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L'Art de la rencontre publics-chercheurs : se réinventer face à la crise sanitaire
L'Ocim organise le jeudi 3 juin prochain de 14h30 à 17h la 5ème édition de l'Art de la rencontre
Cette année la thématique portera sur "L'Art de la rencontre publics-chercheurs : se réinventer pendant la crise"
Quelles formes de médiation et quelles créativités ont émergé ? Comment se sont déroulées ces rencontres à distance « depuis son canapé » ou « à portée de clic » ? La réciprocité entre amateurs, néophytes, experts, scientifiques est-elle encore possible dans un contexte émotionnel teinté de peurs, de crispations et de doutes ?
Dans le contexte toujours présent de la crise sanitaire, le format du webinaire a été privilégié
La participation reste gratuite, mais soumise à une inscription en ligne

L’intelligence des musées a-t-elle un prix ?
Propos de la rencontre
en partenariat avec l'Institut national du patrimoine
L’ingénierie culturelle occupera-t-elle une place grandissante, dans la reconstruction du musée d’après ? Très liée au départ à la politique d’aménagement (culturel) du territoire, son ambition initiale affichée était d’implanter des équipements culturels dans toutes les régions de France, comme facteurs d’irrigation de l’ensemble des populations. La première agence « d‘ingénierie culturelle » a été créée en 1986.
L’envergure et les enjeux ont évolué mais nombre de questions que se posaient les professionnels de musées restent d’actualité. Dans son « Que sais-je ? » sur le sujet, Claude Mollard1 rappelle qu’André Malraux aurait sans doute été aux antipodes de l’ingénierie culturelle : l’argent semblait secondaire… Cinquante ans après, on n’en doute évidemment plus : « la culture est un élément essentiel du développement, social et démocratique, mais aussi économique »2.
Mi-2021, après 15 mois sans recettes d’activité, la question de l’équilibre économique des musées est dans toutes les têtes : l’UNESCO3 pointe une chute des recettes des musées jusqu’à 80% par rapport à 2019 et, notamment aux Etats-Unis, 13 % des musées ne rouvriront pas. En France, le « quoiqu’il en coûte » a évité les faillites de musées qu’on observe malheureusement dans de nombreuses régions du monde. Cependant, l’activation de gisements potentiels de recettes émerge comme un impératif, au premier rang desquels la valorisation des compétences des musées. Le rapport de la cour des comptes sur la « valorisation internationale de l’ingénierie et des marques culturelles : les cas des musées nationaux », incitait déjà, il y a deux ans, les institutions muséales à « conforter leur stratégie entrepreneuriale » et à sa suite, la commission des finances du Sénat relevait qu’il lui était « difficile de savoir si les musées maximisent la part qu’ils prennent sur ce marché ».
Quels enjeux aujourd’hui, quelle place ces activités occupent-elles dans la reconstruction du musée d’après crise ? Quels leviers mettre en place ? Quels questionnements déontologiques suscitent-elles ?
On le sait, dans les musées, « il existe une tradition de coopération internationale sans valorisation économique »4. Même si, dès les années 2000, forts de l’autonomie acquise lors de leurs transformations en établissements publics, les grands musées ont engagé des politiques de développement, notamment à l’international, dépassant assurément le cadre des coopérations bilatérales. L’Etat a encouragé les musées nationaux à se positionner face à l’existence d’une demande internationale forte et en croissance dans laquelle la France est « bien placée du fait de la richesse et de l’intérêt de ses collections ». Les réussites sont là, le Louvre Abou Dhabi en tête, les centres Pompidou transitoires à Malaga, Bruxelles, Shanghai… Mais aussi Rodin, Picasso, Orsay, Universcience… sous de multiples formes : vente d’exposition clés en main, coproduction d’expositions, prestations de conseils, produits dérivés… ces actions participent d’un double objectif de rayonnement à l’international et de dégagement de ressources propres (estimées entre 1 % et 16 %)5.
