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La rencontre professionnelle 2020 d'ICOM France s'est tenue sur la plateforme Zoom le 25 septembre, de 9h à 13h.
Retrouvez les trois sessions captées depuis l'Institut national du patrimoine.
Session 1 : Ouvertures officielles
Avec les interventions de :
- Charles Personnaz, directeur - Institut national du patrimoine
- Juliette Raoul-Duval, présidente - ICOM France
- Alberto Garlandini, président - ICOM
Session 2 : Impacts économiques de la crise sanitaire sur les musées
Avec les interventions de :
- Jérôme Farigoule, conservateur - Direction générale des patrimoines
- Françoise Benhamou, professeur d'économie et membre du Cercle des économistes
- Alessandro Gaballo, chargé de communication - ICOM
Session 3 : Table ronde "La culture au coeur de la reconstruction : place et mission du musée de demain"
Avec les interventions de :
- Hervé Barbaret, directeur général de l'Agence France-Muséums
- Alexandre Chevalier, président d'ICOM Belgique, chercheur à l'Institut Royal des Sciences naturelles de Belgique
- Jean-François Chougnet, président du MuCEM
- Philippe Guillet, directeur du Muséum d'histoire naturelle de Nantes
- Paul Lang, directeur des musées de la Ville de Strasbourg
- Pia Müller-Tamm, directrice de la Staatliche Kunsthalle Karlsruhe
- Sylvie Ramond, directrice du pôle des musées de Lyon MBA/MAC
- Modération : Juliette Raoul-Duval et Philippe Guillet
Cycle de débats virtuels : " Réouvertures, où en êtes-vous ? "
La séance 10 du cycle de débats virtuels d'ICOM France, animée par Juliette Raoul-Duval, aura lieu le mercredi 7 octobre à partir de 14h sur la plateforme Zoom.
Sur le thème " En six mois, que de changements ! Si on vous dit résilience, que répondez-vous ? ", le débat débutera par quatre interventions préliminaires de :
- Olivier Cogne, directeur - Musée dauphinois
- Laure Ménétrier, directrice - Musée du vin de Champagne et d'Archéologie régionale d'Epernay
- Nathalie Steffen, cheffe du service des ateliers - Musée du Louvre
- Annabelle Ténèze, directrice - Les Abattoirs, FRAC Occitanie Toulouse
La parole sera ensuite donnée aux participants.
Pour rejoindre la séance : lien vers séance Zoom
ID de réunion : 872 7776 5556
Mot de passe : 964900
Défis éthiques lors du travail sur la restitution du patrimoine des collections coloniales
ICOM France relaie l'actualité d'IC Ethics.
«Les musées doivent être prêts à engager un dialogue pour le retour des biens culturels dans leur pays d'origine» déclare le paragraphe 6.2 du Code d'éthique (2004). Seize ans plus tard, n'avons-nous pas dépassé le stade de préparation ? Ne devrait-on pas demander aux musées une attitude plus proactive? Quels dilemmes - de part et d'autre - compliquent ce processus de retour ? La diaspora a-t-elle un rôle à jouer ?
Après une présentation préliminaire des problématiques récentes, nous commencerons la discussion.
Introduction : Dr Jos van Beurden, chercheur principal affilié aux collections coloniales et aux problèmes de restitution à l'Université libre d'Amsterdam (Pays-Bas)
Présentations des récents dilemmes éthiques :
- Prof. Hamady Bocoum, directeur général de la Musée des civilisations noires, Dakar (Sénégal)
- Dr Adriana Muñoz, conservatrice latino-américaine aux Musées nationaux de la culture mondiale Suède (Suède)
- Roselyne Francken MA, conservatrice et conservatrice de la collection Asie au MAS, Anvers (Belgique)
Modérateur: Andrea Kieskamp, membre du conseil d'administration d'IC Ethics
Pour accéder à la réunion : lien vers la réunion Zoom
Pour plus d'information : site internet IC Ethics
Défis éthiques lors du travail sur la restitution du patrimoine des collections coloniales
ICOM France relaie l'actualité d'IC Ethics.
«Les musées doivent être prêts à engager un dialogue pour le retour des biens culturels dans leur pays d'origine» déclare le paragraphe 6.2 du Code d'éthique (2004). Seize ans plus tard, n'avons-nous pas dépassé le stade de préparation ? Ne devrait-on pas demander aux musées une attitude plus proactive? Quels dilemmes - de part et d'autre - compliquent ce processus de retour ? La diaspora a-t-elle un rôle à jouer ?
