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Transformation numérique dans les institutions du patrimoine culturel
Cette année, le CIDOC abordera un thème sociétal important ne pouvant plus être ignoré aujourd'hui: la transformation numérique dans les institutions du patrimoine culturel. L'utilisation de la technologie, bien que marginale au début, a progressivement remodelé les pratiques de documentation et transformé presque tous les aspects du travail muséal, poussant parfois même les institutions à s'écarter des conceptions traditionnelles de ce que devraient être leurs rôles.
La web conférence sera organisée par le musée d'art et d'histoire de la ville de Genève.
Date : 7 au 10 décembre 2020.
When Museums Go Online
Organisée conjointement par le Conseil international des musées (ICOM) et l'université de Genève (UNIGE), cette conférence internationale portera sur le thème de la numérisation des collections muséales.
La pandémie Covid-19 a accéléré le mouvement de numérisation mené depuis plusieurs années au sein des musées qui vise, entre autres, à répondre aux objectifs des musées de recherche, de conservation, de continuité et de communication à la société du patrimoine naturel et culturel mondial, présent et futur, tangible et intangible. Les enjeux juridiques associés à ce mouvement sont complexes, avec une disparité des solutions disponibles pour les musées et des lois parfois inadéquates, inappropriées ou insuffisantes. Sur le long terme, l'accélération des technologies pose également la question de l'avenir de l'expérience muséale.
La conférence explorera ces sujets sur la base d'un projet d'étude qui, depuis 2016, a réuni un groupe d'experts d'universités suisses et étrangères sous la direction du Dr. Yaniv Benhamou, du Pr. Marc-André Renold et de Mme Justine Ferland. Le projet a conduit au lancement du site web « Numérisation des collections de musées » en 2020 qui vise à clarifier le cadre juridique et politique actuel tout en proposant des stratégies pour faciliter les activités des musées dans l'environnement numérique. Les professionnels des musées sont vivement encouragés à faire part de leurs commentaires sur les recommandations émises (concernant le droit d'auteur, les droits des bases de données, le règlement des différends, et un code de conduite des musées) afin d'encourager un dialogue continu et d'élaborer des politiques adaptées aux besoins des institutions du patrimoine culturel.
Cette conférence offrira un forum de discussion à la communauté muséale mondiale, aux autres partenaires du domaine du patrimoine culturel, et aux parties prenantes concernées par les enjeux juridiques et sociétaux liés à la numérisation.
La conférence se tiendra en ligne exclusivement en anglais. Aucune inscription n'est nécessaire pour participer.
Date et heure : 11 décembre 2020 de 13h00 à 18h30 (heure de Paris).
Le sport dans les musées d'histoire et d'archéologie
Le Comité international de l'ICOM pour les musées et les collections d'archéologie et d'histoire (ICMAH) souhaite apporter sa contribution à la communication sur le sport dans les musées et les collections d'histoire et d'archéologie. Depuis 2017, l'ICMAH dispose d'un « groupe de travail » dédié aux musées du sport et au patrimoine sportif qui a déjà organisé trois ateliers. Les programmes et rapports de ces ateliers sont disponibles sur le site de l'ICMAH.
En cette période de pandémie, l'ICMAH organise son quatrième atelier en ligne.
Organisé en collaboration avec ICOM Colombie, il sera consacré à l'Amérique du Sud afin d'étendre notre réseau dans le secteur du sport en Amérique latine.
Le webinaire Zoom du 15 décembre 2020 se tiendra à la fois en anglais et en espagnol.
Informations liées au webinaire :
Date et heure : 15 décembre 2020 - 16h00 (heure de Paris)
ID de connexion : 840 5774 5112
Code d'accès : 033416
Si vous souhaitez vous joindre à l’événement, merci de bien vouloir vous inscrire en écrivant à l’adresse suivante : icmahsecretary[a]gmail.com
Communiqué
Comme tous nos concitoyens, nous avons appris, le jeudi 11 décembre à 18 h que les musées, dont la réouverture était programmée pour le 15 décembre, resteraient fermés au moins jusqu’au 7 janvier.