Au-delà de ces expériences renommées, il s’agira dans notre débat d’appréhender les potentialités – et peut-être les limites – de l’ingénierie culturelle. Car, ces exemples peuvent conduire à penser qu’elle ne concerne que l’international, en tant que marché et/ou enjeu de « diplomatie culturelle », mais la part des opérations d’ingénierie culturelle sur le territoire montre que cette activité a sa place à l’intérieur des frontières. De même, outre les expositions et les « marques », toutes les compétences et tous les savoir-faire des musées sont concernés : du simple conseil à la prise en charge directe d’un projet culturel de plus ou moins grande ampleur, en passant par le management et la gouvernance, la co-construction ou encore la régie, etc…
Dès lors, la question de l’ingénierie culturelle prend une autre dimension dans le musée qui se relève de la crise et les professionnels sont fondés à s’interroger sur le périmètre de ce qui peut être valorisé dans le respect des valeurs constitutives de leur identité.
C’est le débat que nous souhaitons, qui prendra place au milieu du calendrier de réouverture des musées. Proposer ces échanges à partir de l’ICOM est stratégique dans une période de réflexions intenses sur la définition des musées, l’actualisation du code de déontologie et les questionnements à l’international sur le modèle muséal. L’enjeu de l’ingénierie culturelle dépasse celui de la recomposition des budgets des musées. Il porte sur l’identification de ce que sont les compétences propres des musées, les qualifications de leurs professionnels…. La commission du Sénat soulignait aussi que les opérateurs de formation doivent tenir toute leur place. L’organisation conjointe de cette soirée-débat avec l’Institut national du Patrimoine prend encore une fois tout son sens.
1 Mollard Claude, L'ingénierie culturelle. Presses Universitaires de France, « Que sais-je ? », 2020, 128 pages. ISBN : 9782715402850. DOI : 10.3917/puf.molla.2020.01. URL : https://www.cairn.info/l-iingenierie-culturelle--9782715402850.htm
2 Agnès Saal « Proposer les savoir-faire français à des pays portant un projet culturel », Expertise France. URL : https://www.expertisefrance.fr/actualite?id=814711
3 Les musées dans le monde face à la pandémie de Covid 19 : https://www.icom-musees.fr/sites/default/files/2021-04/2e-rapport-unesco-musees-monde-face-pandemie-covid-19.pdf
4 Philippe Barbat interrogé par la commission du Sénat, page 8.
- Rapport d’information n°568 au nom de la commission des finances du Sénat sur l’enquête de la cour des comptes sur la valorisation internationale de l’ingénierie et des marques culturelles, page 8 / URL : https://www.senat.fr/rap/r18-568/r18-5681.pdf
5 Estimations juin 2019, Sophie Moati, présidente de la troisième chambre de la Cour des comptes, dans le rapport d’information n°568 au nom de la commission des finances du Sénat, page 15
Programme
Ouvertures
- Charles Personnaz, directeur de l’Institut national du patrimoine
- Juliette Raoul-Duval, présidente d’ICOM France
Intervenants
- Anaïs Aguerre, fondatrice et directrice de l’agence de conseils Culture Connect
- Michèle Antoine, directrice des expositions d’Universcience
- Hervé Barbaret, directeur général de l’Agence France-Muséums
- Laurence Chesneau-Dupin, conservatrice en chef du patrimoine et directrice de LCD conseil
- Jean-Hervé Lorenzi, économiste et fondateur du Cercle des économistes
- Claude Mollard, conseiller spécial du président de l’Institut du monde arabe
- Antonio Rodriguez, président d’ICEE - Comité international de l’ICOM pour les échanges d’expositions
- Agnès Saal, Haute fonctionnaire à l’égalité, à la diversité et à la prévention des discriminations, cheffe de la Mission Expertise culturelle internationale, au Secrétariat général du ministère de la Culture
La rencontre sera animée par Juliette Raoul-Duval et Hélène Vassal et sera conclue par Christian Hottin.
Cette séance est organisée en direct sur une plateforme numérique et se tiendra simultanément en français, en anglais et en espagnol.
Liens vers la séance Zoom
Pour nous rejoindre : Lien vers la séance
ID de réunion : 858 1725 8647
Code : 407670
L’intelligence des musées a-t-elle un prix ?