Après une présentation préliminaire des problématiques récentes, nous commencerons la discussion.
Introduction : Dr Jos van Beurden, chercheur principal affilié aux collections coloniales et aux problèmes de restitution à l'Université libre d'Amsterdam (Pays-Bas)
Présentations des récents dilemmes éthiques :
- Prof. Hamady Bocoum, directeur général de la Musée des civilisations noires, Dakar (Sénégal)
- Dr Adriana Muñoz, conservatrice latino-américaine aux Musées nationaux de la culture mondiale Suède (Suède)
- Roselyne Francken MA, conservatrice et conservatrice de la collection Asie au MAS, Anvers (Belgique)
Modérateur: Andrea Kieskamp, membre du conseil d'administration d'IC Ethics
Pour accéder à la réunion : lien vers la réunion Zoom
Pour plus d'information : site internet IC Ethics
Paiement par chèque
Votre demande de renouvellement d’adhésion individuelle a bien été prise en compte et sera prochainement validée.
A réception de notre message de validation, merci d’établir le chèque à l’ordre d’ICOM France en y indiquant les nom et prénom de l’adhérent ainsi que le numéro ICOM et de l’envoyer à ICOM France – 16 rue Massenet – 75116 Paris.
Paiement par virement
Votre demande de renouvellement d’adhésion individuelle a bien été prise en compte.
A réception de notre message de validation, merci de régler votre adhésion par virement sous 8 jours sur le compte bancaire d’ICOM France et d’indiquer en référence vos nom, prénom et numéro ICOM.
Nos coordonnées bancaires : IBAN : FR53 2004 1000 0100 4831 5X02 009
BIC : PSSTFRPPPAR
Attention : si vous souhaitez régler votre adhésion par mandat administratif, merci de suivre la procédure indiquée pour le renouvellement d’une adhésion institutionnelle ou de nous contacter : cotisation.icomfrance@gmail.com.
De quoi musée est-il le nom ?
Musée n’est pas une appellation protégée. Celle de « musée de France » permet de dresser des caractéristiques objectives communes (collections, inventaire, non lucrativité, accueil des publics…) et de recenser les musées qui y répondent. Mais il existe de nombreux établissements qui justifieraient de cette appellation et ne la demandent pas. Et d’autres qui n’en remplissent pas les critères mais s’appellent « musées », parce que c’est sérieux et attire des visiteurs, preuve que musée est un terme désirable, même si parfois on le trouve aussi « poussiéreux ».
De quoi musée est-il donc le nom ?
L’actualité nous invite à ce questionnement. On devrait dire plutôt les actualités, tant notre milieu professionnel est sous ses feux en ce moment :
- la « nouvelle » définition des musées qui revient en débat au sein de l’ICOM, retravaillée par un comité ad hoc. On se souvient de la sidération qu’avaient provoqué il y a un an les termes proposés pour redéfinir un musée et ceux relégués en second plan : collections, éducation, plaisir… ;
- la « décolonisation » des musées fait l’objet de nombreux travaux universitaires et est aussi devenu l’une des thématiques centrales de l’ICOM international, en lien avec la « nouvelle définition », précédée d’un rapport où l’on peut lire que : « les musées occidentaux n’ont été créés que pour abriter les pillages coloniaux » (merci à Krzysztof Pomian de rappeler la chronologie de l’histoire des musées dès le premier tome, juste paru, de son œuvre monumentale Le Musée, une histoire mondiale) ;
- les Restitutions, sur lesquelles se penchent en cet automne députés et sénateurs, autour d’un projet de loi permettant le retour de 26 objets issus de prises de guerre au Benin et au Sénégal. Au-delà du respect d’un engagement présidentiel, la riche réflexion conduite à l’occasion de ce débat parlementaire pose les questions de fond concernant la provenance des collections, leur conservation, les relations professionnelles avec les pays d’origine, les enjeux de la diplomatie culturelle, le sens de la loi française et en particulier l’inaliénabilité et l’imprescriptibilité des collections publiques, etc… ; »
- le mouvement Black Lives Matter et à sa suite, le « déboulonnage » de statues témoins de l’esclavage et de la colonisation ou le descellement d’un objet funéraire au musée du quai Branly-Jacques Chirac.
