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Salon Museum Connections 2022
Salon professionnel international, résolument tourné vers les enjeux économiques et durables des musées, des lieux culturels et touristiques, Museum Connections décode les tendances et innovations pour imaginer les nouvelles expériences de visite. Animateur de la communauté internationale, Museum Connections rassemble les professionnels du secteur, tous les ans à Paris.
Après les reports et annulations de l'année 2021, le salon revient en 2022 :
Les 30 et 31 mars 2022
Paris Expo Portes de Versailles Hall 3
ICOM France a le plaisir de faire partie des partenaires et de vous accueillir sur son stand L44.
Inspiration board
Museum Connections bénéficie du soutien des professionnels des musées, lieux de culture et touristique et s’appuie sur deux comités pour assurer la pertinence de l’événement et son adéquation aux enjeux du secteur.
- Juliette Raoul-Duval, Présidente ICOM France
- Valérie Senghor, Directrice générale adjointe, chargée de l’innovation, du développement et des grands projets, Centre des Monuments Nationaux
- Mathieu Boncour, Directeur Communication et RSE, Palais de Tokyo
- Kristina Leipold, Commercial Director, Light Art Space Berlin
- Fanny Guesdon, Associate Director, Brunswick London
- Sophie Galelli Birkan, Projects Director Retail Diversification, Altarea
- Aurite Kouts – Community Lead – Cap Digital
- Michel Rouger – Directeur – Museoparc Alesia
- Marialya Bestougeff – Directrice de l’innovation – 104
- Alexandre de Vogüé – Directeur du développement – Château de Vaux le Vicomte – et Vice Président de la Demeure Historique
Raconter, exposer et commémorer l’histoire des minorités aux Etats-Unis. Les musées et sites historiques états-uniens et les récits minoritaires.
Le vendredi 10 décembre 2021, une journée d’étude organisée par l’Institut d’Histoire du Temps Présent, UMR 8244 au Campus Condorcet. Avec le soutien de la Fondation pour la mémoire de l'esclavage.
Les récits minoritaires mobilisent des mémoires collectives spécifiques, des processus de patrimonialisation et différentes médiations de l’histoire, notamment dans les cadres scolaires, médiatiques. Cette journée d’étude se déroulera en présentiel, et en ligne sur Zoom.
Campus Condorcet, Centre de colloque, Place du Front Populaire, 93322 Aubervilliers, salle 3.01.
“Écouter l’image”
La résidence de recherche critique d’Eric de Visscher (musicologue, commissaire d’exposition, ancien directeur du Musée de la musique et professeur invité au Victoria & Albert Museum de Londres) vise à explorer l’utilisation innovante du son comme enrichissement de l’expérience de visite.
En réunissant architectes, acousticiens, musicologues, philosophes, conservateurs, historiens et artistes, et en invitant étudiants et professionnels à y participer, « Musée Polyphonique » interroge les possibilités qu’offre cette présence sonore au Musée, en prenant appui sur la Galerie des Peintures Murales et des Vitraux de la Cité de l’architecture & du patrimoine : celle-ci présente un vaste ensemble de reproductions de fresques datant du IXème au XVIème siècle, intégrées dans une reconstitution architecturale des sites originaux.
La prochaine séance, sous forme de séminaire pluridisciplinaire, aura lieu le jeudi 9 décembre 2021, de 14h à 18h, et aura pour thème “Ecouter l’image”.
Après une visite de la Galerie des Peintures Murales, les contributions des intervenants aborderont la question du rapport de l’image au son en partant de l’iconographie médiévale et des multiples rapports entre le visible et l’invisible qu’elle instaure. Si le musée procure, à son tour, une expérience de visite de plus en plus plurisensorielle, comment s’articule la relation entre ses différentes composantes et le corps perceptif du visiteur ? Comment percevons-nous les images et les sons du Musée, à l’heure où ceux-ci connaissent une prolifération infinie par la reproduction et la distribution numérique ?
Intervenants: Nathalie Bondil (directrice de musée), Martine Clouzot (historienne de l’art), Emanuele Quinz (chercheur et commissaire d’expositions).
Entrée libre - Inscription obligatoire
Museums studies : Bridging theory and practice
Découvrez la dernière anthologie d'articles d'ICOFOM sur la muséologie finlandaise !
Museum Studies - A Bridge Between Theory and Practice est une collection éditée de 28 articles rédigés principalement par des praticiens finlandais de la muséologie.
Le contenu du livre est divisé en cinq sections principales :
- La muséologie et les musées en tant que profession
- La gestion des collections menant au développement des collections
- Les communautés et les publics
- Les expositions en tant que transmettrices de l'évolution des identités muséales
- L'éthique
Dans les chapitres, sont introduits des concepts tels que les valeurs muséologiques et le facteur d'impact muséologique. Notre livre présente des moyens pour mesurer l'incommensurable, ce qui nous aide à naviguer dans le domaine de la signification muséologique.
