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Liste rouge d’urgence des biens culturels en péril – Chine

Pourquoi une Liste rouge pour la Chine ?
Cette Liste Rouge a été conçue dans le but d’aider les musées, marchands d'art et d'antiquités, collectionneurs, ainsi que les fonctionnaires des douanes et de police, à identifier des objets qui peuvent avoir été pillés et exportés illicitement de Chine. Afin d’en faciliter l'identification, la Liste Rouge décrit plusieurs catégories de biens culturels qui sont susceptibles de faire l’objet de transactions illicites sur le marché international des antiquités.
Les objets s’apparentant à l’une ou l’autre des catégories illustrées ci-après sont protégés par la législation chinoise qui en interdit expressément l’exportation non autorisée et la vente. L'ICOM invite donc les musées, maisons de vente aux enchères, marchands d'art et d'antiquités, et collectionneurs à ne pas acheter de tels objets sans avoir au préalable vérifié soigneusement leur origine et la documentation correspondante.
En raison de la grande diversité d’objets, de styles et de périodes, la Liste Rouge des biens culturels chinois en péril n'est pas exhaustive. Tout bien culturel en provenance de Chine devra alors faire l’objet d’un examen minutieux et de mesures de précaution.
Contexte
Le riche patrimoine culturel de la Chine reflète la diversité et la complexité des cultures qui y ont prospéré durant les dix derniers millénaires. Depuis le milieu du XIXe siècle, d’importantes quantités d'objets anciens de très grande valeur et d’autres biens culturels ont été volés, et nombre d'entre eux ont été sortis du pays. Au cours des dernières décennies, le gouvernement chinois a multiplié les efforts pour protéger l’héritage de la Chine par le renforcement des dispositions législatives nationales et internationales et d’autres mesures de collaboration. En dépit de ces efforts, le pillage des sites et le commerce illicite d'antiquités sur le marché intérieur et à l’international sont devenus de sérieuses menaces causant des dommages irréparables au patrimoine unique du pays. Il est de la responsabilité de tous – tant en Chine que dans les autres pays – d’aider à sa préservation pour les générations futures.
Attention
Nous tenons enfin à rappeler que l’ICOM ne fournit aucun certificat d’origine ou d’authenticité. Seules les autorités nationales sont habilitées à délivrer tout type de document relatif à l’exportation et à l’importation de biens culturels.
Journées européennes de l'archéologie 2019
L'Institut national de recherches archéologiques préventives (Inrap) en France pilote les Journées nationales de l’archéologie, événement du gouvernement français. Avec plus de 2 000 collaborateurs et chercheurs, l'Institut national de recherches archéologiques préventives (Inrap), une institution publique relevant du ministère de la Culture, est la plus grande structure de recherche archéologique préventive française et l'une des premières en Europe.
Cet événement s’est considérablement développé depuis la première édition qui a eu lieu en 2010 en France. La neuvième édition qui s’est terminé les 15, 16 et 17 Juin a réuni plus de 200.000 visiteurs dans 660 sites. C'est le premier événement national dédié à l'archéologie en Europe. (www.journees-archeologie.fr)
Les 14, 15 et 16 juin aura lieu la dixième édition des Journées nationales de l’archéologie en France (JNA). Nous voulons donner une grande importance à cette édition et c'est pourquoi nous souhaitons étendre les Journées de l’archéologie à plusieurs pays européens.
Les Journées de l’archéologie sont consacrées à la promotion et à la diffusion de la recherche, des collections et du patrimoine archéologique, « de la fouille au musée ». L'objectif principal de cet événement est d'attirer de nouveaux publics qui ne connaissent pas l'archéologie. Les Journées de l'archéologie ont pour ambition de rassembler tous les acteurs de l'archéologie.
Voilà pourquoi les Journées de l’archéologie, qui auront lieu les 14, 15 et 16 juin 2019, réuniront tous les acteurs de l’archéologie, soit les organismes de recherche, les musées, les opérateurs en archéologie préventive ou les sites archéologiques. Les organisateurs, peuvent proposer à leur choix toutes sortes d'activités au cours de ces trois jours : portes ouvertes de musée, ateliers pour les familles, des conférences, des démonstrations, des portes ouvertes des réserves de musées, des visites de musée ou de sites archéologiques, des portes ouvertes de chantiers, toutes activités pouvant présenter l'archéologie et le patrimoine et intéresser le public.
