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La statuaire de Koh Ker (Cambodge). L’histoire sans fin et en morceaux
Dans l’histoire du Cambodge, le site de Koh Ker occupe une place très particulière puisqu’il correspond à une phase d’abandon momentané de la capitale d’Angkor, au cours du deuxième quart du Xe siècle, dans des circonstances débattues (peut-être du fait d’une querelle dynastique). L’architecture et la sculpture se distinguent du reste de la production khmère par leur monumentalité. Ces dernières années, une étude plus poussée du site ainsi que de la documentation ancienne a permis de reconstituer le programme iconographique de certains des sanctuaires et d’identifier les œuvres originales qui, pour certaines, se trouvaient dispersées dans plusieurs pays occidentaux. Cette séance s’attachera donc à retracer les étapes de cette enquête.
Intervenants
Éric Bourdonneau (EFEO), avec la modération de Vincent Lefèvre (musée national des arts asiatiques - Guimet)
À propos de ce séminaire
Les collections dites «extra-occidentales» conservées dans des musées publics ou les collections privées, disséminées tant dans des musées d’art, d’ethnologie que dans des muséums d’histoire naturelle, sont encore trop peu connues. Leur étendue est souvent beaucoup plus grande que ce que les œuvres exposées au public ne laissent supposer, mais elles sont aussi souvent peu documentées ce qui laisse place à l’incertitude et bien souvent un malaise quant à leur provenance. La nécessité d’engager un programme d’études spécifique sur ces collections, si elle était bien présente dans les projets de responsables scientifiques de collections et chercheurs, devient dans le contexte actuel une priorité scientifique, culturelle et politique. Ce séminaire a pour objectif de faire état de travaux de recherche aboutis ou en cours, en France et en Europe, sur des typologies de collections variées tant par leur nature que par leurs provenances. Il a par ailleurs vocation à offrir outils méthodologiques et données aux conservateurs, aux chercheurs et aux étudiants qui ont engagé ou veulent s’engager dans cet effort nécessaire d’une connaissance affinée de ces collections.
En partenariat avec la Direction générale des patrimoines - Service des musées de France.
En ditect (Youtube) : https://bit.ly/2NtJ07A
Recherche et musées
Propos
Il n’est pas besoin de faire appel à la science pour savoir que les musées apportent du plaisir. Quoique. Les neurosciences ont beaucoup à nous dire sur « l’explosion de substances chimiques (cortisol, endorphines, ocytocine…) qui nous percutent lorsqu’une œuvre d’art croise notre regard »*.
Déontologie des musées/déontologie de la recherche
Les liens entre recherche et musées sont complexes. Aux yeux des « professionnels de musées », la recherche fait partie inhérente du métier. Mais de quoi parle-t-on au juste, de quelles disciplines, de quelles pratiques, de quelles connaissances ? Aborder cette question maintenant, alors que, de par le monde, les musées fermés puis rouverts, refermés puis sur le point de rouvrir… se concentrent principalement sur la conservation de leurs publics, rejoint assurément l’actualité :
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On l’a vu ces derniers mois, c’est au moment-même où tous les esprits étaient concentrés sur l’urgence sanitaire qu’ont resurgi, sur le devant de la scène, émanant de nombreux coins du monde et de nombreuses « communautés », des interrogations vives sur ce que sont les musées, d’où viennent leurs collections, d’où ils tirent leur légitimité à en faire le récit …
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On y revient sans cesse avec la nouvelle définition du musée que l’ICOM a proposée sans probablement anticiper l’ampleur des controverses que cela amènerait. Sociologues, muséologues, historiens, juristes, lexicologues… continuent d’argumenter ce qui fait qu’un lieu est - ou n’est pas - un musée. Peut-être, peut-on d’emblée retenir l’hypothèse que, justement, ce qui distingue un musée, (outre sa collection) d’un centre culturel ou de loisir, c’est que sa démarche est en soi scientifique : la documentation sur les collections, la connaissance des objets, de leur histoire et de leur parcours… relèvent d’un processus d’investigation méthodique caractéristique du processus de « recherche » et le musée se pose, parce qu’il procède ainsi, comme garant du savoir qu’il transmet. Ce qui fait du musée un acteur singulier du « lien social », c’est la confiance ainsi conquise : les publics croient que ce qu’il leur est donné à voir est « vrai », puisé à des sources variées, que les objets sont authentiques et que, quel que soit le domaine - arts, sciences, société, environnement… - le propos est validé. Pour le grand public, le musée n’est sans doute pas perçu comme une « institution scientifique » mais la rigueur scientifique est au cœur de sa déontologie. C’est d’ailleurs une obligation des musées de France de construire un projet scientifique et culturel.