Si la situation sanitaire rendait ces décisions inéluctables, nous pouvons penser qu’elles ne le sont pas devenues en quelques heures. Or, quelques minutes avant les annonces gouvernementales, nos professionnels étaient encore en train de se préparer avec la plus grande diligence à mettre en place les consignes très précises et rigoureuses qui leur avaient été transmises ; les personnels étaient encore en train d’œuvrer avec ardeur, sans ménager leurs horaires, pour être prêts à ouvrir, dans des conditions de sécurité maximales et de qualité de visite à la hauteur de l’attente des publics, dont on sait à quel point elle est grande.
Les professionnels de musées ont fait la preuve d’un comportement exemplaire depuis le début de la crise sanitaire. Pendant le premier confinement, ils ont fait montre d’un dynamisme que tous ont relevé, via le numérique notamment. Pendant les préparatifs de réouverture de mai, ils ont conçu et mis en place des protocoles sanitaires rigoureux et responsables. Plusieurs de nos homologues européens ont observé qu’aucun cluster n’avait été à déplorer dans un musée ; mieux, les musées se sont faits, à chaque fois que cela était possible, l’écho du bienfondé du respect des mesures barrières, contribuant en cela - grâce à leur réelle crédibilité - à une éducation des visiteurs, notamment les plus jeunes. Ils ont en cela été des acteurs précieux de la lutte contre la pandémie.
Lorsqu’ils ont pu rouvrir, tous les agents se sont mobilisés avec enthousiasme, malgré l’incertitude, malgré l’immense difficulté d’un travail à distance organisé dans des conditions soudaines.
Les musées ont fait la preuve de leur capacité de résilience, se projetant dans l’avenir avec la volonté de tirer des enseignements de la crise, par exemple en matière de développement durable ou d’égalité territoriale. Ils n’ont eu en tête que le bien-être futur de leurs publics et pris la mesure du rôle social accru qui leur incomberait après le choc pour inclure toutes les catégories de visiteurs, pour être des lieux propices à retrouver le goût du vivre ensemble, des institutions primordiales pour notre démocratie.
Pendant cette période si singulière, les musées ont mis à profit le temps long de la réflexion pour approfondir des sujets surgissant de manière brûlante dans l’actualité de l’été, pour bâtir une histoire partagée. Les débats, les publications, les articles, se sont multipliées, démontrant à chaque fois la conscience aigüe qu’ont les musées de leurs responsabilités dans la société.
La culture sera au cœur de la reconstruction, les acteurs culturels s’y préparent.
Ils méritent en cela le respect.
Consulter les professionnels sur les processus qui les concernent, c’est s’assurer de la force de proposition qu’ils représentent. C’est permettre aux musées de se préparer dans les meilleures conditions au rôle central qui sera le leur dans l’avenir.
Enquête sur l'usage des collections en réserve
L'université Érasme de Rotterdam, en partenariat avec l'université internationale de Catalogne (UIC Barcelona) mènent actuellement une enquête sur les collections des réserves de musées à travers le monde.
Étant donné que la majeure partie des collections se trouve en réserve, cette enquête rassemblera des informations sur :
- Les types de collections se trouvant en réserve et leur état
- Les types de rangement existants
- Les services permettant d'accéder aux collections en réserve
Votre participation à cette enquête permettra une meilleure compréhension des pratiques et des défis actuels au regard d'un accès plus large aux collections, en particulier celles se trouvant actuellement en réserve.
Vos réponses resteront anonymes et tous les résultats seront assemblés sous la forme d'un compte-rendu.
Nous vous remercions de prendre part à cette étude.
Date limite d'envoi des réponses : 31 janvier 2021
Contact
Trilce Navarrete, maître de conférence en Économie Culturelle et présidente du CIDOC : navarrete[a]eshcc.eur.nl
Les nouvelles formes de travail génèrent-elles de nouvelles formes de solidarité ?
Retrouvez l'enregistrement de la séance portant sur les nouvelles formes de travail apparues depuis la crise sanitaire.
Ont-elles entrainé de la solidarité : entre métiers différents ? entre musées ? envers les professionnels précaires ?...