Propos de la rencontre
en partenariat avec l'Institut national du patrimoine
L’ingénierie culturelle occupera-t-elle une place grandissante, dans la reconstruction du musée d’après ? Très liée au départ à la politique d’aménagement (culturel) du territoire, son ambition initiale affichée était d’implanter des équipements culturels dans toutes les régions de France, comme facteurs d’irrigation de l’ensemble des populations. La première agence « d‘ingénierie culturelle » a été créée en 1986.
L’envergure et les enjeux ont évolué mais nombre de questions que se posaient les professionnels de musées restent d’actualité. Dans son « Que sais-je ? » sur le sujet, Claude Mollard1 rappelle qu’André Malraux aurait sans doute été aux antipodes de l’ingénierie culturelle : l’argent semblait secondaire… Cinquante ans après, on n’en doute évidemment plus : « la culture est un élément essentiel du développement, social et démocratique, mais aussi économique »2.
Mi-2021, après 15 mois sans recettes d’activité, la question de l’équilibre économique des musées est dans toutes les têtes : l’UNESCO3 pointe une chute des recettes des musées jusqu’à 80% par rapport à 2019 et, notamment aux Etats-Unis, 13 % des musées ne rouvriront pas. En France, le « quoiqu’il en coûte » a évité les faillites de musées qu’on observe malheureusement dans de nombreuses régions du monde. Cependant, l’activation de gisements potentiels de recettes émerge comme un impératif, au premier rang desquels la valorisation des compétences des musées. Le rapport de la cour des comptes sur la « valorisation internationale de l’ingénierie et des marques culturelles : les cas des musées nationaux », incitait déjà, il y a deux ans, les institutions muséales à « conforter leur stratégie entrepreneuriale » et à sa suite, la commission des finances du Sénat relevait qu’il lui était « difficile de savoir si les musées maximisent la part qu’ils prennent sur ce marché ».
Quels enjeux aujourd’hui, quelle place ces activités occupent-elles dans la reconstruction du musée d’après crise ? Quels leviers mettre en place ? Quels questionnements déontologiques suscitent-elles ?
On le sait, dans les musées, « il existe une tradition de coopération internationale sans valorisation économique »4. Même si, dès les années 2000, forts de l’autonomie acquise lors de leurs transformations en établissements publics, les grands musées ont engagé des politiques de développement, notamment à l’international, dépassant assurément le cadre des coopérations bilatérales. L’Etat a encouragé les musées nationaux à se positionner face à l’existence d’une demande internationale forte et en croissance dans laquelle la France est « bien placée du fait de la richesse et de l’intérêt de ses collections ». Les réussites sont là, le Louvre Abou Dhabi en tête, les centres Pompidou transitoires à Malaga, Bruxelles, Shanghai… Mais aussi Rodin, Picasso, Orsay, Universcience… sous de multiples formes : vente d’exposition clés en main, coproduction d’expositions, prestations de conseils, produits dérivés… ces actions participent d’un double objectif de rayonnement à l’international et de dégagement de ressources propres (estimées entre 1 % et 16 %)5.
Au-delà de ces expériences renommées, il s’agira dans notre débat d’appréhender les potentialités – et peut-être les limites – de l’ingénierie culturelle. Car, ces exemples peuvent conduire à penser qu’elle ne concerne que l’international, en tant que marché et/ou enjeu de « diplomatie culturelle », mais la part des opérations d’ingénierie culturelle sur le territoire montre que cette activité a sa place à l’intérieur des frontières. De même, outre les expositions et les « marques », toutes les compétences et tous les savoir-faire des musées sont concernés : du simple conseil à la prise en charge directe d’un projet culturel de plus ou moins grande ampleur, en passant par le management et la gouvernance, la co-construction ou encore la régie, etc…
Dès lors, la question de l’ingénierie culturelle prend une autre dimension dans le musée qui se relève de la crise et les professionnels sont fondés à s’interroger sur le périmètre de ce qui peut être valorisé dans le respect des valeurs constitutives de leur identité.