De quoi musée est-il le nom à l’heure de la Covid-19 ? Après deux décennies d’incitations pour attirer le plus grand nombre de visiteurs, que devient la « démocratisation » de l’accès pour tous face aux règles de distanciation ?
De quoi musée est-il le nom quand le concept d’universalité est remis en question dans une grande partie du monde des musées ?
De quoi musée est-il le nom à l’heure du numérique, quand le musée vient à soi sur un écran ?
De quoi musée est-il le nom à l’heure de la mondialisation ? Le Louvre à Abu Dhabi, le centre Pompidou à Shanghai, … le nom du musée est une marque et le musée se déplace au moment-même où l’on s’interroge : la place d’un objet, est-ce là où le plus grand nombre de visiteurs le voit ? là où il est le mieux conservé ? Là d’où il vient ?
A ICOM France, ce qui nous frappe au cœur de ces débats, c’est le désir très vif des professionnels d’être acteurs des transformations à l’œuvre et, notamment, de travailler sur les sujets sensibles. Que l’on parle de « réserves » ou de « provenance » des collections, nous entendons des responsables qui aspirent à pouvoir travailler sur ces objets, les documenter, les montrer, en faire récit, contribuer ce faisant à l’écriture d’une histoire partagée.
C’est l’enjeu d’une soirée-débat « déontologie », organisée en étroite collaboration avec l’INP, de mettre en valeur ces compétences et d’inviter à les mobiliser.
Cette séance est organisée en direct sur une plateforme numérique et se tiendra simultanément en français, en anglais et en espagnol.
Programme de la séance
Ouvertures
- Charles Personnaz, directeur de l'Institut national du patrimoine
- Juliette Raoul-Duval, présidente d'ICOM France
Intervenants
- Nathalie Bondil, vice-présidente du Conseil des Arts du Canada
- Bruno Brulon-Soares, président d'ICOFOM
- Luc Eekhout, directeur du Stichting Kasteel Heeswijk - ancien président d'ICOM Pays-Bas
- Ariane James-Sarazin, directrice adjointe du musée de l'Armée
- Emmanuel Kasarhérou, président du musée du quai Branly - Jacques Chirac
- Charles Personnaz, directeur de l'Institut national du patrimoine
- Yannick Lintz, directrice du département des Arts de l'Islam, musée du Louvre
Débat modéré par Juliette Raoul-Duval et Hélène Vassal
Conclusion : Christian Hottin, directeur des études de l'Institut national du patrimoine
Liens vers la séance Zoom
Pour nous rejoindre : lien vers la séance
ID de réunion : 896 6493 5894
Code : 063496
De quoi musée est-il le nom ?
Musée n’est pas une appellation protégée. Celle de « musée de France » permet de dresser des caractéristiques objectives communes (collections, inventaire, non lucrativité, accueil des publics…) et de recenser les musées qui y répondent. Mais il existe de nombreux établissements qui justifieraient de cette appellation et ne la demandent pas. Et d’autres qui n’en remplissent pas les critères mais s’appellent « musées », parce que c’est sérieux et attire des visiteurs, preuve que musée est un terme désirable, même si parfois on le trouve aussi « poussiéreux ».
De quoi musée est-il donc le nom ?
L’actualité nous invite à ce questionnement. On devrait dire plutôt les actualités, tant notre milieu professionnel est sous ses feux en ce moment :
- la « nouvelle » définition des musées qui revient en débat au sein de l’ICOM, retravaillée par un comité ad hoc. On se souvient de la sidération qu’avaient provoqué il y a un an les termes proposés pour redéfinir un musée et ceux relégués en second plan : collections, éducation, plaisir… ;
- la « décolonisation » des musées fait l’objet de nombreux travaux universitaires et est aussi devenu l’une des thématiques centrales de l’ICOM international, en lien avec la « nouvelle définition », précédée d’un rapport où l’on peut lire que : « les musées occidentaux n’ont été créés que pour abriter les pillages coloniaux » (merci à Krzysztof Pomian de rappeler la chronologie de l’histoire des musées dès le premier tome, juste paru, de son œuvre monumentale Le Musée, une histoire mondiale) ;
- les Restitutions, sur lesquelles se penchent en cet automne députés et sénateurs, autour d’un projet de loi permettant le retour de 26 objets issus de prises de guerre au Benin et au Sénégal. Au-delà du respect d’un engagement présidentiel, la riche réflexion conduite à l’occasion de ce débat parlementaire pose les questions de fond concernant la provenance des collections, leur conservation, les relations professionnelles avec les pays d’origine, les enjeux de la diplomatie culturelle, le sens de la loi française et en particulier l’inaliénabilité et l’imprescriptibilité des collections publiques, etc… ; »
- le mouvement Black Lives Matter et à sa suite, le « déboulonnage » de statues témoins de l’esclavage et de la colonisation ou le descellement d’un objet funéraire au musée du quai Branly-Jacques Chirac.