Avec les témoignages d'Anne Dopffer (directrice des musées nationaux des Alpes maritimes), Claire Cesbron (responsable du service des publics au musée de Pont-Aven et au musée de la Pêche) , Romane Sarfati (directrice générale de la Manufacture nationale de Sèvres et des musées nationaux de Sèvres et de Limoges - Cité de la Céramique), Béatrice Salmon (directrice du Centre national des arts plastiques) et de Leena Tokila (présidente d'ICTOP - comité international de l'ICOM pour la formation professionnelle).
Le débat a été animé par Juliette Raoul-Duval, présidente d'ICOM France.
Biens culturels spoliés pendant la Seconde Guerre mondiale
Depuis vingt ans, la présence dans les musées et les bibliothèques de biens culturels spoliés à des familles juives pendant la Seconde Guerre mondiale demeure un sujet sensible. 80 ans après les spoliations, la recherche de provenance progresse et il est possible de retrouver les propriétaires de ces œuvres et de les restituer à leurs ayants droit. L’État poursuit cette politique de réparation et de justice ; le ministère de la Culture et la Commission pour l’indemnisation des victimes de spoliations (CIVS) viennent de se réorganiser pour faciliter ces recherches et faire plus encore la lumière sur le parcours des œuvres.
Toutes les institutions patrimoniales peuvent être confrontées à cette question : les musées dépositaires d’œuvres « Musées nationaux récupération » (MNR), mais plus largement l’ensemble des musées, de tous statuts, qui peuvent détenir dans leurs collections des œuvres qui se révèlent avoir un parcours douteux, ou encore les bibliothèques publiques qui ont, elles aussi, reçu, ou acheté, des livres spoliés. Il appartient à ces institutions de préserver ces œuvres, de faire, dans la mesure du possible, la lumière sur leur provenance et de répondre à toute sollicitation extérieure, notamment de la part des familles spoliées.
Cette formation a pour but de présenter, aux professionnels des musées et des bibliothèques, comme aux responsables administratifs et culturels de l’État, des collectivités territoriales ou du secteur privé, les grands enjeux politiques de la recherche et de la restitution, les méthodes de la recherche de provenance, les obligations de mise en valeur et de présentation de ces œuvres au public. Elle vise à aider les professionnels à gérer au mieux ces œuvres et à traiter cette question qui fédère de nombreux interlocuteurs (ministère de la Culture et autres institutions, familles et ayants droit, chercheurs, avocats, presse etc.).
Coordonnateur :
David Zivie, responsable de la mission de recherche et de restitution des biens culturels spoliés entre 1933 et 1945, ministère de la Culture
Infos pratiques
Public concerné :
Conservateurs du patrimoine et des bibliothèques, documentalistes, chargés d’études documentaires, bibliothécaires, régisseurs des collections, attachés de conservation, assistants de conservation, adjoints du patrimoine, ingénieurs de recherche, ingénieurs d’étude, responsables de fonds patrimoniaux, personnels de l’Etat, des collectivités territoriales et du secteur privé.
Date : 16, 17 et 18 mars 2021
Durée : 3 jours
Lieu : Villeurbanne, Enssib (école nationale supérieure des sciences de l’information et des bibliothèques)
Prix : 870 euros (voir les conditions d’inscription)
Inscriptions
Bulletin d’inscription à envoyer à Christelle Pietrogiovanna
Institut national du patrimoine – 2 rue Vivienne, 75002 Paris.
Renseignements au 01 44 41 16 54
La conservation et les enjeux de la restauration des collections photographiques patrimoniales
Cette formation est organisée en deux modules complémentaires et obligatoires, de trois jours chacun.
Le premier module traitera de l’évolution des techniques photographiques à l’usage des collections. On décrira la méthode d’analyse et d’identification des photographies ainsi que les principaux mécanismes d’altération.
Le second module abordera les méthodes de conservation et de restauration.
Des études et des recherches ont été conduites, donnant lieu à des publications et des colloques. Ainsi ont pu être formalisés des cadres de référence et des recommandations qui doivent désormais aider les responsables de collections à évaluer les risques et à en réduire au minimum l'incidence sur les photographies.