Rédacteurs : Nina Robbins (rédactrice en chef), Suzie Thomas, Minna Tuominen, Anna Wessman.
Éditeurs : ICOFOM et Université de Jyväskylä/Open Science Centre.
Le livre est disponible en ligne, sur le site d'ICOFOM.
Appel à contribution - ICOFOM Study Series
Conditions de soumission
Les articles doivent comporter 6000 mots maximum (notes et références incluses, comme spécifié dans nos directives) et doivent être envoyés pour le 12 décembre 2021 (au plus tard) à l'adresse icofomsymposium@gmail.com.
Les propositions devront intégrer l'un des cinq axes d'analyse proposés. Elles devront respecter les règles de mise en forme de l'ICOFOM, que vous trouverez sur le site internet du comité, et être rédigées dans l'une des trois langues officielles de l'ICOM (anglais, français ou espagnol).
Appel à contribution - Journal de l'UMAC
L'UMAC, le Comité international de l'ICOM pour les musées et les collections universitaires, a entrepris en 2020 et 2021 une étude sur "l'éthique du rapatriement et de la restitution" en partenariat avec d'autres groupes de l'ICOM (ETHCOM, ICME et ICOM Australia), et avec UNIVERSEUM, le réseau européen des musées universitaires.
Ce projet s'inscrit dans le cadre de l'engagement de l'ICOM à rechercher et à traiter les questions de décolonisation. Il a abouti à un projet de lignes directrices destinées à aider les universités sur la question de la restitution et du rapatriement et à compléter le code d'éthique de l'ICOM.
Le projet a aussi permis de découvrir de nombreux exemples intéressants de rapatriement dans le secteur de l'enseignement supérieur dans le cadre des stratégies de décolonisation des universités. Nous cherchons maintenant à les capturer pour une édition thématique de la revue University Museums and Collections Journal.
Puisque la question du rapatriement va dominer les pratiques muséales de la prochaine ou des deux prochaines générations, nous pensons qu'il est important de saisir les détails de certains des premiers efforts de rapatriement des universités. Les universités doivent aborder la question du patrimoine entaché d'histoires de violence, d'occupation forcée, d'oppression, d'exploitation, de recherche non éthique et de guerre. De plus, nous devons aller au-delà des musées universitaires, au plus profond de nos départements, laboratoires et instituts qui regorgent d'objets incarnant des vérités dérangeantes.
Les propositions sont à envoyer au plus tard le 31 décembre à l'adresse suivante: umacjeditor@gmail.com
Les institutions du patrimoine face au changement climatique
La COP26 – la conférence des Nations unies 2021 sur le changement climatique – a touché à sa fin. Les dirigeants mondiaux et les représentants de la société civile se sont réunis à Glasgow pour discuter des progrès réalisés et de ce qu’il reste à faire pour lutter contre le changement climatique. L’ICOM a été présent le 11 novembre avec d’autres organisations internationales de la culture et du patrimoine pour discuter du rôle des institutions patrimoniales dans l’action climatique.
La COP26 s’est distinguée par une présence sans précédent de la culture et des représentants d’organisations culturelles locales et internationales. Cela est dû en partie à l’attention portée à la culture par les gouvernements britannique et italien (l’Italie avait déjà accordé à la culture un rôle de premier plan dans les discussions du G20 sur la crise climatique), qui ont organisé respectivement la COP et la pré-COP, mais aussi aux années de travail d’innombrables organisations et professionnels, notamment le Climate Heritage Network et le projet Reimagining Museums for Climate Action.
Mais qu’est-ce que la COP et pourquoi est-il si important d’inclure la culture dans la lutte contre le changement climatique ?
COP est l’abréviation de Conférence des Parties. Les parties sont les gouvernements signataires de la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques (CCNUCC), un traité conclu en 1994. Chaque année, les 197 signataires (196 pays et l’Union européenne) se réunissent pour surveiller et examiner la mise en œuvre de la CCNUCC.
Selon Sir David Attenborough, l’urgence climatique se résume à un seul chiffre : la concentration de dioxyde de carbone dans notre atmosphère, une mesure qui détermine en grande partie les températures mondiales. Les concentrations de dioxyde de carbone augmentent principalement en raison de la combustion de combustibles fossiles.
C’est pourquoi, depuis 2015, une autre référence internationale en matière d’action climatique est l’Accord de Paris, un traité international juridiquement contraignant sur le changement climatique adopté lors de la COP21. Son objectif est de réduire les émissions de carbone afin de maintenir l’augmentation de la température moyenne mondiale bien en dessous de 2° C, et de préférence en dessous de 1,5° C, par rapport aux niveaux préindustriels.
