ils tentent de faire le lien entre une réalité physique et une réalité virtuelle ?
Ce webinaire explorera les moyens par lesquels les institutions peuvent conserver leur pertinence dans le temps, même lorsque les circonstances imposent leur fermeture. Il fournira également des suggestions pratiques sur la manière dont les musées peuvent garder à l'esprit les besoins et les ambitions de leurs publics, qui évoluent et changent au fil du temps.
Animateur du webinaire : Sandro Debono, consultant
Sandro Debono est le cerveau de MUŻA - le Musée d'art communautaire national de Malte, dont il a été le fer de lance et dont il a développé la vision directrice originale. Il est conseiller culturel du président de la République de Malte, représentant national à l'Académie européenne des musées et siège au conseil consultatif de We Are Museums, la plate-forme internationale des innovateurs et des faiseurs de changement dans les musées. Il est également conférencier invité au département des arts, des communautés ouvertes et de l'éducation des adultes (Université de Malte), dans des forums et des institutions internationales.
Inscription libre, nombre de participants limités.
Les musées de mémoire au temps du COVID-19
PROGRAMME DU WEBINAIRE
1. Les effets de COVID-19 sur les musées du monde entier
Louisa Onuoha, Musées nationaux du Nigeria, Lagos
Mofidul Hoque, fondateur du Musée de la guerre de libération, Bangladesh.
2. Des moyens créatifs et alternatifs pour atteindre notre public
Kaja Sirok, Musée national d'histoire contemporaine, Ljubljana, Slovénie
Teresien Da Silva, Maison d'Anne Frank, Amsterdam, Pays-Bas.
3. Stratégies numériques et planification d'urgence. Ressources disponibles
Ophelia Leon, présidente d'ICMEMO
Modérateur : Kornelis Spaans, Trésorier de l'ICMEMO.
L'événement en ligne durera une heure.
Pour plus d'informations, veuillez contacter le secrétaire de l'ICMEMO : Massimiliano Azzolini icmemo.secretariat[a]gmail.com
Les musées de mémoire au temps du COVID-19
PROGRAMME DU WEBINAIRE
1. Les effets de COVID-19 sur les musées du monde entier
Louisa Onuoha, Musées nationaux du Nigeria, Lagos
Mofidul Hoque, fondateur du Musée de la guerre de libération, Bangladesh.
2. Des moyens créatifs et alternatifs pour atteindre notre public
Kaja Sirok, Musée national d'histoire contemporaine, Ljubljana, Slovénie
Teresien Da Silva, Maison d'Anne Frank, Amsterdam, Pays-Bas.
3. Stratégies numériques et planification d'urgence. Ressources disponibles
Ophelia Leon, présidente d'ICMEMO
Modérateur : Kornelis Spaans, Trésorier de l'ICMEMO.
L'événement en ligne durera une heure.
Pour plus d'informations, veuillez contacter le secrétaire de l'ICMEMO : Massimiliano Azzolini icmemo.secretariat[a]gmail.com