Le site web www.journees-archeologie.fr sera ouvert aux pays européens dans les langues d'origine et les organisateurs pourront s’inscrire et publier leur programme. Les inscriptions seront ouvertes de février à juin 2019 et les organisateurs auront accès à des outils de communication spécifiques, tels que des affiches, des brochures, des dépliants, pour communiquer sur leur événement.
Contact : Pascal Ratier : pascal.ratier@inrap.fr
Restaurer le patrimoine horloger, construire sa spécialité
En 2019, l’Institut national du patrimoine inaugure un nouveau cycle de conférences consacrées à l’excellence et la richesse du métier de restaurateur du patrimoine.
Confrontés à de nouveaux enjeux patrimoniaux, les restaurateurs développent des compétences spécifiques pour pouvoir y répondre. Les conférences mettront en lumière les savoir-faire des restaurateurs et les nombreuses connaissances auxquelles leur métier fait appel. A la fois chercheur, scientifique, enquêteur et même ingénieur, le restaurateur du patrimoine ne se contente pas de restaurer. Il participe à la recherche sur les œuvres aux côtés des scientifiques et des conservateurs et permet de reconstituer l’histoire d’un objet grâce aux recherches qu’ils réalisent et aux hypothèses qu’il émet. Il enrichit les connaissances sur les matériaux et élabore des stratégies et des protocoles pour assurer la conservation et la restauration des patrimoines, dans toutes leurs diversités.
Pour illustrer ces thématiques un restaurateur du patrimoine présentera au public, une fois par mois, un projet particulièrement marquant qu’il aura mené.
Ryma Hatahet, restauratrice du patrimoine et horlogère - Arts du Métal et Horlogerie
Restauratrice du patrimoine diplômée en 2013 dans la spécialité « Métal » (INP, département des restaurateurs), Ryma Hatahet a rapidement eu l’idée de développer une spécialité supplémentaire pour compléter ses compétences.
Elle part d’une observation simple : l’intérêt grandissant des institutions muséales pour la préservation, la gestion, la restauration et la valorisation du patrimoine technique et mécanique - notamment celui en mouvement - qu’il soit historique ou contemporain. Son propre intérêt pour les objets fonctionnels et en mouvement la pousse à consacrer son année de mémoire sur l’étude et la restauration d’un projecteur double Gaumont. Elle saisit alors que pour une compréhension entière des enjeux de conservation liés à la mécanique en mouvement (ou même statique) et son application professionnelle dans le domaine de la conservation-restauration implique de développer des savoirs spécifiques. Des savoirs qui peuvent se conjuguer, entre autres, avec les acquis du restaurateur spécialisé en objets métalliques et possédant des bases en mécanique.
Elle a donc choisi de se former en horlogerie. Cet art mécanique va lui ouvrir un champ d’exercice inattendu mais également des sujets de réflexion qui vont remettre en question ses habitudes de jeune restauratrice.
La présentation évoquera son parcours de formation et présentera l’état de ses réflexions concernant la vie professionnelle du restaurateur du patrimoine spécialisé en horlogerie au travers d’exemples concrets de projets de conservation-restauration menés récemment.
Programme de formations du CFPTS en régie d'exposition
Le CFPTS (Centre de formation professionnelle aux techniques du spectacle) a récemment enrichi son offre de formation en direction de nouveaux publics dans le cadre du développement des apprentissages de compétences transversales au sein de ses stages ou par la création de stages spécifiques.
Ainsi, la formation longue de Régisseur d'exposition et les deux formations plus courtes, Gestion de projet d’exposition et Régie lumière d’expositions, dessinent un nouvel ensemble complet autour de la muséographie et des expositions, en direction des techniciens et des régisseurs de ce secteur.
Régisseur d'exposition
Métiers de la muséographie et de l'exposition
Prochaine session : du 27/01/2020 au 17/04/2020
Public : Techniciens d’expositions/muséographes, monteurs, accrocheurs, régisseurs d’espaces, techniciens et régisseurs de spectacle.