C’est le débat que nous souhaitons, qui prendra place au milieu du calendrier de réouverture des musées. Proposer ces échanges à partir de l’ICOM est stratégique dans une période de réflexions intenses sur la définition des musées, l’actualisation du code de déontologie et les questionnements à l’international sur le modèle muséal. L’enjeu de l’ingénierie culturelle dépasse celui de la recomposition des budgets des musées. Il porte sur l’identification de ce que sont les compétences propres des musées, les qualifications de leurs professionnels…. La commission du Sénat soulignait aussi que les opérateurs de formation doivent tenir toute leur place. L’organisation conjointe de cette soirée-débat avec l’Institut national du Patrimoine prend encore une fois tout son sens.
1 Mollard Claude, L'ingénierie culturelle. Presses Universitaires de France, « Que sais-je ? », 2020, 128 pages. ISBN : 9782715402850. DOI : 10.3917/puf.molla.2020.01. URL : https://www.cairn.info/l-iingenierie-culturelle--9782715402850.htm
2 Agnès Saal « Proposer les savoir-faire français à des pays portant un projet culturel », Expertise France. URL : https://www.expertisefrance.fr/actualite?id=814711
3 Les musées dans le monde face à la pandémie de Covid 19 : https://www.icom-musees.fr/sites/default/files/2021-04/2e-rapport-unesco-musees-monde-face-pandemie-covid-19.pdf
4 Philippe Barbat interrogé par la commission du Sénat, page 8.
- Rapport d’information n°568 au nom de la commission des finances du Sénat sur l’enquête de la cour des comptes sur la valorisation internationale de l’ingénierie et des marques culturelles, page 8 / URL : https://www.senat.fr/rap/r18-568/r18-5681.pdf
5 Estimations juin 2019, Sophie Moati, présidente de la troisième chambre de la Cour des comptes, dans le rapport d’information n°568 au nom de la commission des finances du Sénat, page 15
Programme
Ouvertures
- Charles Personnaz, directeur de l’Institut national du patrimoine
- Juliette Raoul-Duval, présidente d’ICOM France
Intervenants
- Anaïs Aguerre, fondatrice et directrice de l’agence de conseils Culture Connect
- Michèle Antoine, directrice des expositions d’Universcience
- Hervé Barbaret, directeur général de l’Agence France-Muséums
- Laurence Chesneau-Dupin, conservatrice en chef du patrimoine et directrice de LCD conseil
- Jean-Hervé Lorenzi, économiste et fondateur du Cercle des économistes
- Claude Mollard, conseiller spécial du président de l’Institut du monde arabe
- Antonio Rodriguez, président d’ICEE - Comité international de l’ICOM pour les échanges d’expositions
- Agnès Saal, Haute fonctionnaire à l’égalité, à la diversité et à la prévention des discriminations, cheffe de la Mission Expertise culturelle internationale, au Secrétariat général du ministère de la Culture
La rencontre sera animée par Juliette Raoul-Duval et Hélène Vassal et sera conclue par Christian Hottin.
Cette séance est organisée en direct sur une plateforme numérique et se tiendra simultanément en français, en anglais et en espagnol.
Liens vers la séance Zoom
Pour nous rejoindre : Lien vers la séance
ID de réunion : 858 1725 8647
Code : 407670
Les musées font équipe
A vos agendas !
Les journées professionnelles et l'assemblée générale 2021 d'ICOM France se tiendront à Nice les 24 et 25 septembre 2021.
Vendredi 24 septembre
Cette journée se tiendra au musée national du Sport à Nice. Ce lieu, culturel et sportif, a inspiré la thématique du colloque : Les musées font équipe ! Oui les musées ont fait équipe tout au long de la pandémie : c’est à la fois un constat et une espérance pour l’avenir. Et nous en sommes, à ICOM France, les témoins et la mémoire.
Cette journée invite à la réflexion autour des concepts de solidarité, entraide ou combativité mais soulève aussi la problématique du rôle social des musées. Notre réunion de septembre vise à mettre en évidence les points de force révélés dans la difficulté partagée mais aussi les soutiens dont les musées auront besoin pour se relever, se reconstruire, se renouveler
Inscription à la journée du 24 septembre
Samedi 25 septembre
Visites professionnelles (sur inscription) : musée national du Sport, musée d'Archéologie de Nice/Cimiez, musée national Marc Chagall, musée Matisse Nice
Informations supplémentaires à venir
Photo par M.Erlic
Les musées font équipe
A vos agendas !
