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L’ héritage de Georges Henri Rivière dans les écomusées et les musées de société, entre rupture et continuité
C’est en 1989 que la Fédération des écomusées et des Musées de société (FEMS) est créée à l’initiative de 28 écomusées fondateurs.
Représentant aujourd’hui plus de 180 établissements patrimoniaux, elle fêtera ses 30 ans en 2019 : l’occasion de questionner l’histoire et le devenir des musées de société, au travers notamment de l’un de ses pères fondateurs, Georges-Henri Rivière.
En partenariat avec le Mucem autour de l’exposition « Georges Henri Rivière, Voir c’est Comprendre », la FEMS proposera notamment un cycle de programmation culturelle et de journées d’étude sur l’ensemble du territoire. Le coup d’envoi en sera donné avec une première journée d’étude à Marseille le 18 janvier 2019 (de 9h à 18h) « L’héritage de Georges Henri Rivière dans les écomusées et les musées de société, entre rupture et continuité ».
Ce moment d’échange s’inscrit en diptyque avec la journée de rencontres « Populaire, peuple, public » du 13 novembre 2018 organisée par le Mucem à l’occasion des portes ouvertes de l’exposition « Georges Henri Rivière, Voir c’est Comprendre ».
Entrée libre.
Un cocktail déjeunatoire vous est proposé sur inscription avec une participation de 15.50 € par personne. Merci de bien vouloir vous acquitter du règlement en ligne avant le 07/01/2019 pour confirmer votre participation au déjeuner (aucune réservation et paiement ne seront acceptés après cette date) :
Diversité et universalité
ICME (Comité international d'ICOM pour les musées et collections d'ethnographie) organise chaque année une conférence qui réunit professionnels et spécialistes des musées de par le monde.
La conférence annuelle d'ICME pour 2019 se tiendra dans le cadre de la 25ème Conférence Générale d'ICOM à Kyoto, du 1er au 7 septembre 2019. À partir du thème de la Conférence Générale d'ICOM - "Les musées, plateformes culturelles : l'avenir de la tradition" - ICME a mis au point son propre programme de conférences et de rencontres qui se dérouleront tout au long de la semaine, autour de la notion de "Diversité et Universalité".
La conférence annuelle d'ICME aura pour objectif d'étudier comment les musées, à travers leurs méthodes de recherche, de conservation, d'exposition, de marketing et de programmation, invitent des publics divers à mieux comprendre ce qui unit les êtres humains à travers le monde, sans mettre de côté leurs singularités.
La poète Audre Lorde traduit notre vision pour les musées, lorsqu'elle nous demande de "nous emparer de nos différences pour en faire notre force", puisque les musées sont le lieu idéal pour reconnaître l'Autre en nous-mêmes et penser notre présent et notre futur, au-delà des histoires personnelles.
Le thème de la conférence d'ICME s'inspire de l'anthropologie humaniste pour explorer ce qu'être "humaine" signifie, ce que vivre une vie humaine signifie, dans le respect d'une humanité commune et de la planète sur laquelle nous vivons aux côtés de non-humains.
Le thème est actuel. Il nous demande d'étudier comment les êtres humains peuvent s'unir pour prendre soin et protéger l'humanité, nos traditions culturelles diverses (patrimoine matériel et immatériel) et le monde "non-humain" que nous partageons, pour les générations futures. Ce sont de grands objectifs, qui résonnent tous particulièrement avec les musées et collections ethnographiques.
Peut-être plus encore, ce thème nous invite à nous intéresser aux savoirs traditionnels, aux soins et pratiques de préservation des peuples autochtones du monde entier (...).
Appel à contribution
ICME vous invite à contribuer à l'un de ces programmes avant le 15 février 2019 :
- Présentation d'article (15 minutes)
- Table ronde (30 minutes)
- Présentation Pechakucha (présentation orale de 20 diapositives - 20 secondes chacune - soit 6min40 au total)
Les propositions doivent inclure les informations suivantes en anglais :
- Le programme auquel vous postulez
- Le titre de votre proposition
- Un résumé de votre proposition (max. 200 mots)
- Le(s) nom(s) de(s) auteur(s) de la proposition
- Affiliation et adresses complètes
- L'équipement requis pour votre proposition
- Une présentation biographique de chaque auteur (max. 100 mots)
Les propositions sont à envoyer sous format Word, à l'adresse : icme2019conference[a]gmail.com avec en objet "ICME proposal (your name)".