Science des musées, sciences pour les musées, les musées sont-ils enclins à être de plus en plus « scientifiques » ?
Pourtant, ce lien de confiance est fragile : les récents débats si vifs sur les conditions dans lesquelles certains objets ont été acquis et déplacés, ont révélé le retard et sans doute l’insuffisance de la recherche effectuée sur leurs provenances ; l’évidence du rôle des musées en matière de recherche s’en est trouvée interrogée. Tout le monde s’accorde aujourd’hui à considérer que le débat sur les « restitutions », et plus largement sur la place et le sens des objets, ne peut avancer sereinement qu’avec de la recherche, beaucoup de recherche. Mais ce consensus ne dit pas quelles sont les disciplines qui concourent à cette expertise, comment elles coopèrent entre elles, comment s’organisent les relations de travail entre chercheurs et (autres) professionnels de musée ? Qui fait quoi et comment les uns et les autres articulent-ils leurs travaux, à travers quels liens fonctionnels, permanents ou contractuels ?… D’un pays à l’autre, les profils des professionnels et ces relations diffèrent et on mesure l’enjeu de construire des ponts entre des systèmes de recherche souvent très différents et de convoquer la multiplicité des disciplines concernées par ces recherches : on pense à l’histoire, à l’histoire de l’art naturellement, mais aussi aux sciences « dures » requises pour dater, authentifier les matériaux, identifier parcours et « accidents », … aux sciences humaines et sociales voire politiques lorsqu’il s’agit de restituer un phénomène social ou de saisir les implications diplomatiques ou d’approfondir ce que certains courants sous-tendent, la « décolonisation » par exemple.
Il est important pour tous les professionnels de mieux saisir la nature et la diversité du socle recherche / musée, ici et dans le monde : qu’elles soient le fait des professionnels dans les musées, de ceux qui travaillent sur les musées (sociologues dont c’est l’objet de recherche, par exemple), de ceux qui travaillent pour les musées : les laboratoires des organismes scientifiques et des universités et, en France, du si original C2RMF (Centre de Recherche et de Restauration des Musées de France).
Le débat du 9 mars n’ambitionne pas de réponse à toutes les questions mais il vise, pour les professionnels qui le suivront, à mettre en évidence la place de l’esprit scientifique dans la pratique et dans la formation aux métiers des musées. L’enjeu de nourrir cet esprit de recherche est décisif pour que les musées restent au cœur du dialogue scientifique entre les cultures, pour éclairer l’histoire de nos sociétés y compris les histoires douloureuses. On sait les risques de l’instrumentalisation et de la politisation inappropriée, même dans les musées.
L’actualité de la pandémie n’a pas ralenti ce débat ; peut-être au contraire - par un effet de résilience - ouvre-t-elle la possibilité de renouveler nos approches du lien musées / recherche. On pense au dialogue qui pourrait rapprocher, en ce moment-même, les experts scientifiques de la santé et ceux des musées pour envisager différemment leur rôle, moins sous l’angle de la circulation d’un virus que sous celui, désormais souvent souligné, de ressource face aux maux de notre société, certains musées à l’étranger suggèrent même le musée sur ordonnance…
Déjà, les musées engrangent les « objets témoins du COVID », car bientôt, il leur appartiendra de faire mémoire, par ces traces tangibles, de ce qu’aura été cette étrange histoire.
* "Qui a conscience du tumulte intérieur qui naît en nous et de l'explosion de substances qui nous percute lorsqu'une œuvre croise notre regard?" Christophe Averty, "Quand la science prouve que l'art fait du bien", in Le Monde, 22 octobre 2020. Article en ligne: https://www.lemonde.fr/culture/article/2020/10/22/quand-la-science-prouve-que-l-art-fait-du-bien_6056952_3246.html (17/02/2021)
Programme
Ouvertures
- Charles Personnaz, directeur de l’Institut national du patrimoine
- Juliette Raoul-Duval, présidente d’ICOM France
Intervention vidéo
- Etienne Klein, physicien et philosophe des sciences
Partie 1 - Place de la recherche dans les musées en France et à l'international
- Eric de Chassey, directeur de l’Institut national d’Histoire de l’Art
- Christian Hottin, directeur des études de l‘Institut national du patrimoine
- Roland May, directeur du Centre Interdisciplinaire de Conservation et de Restauration du Patrimoine
- Pascal Liévaux, Délégation à l’inspection, à la recherche et à l’innovation, direction générale des patrimoines
- Steph Scholten, directeur de la Hunterian, université de Glasgow - vice-président d’UMAC
Partie modérée par Juliette Raoul-Duval et Hélène Vassal (ICOM France)
Partie 2 - La recherche dans les musées à l’épreuve des questions vivantes
- Ariane James-Sarazin, directrice adjointe du musée de l’Armée
- Francis Duranthon, paléontologue - directeur des musées de la ville de Toulouse
- Anne-Catherine Robert-Hauglustaine, directrice du musée de l’Air et de l’Espace
- André Delpuech, directeur du musée de l’Homme
Partie modérée par Laurence Isnard (cheffe du bureau des acquisitions, restauration, conservation préventive et recherche, Service des musées de France)
Synthèse de la soirée par Christian Hottin
Cette séance est organisée en direct sur une plateforme numérique et se tiendra simultanément en français, en anglais et en espagnol.