De quoi musée est-il le nom à l’heure de la Covid-19 ? Après deux décennies d’incitations pour attirer le plus grand nombre de visiteurs, que devient la « démocratisation » de l’accès pour tous face aux règles de distanciation ?
De quoi musée est-il le nom quand le concept d’universalité est remis en question dans une grande partie du monde des musées ?
De quoi musée est-il le nom à l’heure du numérique, quand le musée vient à soi sur un écran ?
De quoi musée est-il le nom à l’heure de la mondialisation ? Le Louvre à Abu Dhabi, le centre Pompidou à Shanghai, … le nom du musée est une marque et le musée se déplace au moment-même où l’on s’interroge : la place d’un objet, est-ce là où le plus grand nombre de visiteurs le voit ? là où il est le mieux conservé ? Là d’où il vient ?
A ICOM France, ce qui nous frappe au cœur de ces débats, c’est le désir très vif des professionnels d’être acteurs des transformations à l’œuvre et, notamment, de travailler sur les sujets sensibles. Que l’on parle de « réserves » ou de « provenance » des collections, nous entendons des responsables qui aspirent à pouvoir travailler sur ces objets, les documenter, les montrer, en faire récit, contribuer ce faisant à l’écriture d’une histoire partagée.
C’est l’enjeu d’une soirée-débat « déontologie », organisée en étroite collaboration avec l’INP, de mettre en valeur ces compétences et d’inviter à les mobiliser.
Cette séance est organisée en direct sur une plateforme numérique et se tiendra simultanément en français, en anglais et en espagnol.
Programme de la séance
Ouvertures
- Charles Personnaz, directeur de l'Institut national du patrimoine
- Juliette Raoul-Duval, présidente d'ICOM France
Intervenants
- Nathalie Bondil, vice-présidente du Conseil des Arts du Canada
- Bruno Brulon-Soares, président d'ICOFOM
- Luc Eekhout, directeur du Stichting Kasteel Heeswijk - ancien président d'ICOM Pays-Bas
- Ariane James-Sarazin, directrice adjointe du musée de l'Armée
- Emmanuel Kasarhérou, président du musée du quai Branly - Jacques Chirac
- Charles Personnaz, directeur de l'Institut national du patrimoine
- Yannick Lintz, directrice du département des Arts de l'Islam, musée du Louvre
Débat modéré par Juliette Raoul-Duval et Hélène Vassal
Conclusion : Christian Hottin, directeur des études de l'Institut national du patrimoine
Liens vers la séance Zoom
Pour nous rejoindre : lien vers la séance
ID de réunion : 896 6493 5894
Code : 063496
Cycle de débats virtuels : "Réouvertures, où en êtes-vous ?"
Intitulée "En six mois, que de changements ! Si on vous dit résilience, que répondez-vous ?", la séance, animée par Juliette Raoul-Duval, s'est déroulée en deux temps :
- Interventions préliminaires de :
- Olivier Cogne, directeur - Musée dauphinois
- Laure Ménétrier, directrice - Musée du vin de Champagne et d'Archéologie régionale d'Epernay
- Nathalie Steffen, cheffe du service des ateliers - Musée du Louvre
- Annabelle Ténèze, directrice - Les Abattoirs, FRAC Occitanie Toulouse
- Débat entre les participants
Cycle de débats virtuels : "Réouvertures, où en êtes-vous ?" Séance 10

Intitulée "En six mois, que de changements ! Si on vous dit résilience, que répondez-vous ?", la séance, animée par Juliette Raoul-Duval, s'est déroulée en deux temps :
- Interventions préliminaires de :
- Olivier Cogne, directeur - Musée dauphinois
- Laure Ménétrier, directrice - Musée du vin de Champagne et d'Archéologie régionale d'Epernay
- Nathalie Steffen, cheffe du service des ateliers - Musée du Louvre
- Annabelle Ténèze, directrice - Les Abattoirs, FRAC Occitanie Toulouse
- Débat entre les participants