Les propositions seront étudiées par deux membres du Comité.
Les propositions sélectionnées seront annoncées le 31 mars 2019.
Plus d'informations sur l'appel à contribution, en PDF à télécharger ci-contre.
Georges Henri Rivière, Voir c'est comprendre
D’abord sous-directeur au musée d’Ethnographie du Trocadéro, puis acteur important de l’ouverture du musée de l’Homme et enfin fondateur du MNATP, il est l’un des inventeurs de la muséologie moderne.
« Magicien des vitrines », directeur de l’ICOM de 1948 à 1965, il a posé les bases des principes qui dictent encore aujourd’hui la conservation des collections publiques et leur mise en valeur.
Issu d’une famille à la fois bourgeoise et paysanne, il a su regarder le monde sans filtres, en mettant en discussion la définition même d’art et de chef-d’œuvre. Homme de culture, à la fantaisie débordante, il savait s’introduire dans tous les cercles et milieux, s’attirant l’amitié de collectionneurs, mécènes et intellectuels. Sa soif de compréhension de l’humain l’a amené à collecter, entre les années 1930 et 1970, les témoignages des traditions en voie de disparition, mais aussi les productions de l’époque contemporaine.
La collection ainsi constituée est aujourd’hui conservée au Centre de conservation et de ressources du Mucem et mise à l’honneur dans l’exposition.

Catalogue de l'exposition Georges Henri Rivière, Voir c'est comprendre
Coédition : Mucem / RmnGP 19,5 × 24 cm, 304 pages, environ 200 images, 38 €
Parution : novembre 2018
ISBN : 978-2-7118-7152-0
Illustrations :
Maquette du bâtiment du musée national des Arts et Traditions populaires, Jean Dubuisson, Paris, 1955-1969. Bois, contre-plaqué, feutre, papier. Mucem © Succession Jean Dubuisson ; cliché © Mucem
Georges Henri Rivière lisant la revue Museum, publiée par l’ICOM, 1975. Mécènes fondateurs Photographie J. Guillot © Mucem / J. Guillot (D.R.)
Rapport sur la restitution du patrimoine culturel africain. Vers une nouvelle éthique relationnelle.

Communiqué de l'Elysée
Vendredi 23 novembre 2018, le Président de la République a reçu M. Felwine SARR, professeur à l’Université Gaston-Berger de Saint-Louis (Sénégal) et Mme Bénédicte SAVOY, professeure à la Technische Universität de Berlin (Allemagne) et titulaire d’une chaire internationale au Collège de France, à l’occasion de la remise de leur « Rapport sur la restitution du patrimoine culturel africain. Vers une nouvelle éthique relationnelle ».
Ce rapport a été commandé par le Président de la République en mars dernier, à la suite de son discours à l’Université de Ouagadougou le 28 novembre 2017, dans lequel il a souhaité que « d'ici cinq ans les conditions soient réunies pour des restitutions temporaires ou définitives du patrimoine africain en Afrique ». Le Président de la République a salué le travail de réflexion mémorielle sur la colonisation, qui offre un nouvel éclairage sur les circonstances des « captations patrimoniales » et sur la spécificité du cas du patrimoine africain.
Lors de la remise du rapport, le Président de la République a confié au Ministre de la Culture et au Ministre de l’Europe et des Affaires étrangères la responsabilité de franchir les prochaines étapes, décisives pour atteindre l’objectif fixé à cette démarche : que la jeunesse africaine ait accès en Afrique et non plus seulement en Europe à son propre patrimoine et au patrimoine commun de l’humanité. Conformément à son engagement, le Président de la République souhaite que toutes les formes possibles de circulation de ces œuvres soient considérées : restitutions, mais aussi expositions, échanges, prêts, dépôts, coopérations, etc.
Le Président de la République a invité les musées à jouer un rôle essentiel dans ce processus : identifier des partenaires africains, organiser les éventuelles restitutions, la circulation et la diffusion des œuvres, déployer les moyens nécessaires, avec la collaboration des enseignants et chercheurs spécialisés dans ce domaine, à l’établissement rapide et à la mise en ligne d’un inventaire des collections africaines qu’ils conservent, intégrant une recherche systématique de provenance. La nécessité d’un travail approfondi avec les autres Etats européens qui conservent des collections de même nature acquises dans des circonstances comparables a également été soulignée.
