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Favoriser l'inclusion des personnes autistes dans les musées
Le Dallas Museum of Art, le Musée des Beaux-Arts de Montréal et le Palais des Beaux-Arts de Lille, avec le soutien de FRAME, publient un guide numérique destiné à la communauté muséale, en vue de favoriser l'accueil des publics autistes
Le Dallas Museum of Art (DMA), le Musée des beaux-arts de Montréal (MBAM) et le Palais des Beaux-Arts de Lille (PBALille) ont chacun développé, au cours des dernières années, des programmes conçus sur mesure pour les personnes autistes et neurodivergentes. Les trois institutions, toutes membres du réseau FRAME (French American Museum Exchange), ont mis en commun leur expertise dans le Guide muséal pour l’accueil des personnes autistes, accessible gratuitement en ligne.
Agents de changement, d’inclusion et de cohésion sociale, les musées membres du réseau FRAME se sont pleinement engagés à assurer à l’ensemble des publics un égal accès à leurs collections, par l’entremise de programmes ciblés destinés aux visiteurs ayant des besoins particuliers. Souhaitant étendre l’expérience artistique et muséale aux personnes avec un trouble du spectre de l’autisme (TSA), des publics qui ne trouvent que peu de programmes muséaux adaptés, FRAME, le DMA, le MBAM et le PBALille publient, pour clore le Mois de la sensibilisation à l’autisme (avril), un guide d’accompagnement pouvant être adopté par d’autres musées aux quatre coins du monde. Ce recueil disponible en ligne inaugure une série d’initiatives intitulées FRAMEworks.
Cette publication inédite donne des clés de compréhension et des outils pour concevoir des activités de médiation et aménager des espaces en tenant compte des besoins spécifiques des visiteurs avec un trouble du spectre de l’autisme. Les recommandations et les conseils pratiques que ce guide renferme découlent de projets menés par les services éducatifs des trois musées membres du réseau FRAME, qui fédère trente-deux musées au Canada, en France et aux États-Unis. Ces activités réalisées avec la collaboration de parents d’enfants neurodivergents, d’organismes communautaires, des milieux éducatifs et de la recherche confirment l’importance du rôle joué par les musées d’art dans la société.
Le réseau FRAME est le catalyseur de la coopération entre le Dallas Museum of Art, le Palais des Beaux-Arts de Lille et le Musée des beaux-arts de Montréal. Il a soutenu et permis la réalisation de cette publication exemplaire. À partir de ce travail novateur, FRAME inaugure une série de guides en ligne intitulés FRAMEworks. Cette initiative participe de façon innovante à la promotion du dialogue culturel transatlantique et favorise le développement à l’international de programmes féconds pour les musées du XXIe siècle et tous les publics.
Télécharger le Guide muséal pour l'accueil des personnes autistes
Des activités virtuelles pour les personnes neurodivergentes : Le Dallas Museum of Art, le Musée des beaux-arts de Montréal et le Palais des Beaux-Arts de Lille proposent une série de trois ateliers vidéo sur le thème Notre monde naturel. Ensemble, ils fournissent des instructions étape par étape permettant de réaliser des activités créatives sensorielles conçues spécifiquement pour les personnes neurodivergentes.
Découvrez les trois activités en ligne ICI
Lancement de CHARTER - l'Alliance européenne pour les compétences du patrimoine culturel
Le 29 avril marque le lancement officiel d'un nouveau projet transfrontalier européen auquel NEMO participe. L'alliance CHARTER unira et professionnalisera le secteur européen du patrimoine culturel.
L'alliance CHARTER réunit l'expertise de 47 organisations européennes du patrimoine culturel afin de garantir un secteur durable et pérenne. Pendant quatre ans, ce projet financé par Erasmus+ permettra de professionnaliser le secteur et de démontrer sa contribution à des sociétés et des économies durables et prospères.