En l’état actuel des choses, cependant, les gouvernements n’ont pas pris de mesures suffisamment décisives pour atteindre ces objectifs et, sans transformations économiques et sociales majeures, les effets du changement climatique seront graves et disproportionnés dans les différentes régions du monde.
L’action climatique exige la justice climatique
La lutte contre le changement climatique est indissociable de la lutte contre les inégalités, tant sociales qu’économiques. En effet, les pays et les groupes qui ont le moins contribué au changement climatique sont aussi ceux qui sont le plus durement touchés par ses effets, et les grands émetteurs n’ont pas encore assumé leur pleine responsabilité et pris des mesures suffisantes pour inverser le problème. En outre, les voix des groupes les plus vulnérables, notamment les pays du Sud, les peuples autochtones et les jeunes, sont encore largement exclues du débat sur le changement climatique.
Dans la lutte contre le changement climatique, l’égalité sociale, l’autonomisation et l’inclusion des communautés locales sont essentielles pour assurer une transition qui ne laisse personne de côté. Notre dernier MOOC sur la création de pratiques muséales significatives et inclusives traite justement de ce sujet. Et c’est l’un des domaines où la culture et les musées peuvent jouer un rôle clé.
Pourquoi la Culture est importante
L’article 6 de la convention de la CCNUCC vise à réduire l’impact du changement climatique en permettant à la société de faire partie de la solution. Cet article se traduit par des programmes de travail appelés “Action for Climate Empowerment”, qui reposent à leur tour sur six éléments clés : l’éducation, la formation, la sensibilisation du public, la participation du public, l’accès du public à l’information et la coopération internationale.
Il n’est pas difficile d’imaginer le rôle que les musées peuvent jouer dans ce domaine, et il existe de nombreux exemples de musées qui ont pris l’initiative et montrent l’exemple au secteur. La culture a un rôle clé à jouer pour favoriser les solutions innovantes, amplifier la voix des militants et des peuples autochtones et impliquer tous les membres de la société dans la lutte contre le changement climatique.
Bien entendu, les musées peuvent également apporter une contribution directe en réduisant leurs émissions de carbone et en atteignant le niveau “net zéro”, et il existe là aussi de nombreux exemples de musées innovants dans le monde entier.
L'ICOM à la COP26
Pour aider les musées à mener toutes ces actions, l’ICOM a créé et est soutenu par son groupe de travail sur la durabilité, ainsi que par un réseau croissant de partenaires et de collaborations internationales, notamment le panel qui a eu lieu le jeudi 11 novembre 2021 dans le pavillon de l’UE à la COP.
Ce panel a abordé la manière dont les institutions, les praticiens et les décideurs du patrimoine culturel répondent à l’urgence climatique, et comment nous pourrions parvenir à une action plus intégrée et radicale.
Appel à candidature - OFAJ
L’Office franco-allemand pour la Jeunesse (OFAJ) est une organisation internationale au service de la coopération entre la France et l’Allemagne, implantée à Paris, à Berlin et Sarrebruck. Chaque année, il permet à près de 200 000 jeunes de participer à ses programmes d’échanges. L'OFAJ organise et subventionne des séjours professionnels avec la Direction générale des patrimoines – Service des musées de France et département des Affaires européennes et internationales (DGP, SMF-DAEI) et la Stiftung Haus der Geschichte der Bundesrepublik Deutschland (HdG).
Pour qui ?
- Personnel scientifique : conservatrices, conservateurs, attachés, assistantes et assistants de conservation du patrimoine, responsables scientifiques de collections (candidates et candidats français)
- Possédant un diplôme universitaire ou équivalent en gestion culturelle et/ou justifiant d’une expérience professionnelle (stages) en milieu muséal
- L’équipe de médiation et responsables de services culturels et pédagogiques
- Les équipes de restauration et de régie et professions techniques
- Personnels de documentation
Pourquoi ?
- Pour découvrir les pratiques muséales en Allemagne
- Pour découvrir les pratiques muséales en Allemagne
- Participer au développement de la coopération entre musées
Conditions de participation
- Jusqu’à 30 ans révolus (35 ans sur dérogation)
- Résider de façon permanente en France
- Avoir des compétences de base en langue allemande (niveau A2 du CECR conseillé - Cadre Européen Commun de Référence pour les langues)
- Exercer une activité professionnelle dans un musée ou dans un service muséographique, ou s’apprêter à y prendre des fonctions
- Être disponible pendant toute la durée du programme (de mi-avril jusqu’à fin juin)
Comment déposer un dossier de candidature?