Liens vers la séance Zoom
Pour nous rejoindre : Lien vers la séance
ID de réunion : 882 8880 4783
Code : 006596

Image : Sac brodé en coton et piquants de porc-épic, à bandoulière en perles de verre (71.1878.32.142) sous la tête du microscope numérique HIROX. Projet CRoyAN, novembre 2020 © musée du quai Branly - Jacques Chirac, photo Julien Brachhammer.
19e édition de l'ICOM-CC Conférence triennale à Pékin
Le Comité national d'organisation chinois et l'ICOM-CC annoncent la 19e conférence triennale de l'ICOM-CC, qui se tiendra à Pékin en VIRTUEL du 17 au 21 mai 2021.
Le thème de la conférence est le suivant : "Transcender les frontières : Approches intégrées de la conservation".
L'objectif est de rassembler, d'échanger et de discuter des connaissances, des traditions et des compétences avec des professionnels de la conservation de l'Est et de l'Ouest et, de cette façon, d'apprendre des pratiques, des philosophies et des matériaux de chacun.
En Chine, le domaine des musées se développe à un rythme jamais vu. La profession de conservateur se développe également rapidement, et la conférence virtuelle permettra de visiter virtuellement de nombreux sites du patrimoine culturel et des projets de conservation qui se déroulent non seulement à Pékin mais aussi ailleurs dans le pays.
19e édition de l'ICOM-CC Conférence triennale à Pékin
Le Comité national d'organisation chinois et l'ICOM-CC annoncent la 19e conférence triennale de l'ICOM-CC, qui se tiendra à Pékin en VIRTUEL du 17 au 21 mai 2021.
Le thème de la conférence est le suivant : "Transcender les frontières : Approches intégrées de la conservation".
Retrouvez les tarifs et le modalités d'inscription sur le site de l'événement :
Décoloniser la muséologie : musées, métissages et mythes d’origine
Montréal accueille le 44e symposium annuel du Comité International pour la Muséologie (ICOFOM) intitulé « Décoloniser la Muséologie : Musées, Métissages et Mythes d’Origine ».
En raison de la situation sanitaire, l’événement se tiendra en ligne du 15 au 18 mars 2021.
Montreal hosts the 44th annual symposium of the International Committee for Museology (ICOFOM) entitled "Decolonizing Museology: Museums, Mixed Media and Myths of Origin". Due to the health situation, the event will be held online from 15 to 18 March 2021.
Montreal acoge el 44º simposio anual del Comité Internacional de Museología (ICOFOM), titulado "Descolonizar la museología: Museos, medios mixtos y mitos de origen". Debido a la situación sanitaria, el evento se celebrará en línea del 15 al 18 de marzo de 2021.
Collections d’Amérique du Sud : objets amérindiens de l’Équateur et objets amazoniens
Séminaire « Parcours d’objets. Études de provenance des collections d’art « extra-occidental » proposé par l'INHA
La séance sera consacrée à l’étude de cas d’une collection d’objets amazoniens aujourd’hui enregistrée comme un dépôt du musée des Antiquités nationales au musée du quai Branly - Jacques Chirac. L’analyse sera exposée selon le cheminement de l’enquête documentaire, de façon à mettre en avant les aspects méthodologiques de la recherche de provenance (recours aux inventaires, aux anciennes étiquettes, etc.). Partant de cette collection qui regroupe en réalité deux ensembles de provenances différentes – l’un acquis par le musée de marine du Louvre et l’autre par le MAN – rassemblés de façon indue à un moment de leur histoire institutionnelle, se montré comment l’analyse des sources permet de documenter la trajectoire institutionnelle, la date et les circonstances d’entrée dans les collections nationales, voire la date et les circonstances de collecte.