Le projet découle du manque de reconnaissance statistique du secteur du patrimoine culturel, car sans elle, l'impact économique du secteur passe inaperçu. Par conséquent, son potentiel de renforcement des identités culturelles européennes et de la cohésion sociale ne peut être réalisé.
L'initiative recensera les besoins du secteur du patrimoine culturel afin d'identifier les pénuries et les inadéquations de compétences et de développer des programmes de formation adaptés pour les professionnels du patrimoine culturel déjà actifs. L'Alliance aidera également le système éducatif à être réactif et à adapter les programmes et les objectifs d'apprentissage en fonction des besoins réels du secteur. La mise à niveau des compétences fondamentales et transversales sera facilitée et les échanges tout au long de la vie, le renforcement des capacités et la mobilité en Europe seront encouragés. Tous ces efforts combinés permettront de professionnaliser le secteur et la CHARTER montrera que le patrimoine culturel fait partie intégrante de la durabilité sociale, économique et environnementale.
En savoir plus sur l'Alliance CHARTER

Accord France-Canada pour la coopération et les échanges dans le domaine des musées
Signé le 26 novembre 1990 par les gouvernements du Canada et de la France, l’Accord France-Canada vise à :
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établir et maintenir des liens privilégiés et durables entre les institutions muséales du Canada et de la France
-
améliorer les compétences des professionnels des musées grâce à l’échange de bonnes pratiques,
-
optimiser la mise en œuvre de projets conjoints.
En France, la coordination de ce programme intergouvernemental a été, dès l’origine, confiée au Ministère de la culture, et plus particulièrement à la Direction des musées et au Département des affaires internationales. En 1996, le Ministère en charge de l’éducation nationale, puis en 2006 le Ministère de la défense et des anciens combattants se sont associés à l’Accord afin d’en faire bénéficier leurs propres institutions muséales. Au Canada, depuis 2005, le Ministère du patrimoine canadien administre l’Accord dans le cadre du Programme d’Aide aux Musées (PAM). Depuis 1990, près de 600 musées, universités et centres de recherche ou de conservation, français et canadiens, et plus de 1000 professionnels ont pu développer des expertises et des projets avec l’appui de l’accord, dans des secteurs aussi divers que la conservation, la restauration, l’inventaire, la recherche, la formation et le perfectionnement professionnels, l’organisation de colloques ou séminaires, la production de documents multimédia, l’expérimentation, l’innovation, etc.
Concrètement, l’accord apporte une contribution financière à la réalisation de projets de coopération et d’échanges mais il ne peut couvrir l’ensemble des dépenses figurant au budget. Il permet avant tout de prendre en charge les frais de voyage et de séjour. En revanche, l’accord ne prend en charge ni la réalisation ni la circulation des expositions.
Une attention particulière sera portée aux projets qui concernent : les relations entre science, recherche et société, par exemple l'impact de la culture scientifique, technique et industrielle dans la construction de l'esprit critique, le rôle des institutions muséales face au désordre informationnel, les démarches participatives, la complémentarité entre les dispositifs de médiation présentiel et distanciel, les interactions entre acteurs de la recherche et musées, l'élargissement et la diversification des publics, le patrimoine scientifique et technique contemporain, les collections issues de l’enseignement supérieur et de la recherche, etc.
Organismes admissibles
- Les musées (institutions muséales répondant à la définition élargie de l’ICOM dans ses statuts et dans son règlement intérieur révisés en 2017).
- Centres de culture scientifique, technique et industrielle, planétariums, jardins botaniques, etc.
- Établissements d’enseignement supérieur développant des filières ouvrant sur les métiers spécifiques des musées et sur la muséologie.
- Associations ou regroupements d’institutions muséales, instituts ou centres de recherche sans but lucratif spécialisés dans un ou plusieurs domaines de la muséologie.
Un partenariat avec un pays tiers peut également figurer dans un projet élaboré conjointement par des institutions françaises et canadiennes.