En cohérence avec la démarche engagée, et sur proposition du musée du Quai Branly – Jacques Chirac et du ministère de la Culture, le Président de la République a décidé de restituer sans tarder 26 œuvres réclamées par les autorités du Bénin, prises de guerre du général Dodds dans le palais de Béhanzin, après les sanglants combats de 1892. Ces œuvres pourront être présentées au public béninois et au public international dans le cadre du projet ambitieux de musées porté par la République du Bénin. Il remercie le Musée du Quai Branly – Jacques Chirac de soutenir cette restitution. Les mesures opérationnelles, et le cas échéant législatives, seront prises pour que ces œuvres puissent retourner au Bénin, accompagnées du savoir-faire du musée qui les a conservées jusqu’à présent.
Le Président de la République propose de réunir à Paris au premier trimestre 2019 l’ensemble des partenaires africains et européens pour construire ensemble cette nouvelle relation et cette politique d’échanges. Le Président de la République, dans la droite ligne de ses discours d’Athènes, d’Abou Dhabi et d’Alger, a rappelé son souhait de déployer une politique patrimoniale d’avenir, fondée sur la recherche de l’universel, et sur l’inscription des œuvres d’art au sein d’un patrimoine commun de l’humanité.

Reimagining The Human: Exploring Best Practice In Object-Led Work With Ethnographic Collections
ICME (International Committee for Museums and Collections of Ethnography) and the Horniman Museum and Gardens invite scholars and practitioners to explore innovative practices and theories in object-led work with ethnographic collections. Object-led practice can draw strongly on our ability to employ the senses to reimagine our place in the world. In-depth engagement with ethnographic objects in particular can promote social interactions and critical reflections on the logics of power and prejudice upon which collections are constituted.
This two-day conference, organised in collaboration with ICOM national committees of Pakistan, Germany, Croatia and Norway, is informed by humanist anthropology, which starts from the experience of human actors, addressing what it means to be human and to live a human life. In ethnographic museums, it supports and imagines diverse forms of public engagement and education and promotes activism.
On the first day speakers will respond to the questions addressed by the conference. The second day follows a workshop format which translates into practice the debates explored using the Horminan’s collection.
The Horniman has a long-standing interest in object-led practices and it is an ideal venue to examine this theme. The Horniman's World Gallery of anthropology, opened in June 2018, celebrates human creativity, imagination and adaptability. In October we will launch The Studio, a new gallery curated with local community partners exploring the connections between socially engaged art and anthropology.
Keynote speaker Dr. Sandra Dudley will open the conference. Her research as a social and material anthropologist transects social anthropology, museum studies, and material culture studies.
NEMO (Réseau des associations des musées européens)
Fondé en 1992 comme réseau indépendant des associations des musées européens, NEMO représente la communauté muséale des États membres du Conseil de l'Europe.

Mission
Sa mission est de s'assurer que les musées font partie intégrante de la société européenne.
- NEMO promeut les activités et les valeurs (patrimoniale - sociale - éducative - économique) des musées auprès des décideurs politiques
- NEMO fournit aux musées une expertise, des informations et des possibilités de réseau, de développement et de coopération.
Actions
- NEMO influence les politiques muséales et défend la cause des musées au niveau européen et au niveau national via ses membres.
- NEMO informe ses membres des politiques européennes actuelles et futures en matière de culture et de musées. Il partage les informations sur les possibilités de financement des programmes européens, leur permettant ainsi d'évoluer à un niveau international.
- NEMO permet à ses membres, à travers des formations, d'échanger des bonnes pratiques, de partager leurs compétences et d'améliorer leurs offres aux publics.
Les quatre valeurs muséales défendues par NEMO
- La valeur "collection", valeur centrale du musée. NEMO est le défenseur d'un accès - physique ou numérique - aux collections des musées européens pour tous les habitants du continent.
- La valeur sociale. NEMO promeut le rôle des musées en matière d'échange intergénérationnel et de cohésion sociale.
- La valeur éducative. Les musées sont des lieux d'apprentissage formel et informel. NEMO défend la place du musée dans le système éducatif, et son rôle en matière de formation continue.
- La valeur économique. Les musées ont historiquement joué un rôle d'incubateurs de créativité et d'innovation et doivent continuer de le faire. NEMO œuvre à la reconnaissance de la valeur économique produite dans la société par les musées.