Les journées professionnelles et l'assemblée générale 2021 d'ICOM France se tiendront à Nice les 24 et 25 septembre 2021.
Vendredi 24 septembre
Cette journée se tiendra au musée national du Sport à Nice. Ce lieu, culturel et sportif, a inspiré la thématique du colloque : Les musées font équipe ! Oui les musées ont fait équipe tout au long de la pandémie : c’est à la fois un constat et une espérance pour l’avenir. Et nous en sommes, à ICOM France, les témoins et la mémoire.
Cette journée invite à la réflexion autour des concepts de solidarité, entraide ou combativité mais soulève aussi la problématique du rôle social des musées. Notre réunion de septembre vise à mettre en évidence les points de force révélés dans la difficulté partagée mais aussi les soutiens dont les musées auront besoin pour se relever, se reconstruire, se renouveler
Inscription pour la journée du 24 septembre
Samedi 25 septembre
Visites professionnelles (sur inscription) : musée d'Archéologie de Nice/Cimiez, musée national Marc Chagall, musée Matisse Nice, musée national du Sport
Informations supplémentaires à venir
Photo par M.Erlic
Museocovid - Musées : quelles ouvertures pour demain ?
Museocovid a la plaisir de vous inviter à sa quatrième rencontre en ligne, le 18 mai à partir de 9h
MUSEOCOVID est un cycle de rencontres en ligne pour interroger l'impact de la crise sanitaire sur le monde muséal. Il s'agit d'offrir un espace d'échanges collaboratif pour les communautés des musées afin de réfléchir et avancer ensemble, face à toutes les questions que nous pose cette crise.
Cette nouvelle rencontre portera sur le thème : "Musées : quelles ouvertures pour demain ?"
Le 18 mai sera la journée internationale des musées de l'ICOM, sur le thème : « L’Avenir des musées : se rétablir et se réinventer ». En France, ce sera également la veille du jour où les musées seront autorisés par l'État à rouvrir, après plus de 7 mois de fermeture. Des sentiments contrastés traversent celles et ceux qui font vivre les musées : impatience de retrouver enfin les publics "dans les murs", appréhension de cette rencontre gênée par les restrictions sanitaires, inquiétudes sur la fragilité du financement des musées et des emplois, remise en question des métiers et des pratiques professionnelles…
Le musée de "demain" ne semble pas pouvoir être le même qu'avant la crise du Covid-19. Que pouvons-nous en imaginer aujourd'hui ?
Après une introduction en plénière, la rencontre prendra la forme d'échanges en ligne en petits groupes afin de faciliter le partage de réflexion et d'expérience (il s'agit d'un échange contributif auquel chacun est invité à prendre part).
Inscriptions ouvertes jusqu'à vendredi 14 mai à 18h

Enquête sur la qualité de la numérisation 3D du patrimoine culturel matériel
À partir de septembre 2020, la Chaire Unesco sur le patrimoine culturel numérique (DCH) réalise pour la Commission européenne, en collaboration avec un groupe d'experts de premier plan, une "Étude sur la qualité de la numérisation 3D du patrimoine culturel matériel : paramètres de cartographie, formats, normes, repères, méthodologies et lignes directrices"
Dans ce cadre, le Laboratoire de recherche sur le patrimoine numérique souhaite identifier les réussites en matière de patrimoine numérique 3D (mobilier ou immobilier) selon l'un des critères suivants pour les initiatives :
- Qui ont atteint une haute qualité dans la numérisation 3D du patrimoine culturel matériel, selon l'Exactitude, la Précision et la Résolution.
- Qui ont intégré une complexité élevée dans la numérisation 3D.
- Qui ont conduit à des formats, des normes, des repères, des méthodologies ou des lignes directrices pertinents pour la numérisation 3D du patrimoine culturel matériel (y compris les métadonnées, Paradata).