Du côté canadien, à l’exception des six musées nationaux, tous les musées constitués en société sans but lucratif sont admissibles. Les institutions canadiennes d’enseignement supérieur ou de recherche en muséologie ne peuvent être « porteuses » en tant que telles, mais peuvent être associées aux projets.
Date limite de dépôt des dossiers : 31 août 2022
Composition du dossier :
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Descriptif et objectifs du projet (partenaires, résultats attendus, indicateurs envisagés pour l'évaluation du projet, publics visés...)
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Coordonnées du porteur de projet français et du porteur de projet canadien,
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Entente de coopération signée par les 2 parties (modèle à télécharger),
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Budget total en euros et en dollars canadiens (modèle à télécharger) ; avec les autres soutiens financiers attendus (collectivités territoriales, ministère, secteur privé),
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Calendrier détaillé de l’ensemble de l’opération et des missions, ; préciser les mesures envisagées pour valoriser les résultats auprès de la communauté muséale.
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CV et expérience éventuelle en matière de coopération internationale.
Engagement des porteurs de projets :
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Fournir un rapport final dans les trois mois suivant la fin d’exécution du projet,
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Valoriser les acquis du séjour (conférences, participations à des séminaires, publications…)
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Mentionner l’appui apporté par l’Accord dans tout document public.
Financement
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Frais de voyage : Les billets d'avion des bénéficiaires de l'Accord sont pris en charge par le pays d'origine. Les frais de transport à l'intérieur du pays hôte sont pris en charge par celui-ci.
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Frais de séjour : En France, le participant reçoit une indemnité journalière de 120€ en région et de 140€ à Paris incluant l'hébergement et les frais de restauration. A titre indicatif, les montants en vigueur au Canada sont de 91,50$ pour les repas, 17,30$ pour les faux frais et entre 100$ et 120$ pour l'hébergement.
Envoi des dossiers
Les dossiers doivent être déposés, au plus tard le 31 août 2022, dans les deux pays : au Canada par le porteur de projet canadien et en France par le porteur de projet français.
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En France, les projets doivent être adressés au Ministère de la culture, à : Orane Proisy, Département des affaires européennes et internationales, Direction générale des patrimoines – 6, rue des Pyramides – 75001 Paris
Contact : orane.proisy[a]culture.gouv.fr – +33 (0)1.40.15.32.86
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Les projets à caractère scientifique et technique doivent de plus être adressés au Ministère de l’enseignement supérieur, de la recherche et de l'innovation à : Anne Nivart, Direction générale pour la recherche et l’innovation – 1 rue Descartes - 75005 Paris
Contact : anne.nivart[a]recherche.gouv.fr – +33 (0)1.55.55.82.29
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Les projets ayant un rapport avec l’histoire militaire doivent de plus être adressés au Ministère des Armées – Direction de la mémoire du patrimoine et des archives, Délégation des patrimoines culturels – 37, rue de Bellechasse – 75007 Paris
Contact : matthieu.chambrion[a]intradef.gouv.fr – +33 (0)9.88.68.65.28
Festival de l'Histoire de l'Art
A l’occasion de sa dixième édition, le Festival de l’histoire de l’art s’enrichit d’un nouveau volet, spécifiquement dédié aux professionnels de l’art et du patrimoine
Les rencontres professionnelles du Festival de l'histoire de l'art, organisées en partenariat avec le Service des Musées de France de la Direction Générale des patrimoines et de l’architecture du Ministère de la culture, seront l’occasion de dialogues, de rencontres et de partages de compétences entre les professionnels du milieu de l’art et du patrimoine : universitaires, conservateurs, restaurateurs, médiateurs, responsables des collections, archivistes, chargés d’inventaire, régisseurs, professionnels du marché de l’art, journalistes spécialisés, etc
Les vendredi 4 et samedi 5 juin, ce sont deux demi-journées de formation, conçues sous forme de tables rondes et d’ateliers qui révéleront la perméabilité entre les domaines de l’histoire de l’art autour d’une thématique : « Université et patrimoine. Projets de recherche collaboratifs au croisement des métiers de l’histoire de l’art » .