Les groupes de travail NEMO
NEMO offre la possibilité d'intégrer des groupes de travail et d'experts sur différentes thématiques qui conduisent des études, organisent des événements et publient rapports, recommandations et guides. En soutenant leurs activités, NEMO les valorise au niveau européen.
Liste des groupes de travail et d'experts de NEMO :
- Working Group Advocacy
- Working Group Intellectual Property Rights (IPR)
- Working Group LEM - The Learning Museum
- Working Group Museums and Creative Industries
- Expert Group Audience Development
Participez au réseau NEMO
Membre du réseau NEMO, ICOM France invite ses membres à participer aux groupes de travail. Si vous souhaitez rejoindre l'un d'entre eux, veuillez contacter Anne-Claude Morice, déléguée permanente d'ICOM France : icomfrance[a]wanadoo.fr.
Guide pour le traitement des biens de collections issus de contextes coloniaux

Né des besoins, des expériences et des questionnements des musées allemands, cette première version se veut un premier pas vers une prise de position concernant la question complexe et sensible des contextes coloniaux dans les musées et les collections.
Une deuxième édition prenant en compte les perspectives internationales sera publiée au printemps 2019.
Toutes les personnes et organisations intéressées sont vivement invitées à faire part de leurs remarques. Celles-ci pourront être publiées sur le site de l'Association allemande des musées, après accord.
Merci de les envoyer à icomfrance[a]wanadoo.fr qui les retransmettra à l'Association allemande des musées.

Déclaration commune d'ICOM Europe et ICOM Allemagne pour préserver l'autonomie des musées
Les musées collectent, conservent, recherchent et communiquent. Ils exposent la nature et l’art, la culture, la technologie et la société dans différents domaines. Ils mettent en lumière les aspects positifs comme les aspects négatifs et permettent ainsi à tous leurs visiteurs de se faire leur propre idée. Ils n’évitent pas les sujets gênants, mais favorisent au contraire la recherche et l’engagement. Afin de répondre à ces attentes sociales, les musées ont besoin d’un maximum d’autonomie et d’un grand professionnalisme de la part de leurs collaborateurs.
Dans une époque où de plus en plus de gens essayent de dominer par la parole ou bénéficient ainsi d’un accès privilégié à l’opinion publique, nos normes éthiques seraient en péril si l’indépendance des musées était restreinte politiquement. À plusieurs reprises, ICOM, ICOM EUROPE, et ICOM Allemagne ont souligné la responsabilité des musées au sujet de contenus controversés actuels et passés, en affirmant leur volonté d’indépendance : en 2014 avec la conférence « Musées et pouvoir politique » organisée par ICOM Russie, ICOM Etats-Unis et ICOM Allemagne ; en 2017 pour la Journée Internationale de l’Indépendance des musées avec les thèmes : « Histoires controversées. Exprimer l'indicible dans les musées » ; sans oublier la conférence « Questions difficiles » organisée par les comités nationaux d’Islande, Suède, Norvège, Finlande, Danemark, Allemagne ; ainsi qu'en avril 2018 avec la « Déclaration de l’ICOM sur l’indépendance des musées ».
ICOM EUROPE et ICOM Allemagne prennent l’anniversaire de la fin de la guerre en 1918 comme une occasion d’encourager tous les musées à poursuivre leur engagement pour l’indépendance et la liberté d’opinion dans le domaine de l’histoire, de l’art et de la culture, en refusant de cacher les faits les plus gênants. Ce mois de novembre marque le centième anniversaire de la fin de la première guerre mondiale. Pour les nations anciennement en conflit, il y a bien entendu différentes cultures du souvenir concernant les causes, le déroulement et le résultat de la Grande Guerre. Le centenaire est ainsi célébré de manière différente selon les pays concernés.
En 2018, nous ne pouvons plus compter seulement sur notre propre expérience des horreurs de la guerre : cela confère aux musées une responsabilité toute spécifique. Se souvenir implique une sensibilisation aux problèmes actuels et futurs tout en luttant contre l’oubli. C’est le moment, aujourd’hui. C’est pourquoi les musées se doivent de présenter leurs collections avec des normes et des exigences scientifiques croissantes. C’est seulement dans cet esprit qu’ils peuvent authentiquement transmettre les événements, chercher à expliquer les causes et les conséquences de cette guerre aux jeunes générations. Ils doivent présenter les faits en les mettant en perspective dans différents domaines, permettant aux visiteurs une compréhension captivante des différentes cultures de la mémoire.