Coordonnatrice :
Anne Cartier-Bresson, conservatrice générale du patrimoine honoraire
Infos pratiques
Public concerné :
Conservateurs du patrimoine et des bibliothèques, chargés d’études documentaires, ingénieurs d’étude, ingénieurs de recherche, attachés de conservation, assistants de conservation, régisseurs d’œuvres d’art, restaurateurs, responsables de collections patrimoniales, professionnels du patrimoine d’Etat, des collectivités territoriales et du secteur privé.
Dates :
Premier module : 22, 23 et 24 mars 2021 - Second module : 12, 13 et 14 avril 2021
Durée : 3 jours
Lieu : Paris, Inp et Aubervilliers, Inp
Prix : 690 euros (voir les conditions d'inscription)
Inscriptions
Bulletin d’inscription à envoyer à Sandrine Erard
Institut national du patrimoine – 2 rue Vivienne, 75002 Paris.
Renseignements au 01 44 41 16 51
Retoucher les peintures modernes et contemporaines
L’objectif de ce stage est de donner un aperçu des différents matériaux et des techniques que l’on peut utiliser pour retoucher les peintures modernes et contemporaines.
Les cours théoriques permettront d’aborder les matériaux que l’on peut utiliser sur des peintures modernes non vernies, ils seront illustrés d’exemples. Des sessions pratiques permettront d’utiliser les différents médiums de retouche sur des surfaces brillantes ou mates présentant des reliefs et des structures variés.
Rachel Barker est spécialisée dans la conservation-restauration des peintures modernes et contemporaines et a travaillé à la Tate de Londres pendant toute sa carrière. Elle a mené d’importants projets de restauration qui ont été largement reconnus telles que la restauration de la peinture vandalisée de Rothko « Untitled Black of Maroon » en 2014 ou la restauration de « Whaam ! » de Roy Lichtenstein dans le cadre du projet européen Nanorestart. Elle exerce actuellement en libéral en tant que restauratrice et consultante.
Coordonnatrice :
Alexia Soldano, restauratrice de peintures
Infos pratiques
Public concerné
Restaurateurs intervenant sur des polychromies modernes et contemporaines
Date : 24, 25 et 26 mars 2021
Durée : 3 jours
Lieu : Inp, Aubervilliers
Prix : 870 euros (voir les conditions d’inscription)
Inscriptions
Bulletin d’inscription à envoyer à Laetitia Létendard
Institut national du patrimoine département des restaurateurs – 124, rue Henri Barbusse 93300 Aubervilliers.
Renseignements au 01 49 46 57 04
Accord France-Canada pour la coopération et les échanges dans le domaine des musées
Signé le 26 novembre 1990 par les gouvernements du Canada et de la France, l’Accord France-Canada vise à :
-
établir et maintenir des liens privilégiés et durables entre les institutions muséales du Canada et de la France
-
améliorer les compétences des professionnels des musées grâce à l’échange de bonnes pratiques,
-
optimiser la mise en œuvre de projets conjoints.
En France, la coordination de ce programme intergouvernemental a été, dès l’origine, confiée au Ministère de la culture, et plus particulièrement à la Direction des musées et au Département des affaires internationales. En 1996, le Ministère en charge de l’éducation nationale, puis en 2006 le Ministère de la défense et des anciens combattants se sont associés à l’Accord afin d’en faire bénéficier leurs propres institutions muséales. Au Canada, depuis 2005, le Ministère du patrimoine canadien administre l’Accord dans le cadre du Programme d’Aide aux Musées (PAM). Depuis 1990, près de 600 musées, universités et centres de recherche ou de conservation, français et canadiens, et plus de 1000 professionnels ont pu développer des expertises et des projets avec l’appui de l’accord, dans des secteurs aussi divers que la conservation, la restauration, l’inventaire, la recherche, la formation et le perfectionnement professionnels, l’organisation de colloques ou séminaires, la production de documents multimédia, l’expérimentation, l’innovation, etc.
Concrètement, l’accord apporte une contribution financière à la réalisation de projets de coopération et d’échanges mais il ne peut couvrir l’ensemble des dépenses figurant au budget. Il permet avant tout de prendre en charge les frais de voyage et de séjour. En revanche, l’accord ne prend en charge ni la réalisation ni la circulation des expositions.