Programme détaillé des rencontres
Le nombre de places étant limité, nous vous invitons à vous inscrire dès à présent aux Rencontres professionnelles.

Notre-Dame de Paris et l’émotion patrimoniale
Cycle de conférences « Comprendre Notre-Dame de Paris. De la cathédrale au monument »
Mercredi 5 mai à 18h30, en ligne : "Notre-dame de Paris et l'émotion patrimoniale"
Depuis 2019, l’INP et l’INHA s’associent pour proposer un cycle de conférences dédié à Notre-Dame de Paris. Après le choc de l’incendie, et tandis que s’organise le chantier de la restauration, il importe de comprendre les raisons de l’émotion patrimoniale planétaire suscité par le sinistre du 15 avril 2019 et de dépasser les polémiques médiatiques qui l’on suivi.
Organisé sous la forme de tables rondes, ce cycle se développe à raison d’une soirée par mois. Chaque rencontre réunit scientifiques, chercheurs et professionnels du patrimoine pour débattre d’un thème en relation avec l’histoire et la restauration de Notre-Dame : « Quand Notre-Dame est devenue patrimoine », « Notre-Dame monument de la littérature et des arts », « la restauration de l’orgue» ou encore « la charpente » sont quelques exemples des thèmes que l’on se propose de traiter dans le cadre de ce rendez-vous régulier.
Table ronde avec :
- Bénédicte Fichet, conservatrice du patrimoine aux Archives nationales, et ancienne représentante de l’association C.A.S.A. des guides-conférenciers de Notre-Dame
- Claudie Voisenat, ingénieure de recherche ministère de la Culture, Héritages
Discussion animée par Christian Hottin, directeur des études du département des conservateurs, INP
Les conférences sont enregistrées et accessibles sur la chaîne SoundCloud de l’INP ou sur la chaîne YouTube de l’INHA
Quel héritage ? Significations, expériences et dialogue
Conférence les 24 et 25 novembre 2021 - à l'auditorium des Musées nationaux de Finlande, Helsinki (ou en ligne selon la pandémie)
Les considérations et les débats sur les différentes significations associées au patrimoine et à sa propriété réelle et symbolique sont devenus cruciaux tant en Finlande que dans le monde occidental. De nombreux mouvements sociaux et politiques axés sur l'inégalité mondiale ont profondément influencé ces débats, notamment les débats sur l'appropriation culturelle, le rapatriement du patrimoine culturel, la décolonisation et la reconnaissance des pratiques patrimoniales et de la culture matérielle autochtones. Les significations du patrimoine culturel sont toujours à plusieurs niveaux. Plusieurs récits différents, voire concurrents, peuvent être construits à partir de chaque patrimoine culturel.
Les définitions du patrimoine culturel sont intimement liées au pouvoir. Les politiques, définitions et pratiques de préservation officielles du patrimoine culturel ne reflètent pas toujours la manière dont les différents groupes comprennent et vivent leur environnement culturel. Cela soulève des questions telles que : A qui appartient le patrimoine culturel qui est préservé et selon quelles conditions ? Quels sont les éléments qui déterminent les décisions de préservation : la signification historique, les conditions économiques ou les besoins et désirs des communautés ?
Le séminaire est organisé conjointement par l'Agence finlandaise du patrimoine, le service Culture pour tous et le projet HERIDI (Université de Jyväskylä, département des études sur la musique, l'art et la culture). Il cherche à aborder des questions d'actualité liées au patrimoine culturel et aux luttes associées de signification, de propriété, de pouvoir et de dialogue. Au lieu de la juxtaposition ou de la confrontation, un dialogue ouvert et respectueux peut approfondir notre compréhension des différentes significations du patrimoine et des expériences, émotions, valeurs et luttes de pouvoir qui y sont associées.