Objectif : Développer les compétences méthodologiques, d’organisation et de gestion, nécessaires à l’exercice de la fonction de régisseur d’exposition : compréhension scénographique d’un projet, planification et coordination de toutes les étapes de la mise en place d’une exposition, sur ses aspects techniques.
Gestion de projet d’exposition
Méthodologie, ordonnancement, suivi budgétaire
Session 2019 : du 25/02/2019 au 08/03/2019
Public : Régisseurs d’exposition, régisseurs d’œuvres, chefs d’équipe monteurs.
Objectif : Développer les compétences méthodologiques, d’organisation et de gestion/suivi budgétaire pour des projets d’expositions.
Régie lumière d’exposition
Musée, exposition
Session : du 24/06/2019 au 05/07/2019
Public : Régisseurs lumière et techniciens lumière du spectacle vivant, techniciens lumière du patrimoine.
Objectif : Appréhender les spécificités de l’'éclairage muséographique et d’exposition afin d’optimiser sa pratique professionnelle, et prendre en charge la régie lumière d’une exposition.
Plus d'informations sur la formation en Gestion de projet exposition
Plus d'informations sur la formation en Régie d'exposition
"L'art de la rencontre chercheurs-publics"
Plusieurs formes de rencontres chercheurs-publics sont proposées au sein des universités, des musées et des associations de culture scientifique et technique. Intégrées dans la programmation de leurs actions et en lien avec des événements nationaux ou régionaux, elles constituent parfois une mise en pratique lors de formations à la médiation et communication scientifiques des doctorants.
Dans le cadre de sa mission d’observation et de développement professionnels, l’Ocim organise depuis 2016 L’art de la rencontre. Ce rendez-vous annuel, construit pour et avec les acteurs de terrain et les chercheurs offre un espace d’échange, questionnement et valorisation des pratiques.
L’édition 2019 interrogera plus spécifiquement l’impact des projets. Pourquoi et comment formaliser certains éléments de bilan ? Sur quels indicateurs s’appuyer et selon quelles méthodologies au regard des objectifs et des attentes plus ou moins spécifiques ? Quels sont des bénéfices pour les équipes, les partenaires et pour soi en termes de pratiques professionnelles et de compétences des médiateurs-formateurs ? Jusqu’où prendre en compte ensuite ces enseignements pour adapter et faire évoluer l’ingénierie des actions ?
A partir de retours d’expérience, cette journée invite à poursuivre la réflexion autour des enjeux et des réceptions qui fondent la rencontre chercheurs-publics.
Rencontre nationale organisée par l’Ocim dans le cadre du Programme Investissements d’Avenir Réseau des Experimentarium co-porté par l’Université de Bourgogne, l’Université de Franche-Comté, l’Université d’Aix-Marseille et Science Action Normandie.
Ingénierie de formation
Secteur Développement professionnel, Ocim, Dijon
Destinataires
Toute personne intéressée par des actions et des formations pour/avec les doctorants et les chercheurs
Frais de participation
Gratuité sous réserve d’inscription en ligne (nombre de places limité).
Restituer ? Les musées parlent aux musées.
Le rapport sur les Restitutions était très attendu par la profession.
ICOM France l’a mis en ligne le jour-même de sa remise officielle, avec l’autorisation de ses auteurs. Nous nous sommes aussitôt engagés auprès de nos membres à éclairer leurs questions.
Ces questions sont nombreuses, sur le fond et sur la forme.
Aussi, avant même d’auditionner les auteurs - qui en ont accepté le principe et nous les en remercions - il nous semble intéressant de faire une réunion d’échange entre professionnels de musées sur les différents aspects du rapport qui les concernent.
Dans ce premier temps, nous concentrerons nos discussions autour de quelques questions très concrètes, par exemple :
- Que dit le droit du patrimoine, en France et à l’étranger ? Que dit le code de déontologie de l’ICOM ?
- Comment et par qui, dans les musées, les collections sont-elles étudiées, documentées... ?
- Que dire à nos visiteurs, à nos partenaires ?
- Musées et diplomatie culturelle : quels liens ?
Soirée réservée aux membres d'ICOM France, dans la limite des places disponibles. Merci de nous contacter en cas de désistement.