- Qui ont soutenu l'utilisation/réutilisation de la documentation #3D par des publics spécifiques.
Les contributions sélectionnées seront invitées à participer à l'événement final à la fin du mois de février 2021 et à l'événement politique de haut niveau à la fin du mois de juin 2021.
Le formulaire d'étude de l'UE doit être rempli et soumis par e-mail
Crises et tragédies sanitaires dans les musées d'archéologie, d'histoire et de sites
Les crises sanitaires, épidémiques et pandémiques ont affecté tout au long de l'histoire un grand nombre d'individus dans le monde. Elles nous interpellent par leur ampleur et les cicatrices qu'elles ont laissées sur nos territoires et dans nos mémoires. Dans les musées et sur les sites archéologiques, des objets et des documents ont été collectés, conservés et entretenus. L'analyse de ces témoignages matériels et immatériels nous renseigne sur les variations de la fréquence de ces calamités dans le temps et sur leurs divers effets sur les différentes sociétés.
Cette année, la conférence annuelle de l'ICMAH a pour objectif de réfléchir à ces crises et tragédies passées et à leur impact sur les musées, d'apprécier le rôle de l'archéologie et de l'histoire dans l'information sur ces événements, et d'aborder une série de questions liées à ce sujet. C'est pourquoi le thème de la conférence annuelle 2020 de l'ICMAH est "Crises et tragédies sanitaires dans les musées d'archéologie, d'histoire et de sites".
La conférence se tiendra à Dakar, au Sénégal, du 11 au 15 décembre 2021, accueillie par l'ICOM Sénégal.
Les participants auront la possibilité d'assister à l'événement ou de le rejoindre virtuellement.
Procédures de l'appel à contributions
L' ICMAH accepte les propositions de communication jusqu'au 30 juin 2021.
Retrouvez les informations et les formulaires d'inscription pour la conférence annuelle de l'ICMAH à Dakar 2021 :
Crises et tragédies sanitaires dans les musées d'archéologie, d'histoire et de sites
Les crises sanitaires, épidémiques et pandémiques ont affecté tout au long de l'histoire un grand nombre d'individus dans le monde. Elles nous interpellent par leur ampleur et les cicatrices qu'elles ont laissées sur nos territoires et dans nos mémoires. Dans les musées et sur les sites archéologiques, des objets et des documents ont été collectés, conservés et entretenus. L'analyse de ces témoignages matériels et immatériels nous renseigne sur les variations de la fréquence de ces calamités dans le temps et sur leurs divers effets sur les différentes sociétés.
Cette année, la conférence annuelle de l'ICMAH a pour objectif de réfléchir à ces crises et tragédies passées et à leur impact sur les musées, d'apprécier le rôle de l'archéologie et de l'histoire dans l'information sur ces événements, et d'aborder une série de questions liées à ce sujet. C'est pourquoi le thème de la conférence annuelle 2020 de l'ICMAH est "Crises et tragédies sanitaires dans les musées d'archéologie, d'histoire et de sites".
La conférence se tiendra à Dakar, au Sénégal, du 11 au 15 décembre 2021, accueillie par l'ICOM Sénégal.
Les participants auront la possibilité d'assister à l'événement ou de le rejoindre virtuellement.
Procédures de l'appel à contributions
L' ICMAH accepte les propositions de communication jusqu'au 30 juin 2021.
Retrouvez les informations et les formulaires d'inscription pour la conférence annuelle de l'ICMAH à Dakar 2021 :
Table ronde sur l’Open data culturel – Le virtuel et le tangible
L’association Musées Méditerranée vous propose de participer à une table ronde sur l’Open data culturel le jeudi 20 mai 2021 à partir de 14h00 en visioconférence.
Cette table ronde, portant sur le thème du virtuel et du tangible, sera notamment consacrée à des retours d’expériences collaboratives impliquant la société civile à la constitution de corpus d’images en open data constitués à partir de l’accès aux collections publiques.
Nous vous invitons à télécharger ci-contre le programme prévisionnel de cette rencontre.
Les personnes intéressées pour participer à cette table ronde sont invitées à se préinscrire en ligne d’ici le 12 mai 2021.