L’Europe fait face au défi particulier d'accorder une place aux cultures spécifiques à chaque nation, à chaque région, tout en soulignant les similarités dans les expériences de la guerre, afin de favoriser une prise de conscience la plus large possible. C’est pourquoi ICOM EUROPE et ICOM Allemagne se sont réunis pour contribuer à cette tâche d’importance mondiale avec l’organisation de cette conférence, « Musées, Frontières et Responsabilités Européennes - 100 ans après la première guerre mondiale » (les 23, 24, 25 novembre au musée Ludwig de Coblence), réunissant de nombreux responsables de musées de différentes nations anciennement belligérantes, afin de favoriser les échanges et coopérations entre professionnels.
ICOM EUROPE et ICOM Allemagne, novembre 2018
11e réunion intermédiaire du groupe de travail Cuir et Matériaux associés/ICOM-CC
Le groupe de travail « Cuir et Matériaux associés » au sein du Comité pour la Conservation de l’ICOM (ICOM-CC) rassemble des professionnels de la conservation du cuir (restaurateurs, conservateurs, historiens, scientifiques, etc) au sein d’une trentaine de pays dans le monde.
Depuis plus de trente ans, ce groupe organise régulièrement un colloque pour permettre aux membres, et plus largement à tous les professionnels intéressés par la spécialité, de se rencontrer, d’échanger et de partager leur travaux autour de la conservation des matériaux à base de peau.
La 11ème réunion intermédiaire du groupe de travail « Cuir et Matériaux associés » de l’ICOM-CC aura lieu pour la première fois en France, à Paris, au sein du musée du Quai Branly - Jacques Chirac les 6 et 7 juin 2019.
L’appel à communication est ouvert pour contribuer au programme de cette conférence et l’ensemble des informations sont disponibles ci-dessous :
Langues
Les communications seront possibles en français ou en anglais et une traduction simultanée sera offerte durant la conférence.
Appel à communication
Le comité scientifique vous invite à soumettre des communications orales ou par affiche, discutant de pratiques innovantes, de recherches en cours ou de développements récents en lien avec la conservation des matériaux à base de peau, tels que le parchemin, le cuir, les fourrures ou les spécimens naturalisés. Des interventions présentant des réussites, des défis, des protocoles ou précautions à suivre, et de nouvelles approches analytiques seront également les bienvenues.
Les résumés doivent être soumis en ligne sur le site de la conférence avant le 31 janvier 2019 en utilisant le modèle disponible.
Publication
Les actes de la conférence seront publiés en ligne sur le site de l’ICOM-CC en 2020. Les auteurs devront soumettre leur article finalisé avant le début de la conférence.
Site de la conférence
https://leather2019.sciencesconf.org
Contact
leather2019[a]sciencesconf.org
Public connecté : le rôle de l'émotion dans les expériences muséales
Du 4 au 6 avril 2019, la conférence "Public connecté : le rôle de l'émotion dans les expériences muséales et culturelles" se tiendra à Berlin. NEMO est l'un des organisateurs de la conférence, aux côtés de KulturAgenda, l'Institute for Museums, Cultural Enterprises and Audiences, l'Institute for Learning Innovation et les Musées d'Etat de Berlin.
La conférence explorera les recherches les plus récentes sur les émotions humaines et leur rôle dans les expériences muséales et culturelles.
Les inscriptions sont ouvertes aux équipes des comités de pilotage et des conseils d'administration des membres de NEMO, ainsi qu'aux membres associés ou nommés par un membre de NEMO.
La participation est gratuite pour les membres qui peuvent bénéficier de bourses de voyages.
Participer en tant que non-membre
Depuis février 2018, les professionnels de musées qui ne sont pas membres de NEMO peuvent participer aux Formations internationales proposées par NEMO, pour un montant de 250 euros. Pour plus d'informations sur les adhésions à NEMO (250 euros/an) : Membership.
Cinq participant seront invités à assister à la conférence "Public connecté : le rôle de l'émotion dans les expériences muséales", grâce à un système de bourses. Date limite de candidature pour les bourses : 8 mars 2019.
Appel à candidatures pour les bourses de voyages.