Une attention particulière sera portée aux projets qui concernent : les relations entre science, recherche et société, par exemple l'impact de la culture scientifique, technique et industrielle dans la construction de l'esprit critique, le rôle des institutions muséales face au désordre informationnel, les démarches participatives, la complémentarité entre les dispositifs de médiation présentiel et distanciel, les interactions entre acteurs de la recherche et musées, l'élargissement et la diversification des publics, le patrimoine scientifique et technique contemporain, les collections issues de l’enseignement supérieur et de la recherche, etc.
Organismes admissibles
- Les musées (institutions muséales répondant à la définition élargie de l’ICOM dans ses statuts et dans son règlement intérieur révisés en 2017).
- Centres de culture scientifique, technique et industrielle, planétariums, jardins botaniques, etc.
- Établissements d’enseignement supérieur développant des filières ouvrant sur les métiers spécifiques des musées et sur la muséologie.
- Associations ou regroupements d’institutions muséales, instituts ou centres de recherche sans but lucratif spécialisés dans un ou plusieurs domaines de la muséologie.
Un partenariat avec un pays tiers peut également figurer dans un projet élaboré conjointement par des institutions françaises et canadiennes.
Du côté canadien, à l’exception des six musées nationaux, tous les musées constitués en société sans but lucratif sont admissibles. Les institutions canadiennes d’enseignement supérieur ou de recherche en muséologie ne peuvent être « porteuses » en tant que telles, mais peuvent être associées aux projets.
Date limite de dépôt des dossiers : 31 août 2021
Composition du dossier :
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Descriptif et objectifs du projet (partenaires, résultats attendus, indicateurs envisagés pour l'évaluation du projet, publics visés...)
-
Coordonnées du porteur de projet français et du porteur de projet canadien,
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Entente de coopération signée par les 2 parties (modèle à télécharger),
-
Budget total en euros et en dollars canadiens (modèle à télécharger) ; avec les autres soutiens financiers attendus (collectivités territoriales, ministère, secteur privé),
-
Calendrier détaillé de l’ensemble de l’opération et des missions, ; préciser les mesures envisagées pour valoriser les résultats auprès de la communauté muséale.
-
CV et expérience éventuelle en matière de coopération internationale.
Engagement des porteurs de projets :
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Fournir un rapport final dans les trois mois suivant la fin d’exécution du projet,
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Valoriser les acquis du séjour (conférences, participations à des séminaires, publications…)
-
Mentionner l’appui apporté par l’Accord dans tout document public.
Financement
-
Frais de voyage : Les billets d'avion des bénéficiaires de l'Accord sont pris en charge par le pays d'origine. Les frais de transport à l'intérieur du pays hôte sont pris en charge par celui-ci.
-
Frais de séjour : En France, le participant reçoit une indemnité journalière de 120€ en région et de 140€ à Paris incluant l'hébergement et les frais de restauration. A titre indicatif, les montants en vigueur au Canada sont de 91,50$ pour les repas, 17,30$ pour les faux frais et entre 100$ et 120$ pour l'hébergement.
Envoi des dossiers
Les dossiers doivent être déposés, au plus tard le 31 août 2021, dans les deux pays : au Canada par le porteur de projet canadien et en France par le porteur de projet français.
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En France, les projets doivent être adressés au Ministère de la culture, à : Orane Proisy, Département des affaires européennes et internationales, Direction générale des patrimoines – 6, rue des Pyramides – 75001 Paris
Contact : orane.proisy[a]culture.gouv.fr – +33 (0)1.40.15.32.86
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Les projets à caractère scientifique et technique doivent de plus être adressés au Ministère de l’enseignement supérieur, de la recherche et de l'innovation à : Anne Nivart, Direction générale pour la recherche et l’innovation – 1 rue Descartes - 75005 Paris
Contact : anne.nivart[a]recherche.gouv.fr – +33 (0)1.55.55.82.29
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Les projets ayant un rapport avec l’histoire militaire doivent de plus être adressés au Ministère des Armées – Direction de la mémoire du patrimoine et des archives, Délégation des patrimoines culturels – 37, rue de Bellechasse – 75007 Paris
Contact : matthieu.chambrion[a]intradef.gouv.fr – +33 (0)9.88.68.65.28