Le séminaire de deux jours commence par un séminaire académique, tandis que le deuxième jour est consacré à des tables rondes thématiques destinées à un public plus large
Nous invitons les présentations relatives aux sites, objets et environnements du patrimoine national, international et mondial, ainsi qu'au patrimoine immatériel. En outre, les présentations conceptuelles, orientées vers la théorie et basées sur l'expérience sont les bienvenues. L'appel à contribution est ouvert à toutes les disciplines et approches. Vous pouvez également vous proposer ou proposer quelqu'un d'autre comme intervenant.
Les sujets potentiels peuvent inclure :
- La décolonisation et le rapatriement du patrimoine culturel
- Les hiérarchies de pouvoir et l'utilisation du pouvoir dans la politique et la préservation du patrimoine culturel
- L' appropriation et la propriété du patrimoine culturel
- Le patrimoine et les politiques identitaires
- Les relations entre le patrimoine culturel, la culture populaire et les cultures souterraines
- Les significations personnelles et communautaires du patrimoine culturel
- Les expériences, les émotions et l'affectivité du patrimoine culturel
- Les lieux et environnements du patrimoine
- Le militantisme en faveur du patrimoine culturel
- Le patrimoine culturel oublié et réduit au silence
- Le patrimoine culturel difficile et conflictuel
- L'hybridité du patrimoine
- Les pratiques, discours et approches inclusives du patrimoine
- Les différentes significations du patrimoine dans l'éducation au patrimoine culturel
- Le dialogue inter-patrimoine et la diplomatie du patrimoine culturel
Vous pouvez faire votre présentation en finnois, suédois ou anglais. La proposition doit contenir le nom de l'auteur, son titre, son affiliation, son adresse électronique, le titre et un résumé de 200-250 mots.
Toutes les propositions doivent être envoyées avant le 31 mai 2021.
Vous pouvez également suggérer des intervenants à la même adresse.
Présentation du dispositif pass Culture
L’équipe du pass Culture, une application gratuite portée par le ministère de la Culture qui encourage les jeunes de 18 ans à diversifier leurs pratiques culturelles, propose un webinaire de présentation de ce dispositif.
Vous pouvez encore vous inscrire à la session de demain mardi 4 mai 2021 à 11h00. Elle est accessible sur inscription .
Au programme : présentation du dispositif, des outils, retours sur expérience et questions/réponses.
Plus d’informations sur le site de l’Amcsti
En 2021, les assemblées annuelles de l’ICOM seront en ligne !
Compte tenu de la pandémie est toujours parmi nous, des restrictions de voyage et de notre préoccupation pour la sécurité et la santé de tous les membres et du personnel de l’ICOM, les assemblées annuelles se tiendront en ligne pour la deuxième fois.
Tous les membres de l’ICOM, à jour de leur cotisation, sont invités à assister en ligne à l’Assemblée générale extraordinaire de l’ICOM le 18 juin 2021 de 12h00 à 13h00 (heure de Paris) et la 36e Assemblée générale ordinaire de l’ICOM le 18 juin 2021 de 13h00 à 14h30 (heure de Paris).
Tous les membres pourront suivre la réunion en direct sur le web. Pour des raisons de sécurité, le lien sera envoyé à chaque membre par courriel et affiché dans l’espace réservé aux membres. La réunion sera enregistrée et les membres pourront la regarder, dans l’espace réservé aux membres, pendant un temps limité après la réunion.
En raison de contraintes techniques, l’anglais sera la langue principale utilisée pendant la réunion. Cependant, des interprétations simultanées en français et en espagnol seront assurées tout au long de la réunion.
Afin d’offrir la meilleure expérience possible aux membres de l’ICOM, des lignes directrices ont été préparées et seront disponibles dans l’espace réservé aux membres, ainsi que des documents de travail.
Afin de garantir un déroulement optimal des réunions, nous vous serions très reconnaissants d’envoyer toutes les questions relatives aux documents de travail au Président ou au Secrétaire de votre Comité National ou International, de votre Alliance Régionale ou de votre Organisation Affiliée, qui sera chargé de les transmettre au Secrétariat de l’ICOM avant le vendredi 28 mai 2021 (minuit, heure de Paris).