Intervenants
Maria José Jarrin (université Paris 1 Panthéon-Sorbonne)
Frédérique Servain-Riviale (musée du quai Branly - Jacques Chirac)
Modération de Vincent Lefèvre (musée national des arts asiatiques - Guimet)
À propos de ce séminaire
Les collections dites «extra-occidentales» conservées dans des musées publics ou les collections privées, disséminées tant dans des musées d’art, d’ethnologie que dans des muséums d’histoire naturelle, sont encore trop peu connues. Leur étendue est souvent beaucoup plus grande que ce que les œuvres exposées au public ne laissent supposer, mais elles sont aussi souvent peu documentées ce qui laisse place à l’incertitude et bien souvent un malaise quant à leur provenance. La nécessité d’engager un programme d’études spécifique sur ces collections, si elle était bien présente dans les projets de responsables scientifiques de collections et chercheurs, devient dans le contexte actuel une priorité scientifique, culturelle et politique. Ce séminaire a pour objectif de faire état de travaux de recherche aboutis ou en cours, en France et en Europe, sur des typologies de collections variées tant par leur nature que par leurs provenances. Il a par ailleurs vocation à offrir outils méthodologiques et données aux conservateurs, aux chercheurs et aux étudiants qui ont engagé ou veulent s’engager dans cet effort nécessaire d’une connaissance affinée de ces collections.
En partenariat avec la Direction générale des patrimoines - Service des musées de France.
Bourses de recherches Robert Klein 2022
L’Institut national d’histoire de l’art et la Villa Finaly en partenariat avec le Kunsthistorisches Institut in Florenz – Max-Planck-Institut, ouvrent l’appel à candidature pour la sélection des boursières et boursiers Robert Klein 2022.
Pour la quatrième année consécutive, l’Institut national d’histoire de l’art, la Villa Finaly et le Kunsthistorisches Institut in Florenz – Max-Planck-Institut vont attribuer deux bourses de recherches de niveau postdoctoral nécessitant l'accès aux institutions florentines.
Ces bourses sont destinées aux jeunes chercheuses et chercheurs en histoire de l’art, françaises, français ou étrangères, étrangers, âgés de moins de 45 ans, souhaitant se rendre à Florence pour y effectuer une recherche dans les institutions locales. Les candidates et candidats doivent être titulaires d’un doctorat ou être conservateurs ou conservatrices du patrimoine.
Le montant de la bourse s’élève à 3000 €. Les lauréates ou lauréats sont logés à la Villa Finaly pour une durée à déterminer (participation de 25 € par jour au titre des frais d’entretien, en sus de la taxe de séjour de la ville de 3€ par nuit et par personne). La Villa peut recevoir les boursières ou boursiers entre le 7 janvier et le 30 avril ou entre le 20 octobre et le 20 décembre.
Commission de sélection
La commission de sélection est composée d'un représentant ou d'une représentante de l’INHA, d'un représentant ou d'une représentante de la Villa Finaly, d'un membre en provenance des Universités de Paris (la Villa Finaly est la propriété des universités de Paris), d'un représentant ou d'une représentante du Kunsthistorisches Institut in Florenz – Max-Planck-Institut et d'une personnalité extérieure choisie conjointement et d'un commun accord. La commission se réunit une fois par an pour choisir les lauréates ou lauréats de l’année suivante.
Dossier de candidature
Les dossiers de candidature pour la sélection 2022 doivent être déposés en ligne sur la plateforme de l’INHA ICI au plus tard le 8 mars 2021 avant minuit. Seules les candidatures déposées en ligne sur la plateforme de l’INHA seront prises en compte.
Le dossier (en français ou en anglais) doit comprendre :
1. Une lettre de candidature adressée au directeur général de l’INHA et à la directrice de la Villa Finaly
2. Un curriculum vitae
3. Un programme de travail détaillé (4 pages maximum) en langue française ou anglaise comprenant :
- une présentation générale de la recherche ;
- le sujet particulier nécessitant la présence du candidat à Florence ;
- les institutions de recherche où se trouvent la documentation et les archives à consulter;
- un développement concernant la valorisation de cette recherche par le biais d'une conférence, d'un séminaire, l'établissement d'un partenariat avec des institutions de recherche sur place ou ailleurs, sera, particulièrement apprécié.
4. Une attestation d'une personnalité scientifique appuyant la candidature.
5. La fiche de renseignements dûment remplie.
Les candidats et candidates doivent être âgés de moins de 45 ans au 8 mars 2021.
Contacts : Pour plus d'informations, contactez le secrétariat du Département des études et de la recherche de l'INHA au 01 47 03 85 81 ou à l'adresse der-dir @ inha.fr
Repenser les pratiques muséales pour les visiteurs du XXIe siècle
Participez à une série de classes virtuelles de deux heures qui vous donneront des idées, des cadres et des outils pour développer des expériences de visite attrayantes, engageantes, pertinentes et mémorables.
Il s'agira d'un cours à propos de la conception de l'expérience du visiteur, déjà abordée par Lisa Baxter lors de la première conférence en ligne des musées européens de NEMO l'année dernière.
Dates et heures des cours
- Jeudi 18 mars (10:00-12:00 CET)
- Mercredi 24 mars (15:00-17:00 CET)
- Mercredi 31 mars (10:00-12:00 CET)
Comment participer ?
Constituez un dossier de candidature regroupant :
- un curriculum vitæ
- un paragraphe motivant votre participation et vos attentes
- une preuve de l'adhésion à NEMO ou lettre de recommandation d'un membre de NEMO
Envoyez ces éléments au bureau de NEMO
Date limite de dépôt de dossier : jeudi 10 mars 2021
L'économie solidaire entre au Musée
Solidarités, musées : de quoi parle-t-on ?
Avec la Covid-19, certains mots ont pris du poids. Solidarité en est un.
Le confinement, les fermetures de musées, le travail à distance, la précarisation… suscitent des élans de générosité, des désirs d’échange, des espoirs de partage. Concrètement, comment cela se traduit-il ? Est-ce durable ?
ICOM France propose chaque troisième mardi du mois une rencontre-discussion sur la plateforme Zoom de 13h à 14h30 autour du thème "Solidarité" pour vous permettre d'échanger et de transmettre vos expériences entre professionnels de musée.
Mardi 16 mars - séance 5
L'économie solidaire entre au Musée
Exposition durable, éco-conception, mesure d'impact, fin du productivisme...
Comment introduire la solidarité environnementale dans la vie économique des musées ?
Quel impact écologique de l'activité des musées ? Quels indicateurs ?
Le développement durable peut-il générer des bénéfices économiques ?
Comment penser une exposition durable (quels moyens, équipements, budget...)? Quelles compétences mobiliser ?
Venez dialoguer et échanger avec :
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Kimmo Antila, directeur du musée de la Poste finlandais
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Lydia Labalette, administratrice du Château des ducs de Bretagne - musée d'Histoire de Nantes
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Laukia Merja, directrice des expositions et des collections du musée des Confluences et Sylvain Beguin, régisseur général du musée des Confluences
-
Térésa Ribeyron, chef de projet itinérance des expositions du MNHN
-
Caitlin Southwick, membre du groupe de travail développement durable d'ICOM et directrice de Ki Culture
Liens vers la séance
ID de réunion : 856 1774 5937
Code secret : 528761
La séance, organisée en direct sur une plateforme numérique, sera modérée par Estelle Guille des Buttes, conservatrice en chef du patrimoine, trésorière adjointe à ICOM France.
Elle se tiendra simultanément en français, en anglais et en espagnol.

Le Cycle "Solidarités, musées : de quoi parle-t-on ?" est une initiative d'ICOM France en partenariat avec ICOM Finlande, ICOM Grèce, ICOM Israël et CIMUSET. Il a obtenu le soutien financier de l'ICOM international.
L'économie solidaire entre au Musée
Retrouvez l'enregistrement de la séance portant sur l'économie solidaire dans les musées.
Exposition durable, éco-conception, mesure d'impact, fin du productivisme...
Comment introduire la solidarité environnementale dans la vie économique des musées ?
Quel impact écologique de l'activité des musées ? Quels indicateurs ?
Le développement durable peut-il générer des bénéfices économiques ?
Comment penser une exposition durable (quels moyens, équipements, budget...) ?
Quelles compétences mobiliser ?
Avec les témoignages de :
-
Kimmo Antila, directeur du musée de la Poste finlandais
-
Lydia Labalette, administratrice du Château des ducs de Bretagne - musée d'Histoire de Nantes
-
Laukia Merja, directrice des expositions et des collections du musée des Confluences et Sylvain Beguin, régisseur général du musée des Confluences
-
Térésa Ribeyron, chef de projet itinérance des expositions du MNHN
-
Caitlin Southwick, membre du groupe de travail développement durable d'ICOM et directrice de Ki Culture
La séance a été modérée par Estelle Guille des Buttes, conservateur en chef du patrimoine, trésorière adjointe à ICOM France.
Vidéo de la séance en français
Podcast in English
Grabación sonora en español
Le Cycle "Solidarités, musées : de quoi parle-t-on ?" est une initiative d'ICOM France en partenariat avec ICOM Finlande, ICOM Grèce, ICOM Israël et CIMUSET. Il a obtenu le soutien financier de l'ICOM international.