Comme l’organisation de cette réunion représente un véritable défi d’un point de vue technique et compte tenu du très grand nombre de membres de l’ICOM (plus de 48 000 dans le monde), seulement un représentant par chaque comité/alliance régionale/organisation affiliée (nommé par les présidents) pourra prendre la parole au nom de son comité/alliance régionale/organisation affiliée.
Nous encouragerons également la participation sur les réseaux sociaux via le hashtag #AnnualMeetings.

En 2021, les assemblées annuelles de l’ICOM sont en ligne !
Compte tenu de la pandémie est toujours parmi nous, des restrictions de voyage et de notre préoccupation pour la sécurité et la santé de tous les membres et du personnel de l’ICOM, les assemblées annuelles se tiendront en ligne pour la deuxième fois.
Tous les membres de l’ICOM, à jour de leur cotisation, sont invités à assister en ligne à l’Assemblée générale extraordinaire de l’ICOM le 18 juin 2021 de 12h00 à 13h00 (heure de Paris) et la 36e Assemblée générale ordinaire de l’ICOM le 18 juin 2021 de 13h00 à 14h30 (heure de Paris).
Tous les membres pourront suivre la réunion en direct sur le web. Pour des raisons de sécurité, le lien sera envoyé à chaque membre par courriel et affiché dans l’espace réservé aux membres. La réunion sera enregistrée et les membres pourront la regarder, dans l’espace réservé aux membres, pendant un temps limité après la réunion.
En raison de contraintes techniques, l’anglais sera la langue principale utilisée pendant la réunion. Cependant, des interprétations simultanées en français et en espagnol seront assurées tout au long de la réunion.
Afin d’offrir la meilleure expérience possible aux membres de l’ICOM, des lignes directrices ont été préparées et seront disponibles dans l’espace réservé aux membres, ainsi que des documents de travail.
Afin de garantir un déroulement optimal des réunions, nous vous serions très reconnaissants d’envoyer toutes les questions relatives aux documents de travail au Président ou au Secrétaire de votre Comité National ou International, de votre Alliance Régionale ou de votre Organisation Affiliée, qui sera chargé de les transmettre au Secrétariat de l’ICOM avant le vendredi 28 mai 2021 (minuit, heure de Paris).
Comme l’organisation de cette réunion représente un véritable défi d’un point de vue technique et compte tenu du très grand nombre de membres de l’ICOM (plus de 48 000 dans le monde), seulement un représentant par chaque comité/alliance régionale/organisation affiliée (nommé par les présidents) pourra prendre la parole au nom de son comité/alliance régionale/organisation affiliée.
Nous encouragerons également la participation sur les réseaux sociaux via le hashtag #AnnualMeetings.

Réouverture des musées
La reprise d’activité sera échelonnée en trois phases débutant respectivement le 19 mai, le 9 juin et le 30 juin.
Indications, communiquées par le service des musées de France, concernant la capacité d’accueil à respecter :
- A partir du 19 mai : jauge de 8m2 par visiteur
- A partir du 9 juin : augmentation de la jauge, descendant à 4m2 par visiteur
- A partir du 30 juin : jauge à 100% de sa capacité d’accueil
Les réservations sont fortement recommandées et bien évidemment le respect des gestes barrières et d'une distanciation physique s’impose.
Nous savons à quel point vous avez travaillé sur vos protocoles, qu’il s’agit maintenant de mettre concrètement en œuvre, pour protéger vos publics et équipes.
Restez attentifs, cependant, aux dispositions réglementaires complémentaires qui seront connues dans les jours à venir : nous vous les communiquerons au fur et à mesure de leur parution.
Et surtout, localement, les préfectures et rectorats peuvent être amenés à donner des indications plus spécifiques : consultez-les !
Nous restons à votre écoute et à vos côtés pour vous aider à préparer au mieux et au plus vite vos réouvertures.
Bon courage !