Les candidatures sont à adresser, avant fin décembre, au ministère de la Culture – Direction générale des patrimoines à virginie.desrante@culture.gouv.fr, accompagnées des documents suivants :
- CV avec photo en français et en allemand
- Autorisation de l’employeur français
- Lettre de motivation en français et en allemand précisant le type de musée souhaité (histoire, ethnologie, archéologie, beaux-arts, patrimoine scientifique, technique, culturel, etc.), la nature des collections, le domaine d’activités recherché (collections, conservation, restauration, expositions, accueil des publics, régie, documentation)
- Engagement écrit de participation active au programme dans son intégralité
- Si vous envisagez de réaliser votre séjour professionnel dans un musée précis, veuillez indiquer trois musées par ordre de préférence et ne pas limiter votre choix à Berlin.
À savoir : Si l’accueil dans ces trois musées n’est pas possible, la DGP et la HdG vous proposeront une alternative. Compte tenu des impératifs dans les musées/institutions d’accueil, il n’est pas exclu que les candidates et candidats soient informés de leur lieu d’affectation dans la quinzaine précédant le début du séjour professionnel.
Comment se déroule le programme
- Séminaire d’introduction binational (informations sur les objectifs du programme)
- Cours binational de préparation (linguistique, interculturel, professionnel)
- Séjour professionnel de deux mois dans un musée en Allemagne
- Séminaire binational d’évaluation
L'aide de l'OFAJ prévoit :
- Une bourse de 900 € par mois aux candidates et candidats de France s’ils ne perçoivent pas de rémunération durant leur mise en disponibilité ; dans le cas de maintien de rémunération, la bourse s’élève à 700 €
- Prise en charge des frais de voyage sur une base forfaitaire et d’une assurance complémentaire (maladie, responsabilité civile et accident) pour la durée du séjour dans le pays d’accueil
- Cours binational de préparation : prise en charge des frais de voyage, de cours, d’hébergement et de restauration sur une base forfaitaire
- Séminaires : frais de voyage et de séjour sur une base forfaitaire
Pratiques muséales innovantes dans les pays anglo-saxons
Cette formation a pour objectif de faire un recensement des pratiques muséales nouvelles développées par les musées anglais et américains afin d’offrir des pistes de réflexions aux praticiens français. Les musées anglo-saxons ont une approche résolument innovante de leurs missions. Peu ou pas financés par l’argent public, ils ont développé une vraie expertise et font preuve de beaucoup d’inventivité pour augmenter leurs financements, attirer un public plus large, fidéliser leurs membres, s’adapter à une société en pleine évolution… Ce programme, à travers des exemples concrets, cherche à présenter un panorama des « bonnes pratiques » anglo-saxonnes.
Coordonnatrice : Docteur Christel de Noblet, juriste, chargée de cours en droit comparé du patrimoine en France, en Grande-Bretagne et aux États-Unis (Sciences Po Paris, Sorbonne Université, École du Louvre/Université Paris XI - Musée du Quai Branly, Sorbonne Abu Dhabi, IESA Paris)
Public concerné : conservateurs du patrimoine et des bibliothèques, administrateurs territoriaux ou civils, responsables administratifs d’établissements patrimoniaux, documentalistes, chargés d’études documentaires, bibliothécaires, régisseurs des collections, attachés de conservation, assistants de conservation, adjoints du patrimoine, ingénieurs de recherche, ingénieurs d’étude, responsables de fonds patrimoniaux, personnels de l’Etat, des collectivités territoriales et du secteur privé.
Inscriptions
Prix : 690 euros (voir les conditions d’inscription) - Nombre de places : 25
Télécharger le bulletin d’inscription (PDF)
Bulletin d’inscription à envoyer à Sandrine Erard (formation.permanente.conservateurs@inp.fr) – Institut national du patrimoine – 2 rue Vivienne, 75002 Paris.
Renseignements au 01 44 41 16 51
Photographie documentaire des objets patrimoniaux
Ce stage théorique et pratique a pour objectif de comprendre les principes de base de la photographie et leur mise en œuvre, de connaître les outils et le flux de production en photographie numérique de la prise de vue à la gestion des fichiers.
Il permettra notamment de :
- préparer une campagne de prises de vue documentaire in situ,
- mettre en œuvre et réaliser une campagne photographique documentaire d'un objet patrimonial en deux dimensions ou en volume,
- aborder la gestion des fichiers et les traitements basiques de l'image.
Après une session théorique, les participants travailleront en groupes restreints sur plusieurs postes de prise de vue reproduisant les problématiques rencontrées dans la prise de vue d'objets patrimoniaux en environnement contrôlé et non contrôlé (réserve, salle de musée, objet en vitrine, centre de documentation, etc.). Ils seront amenés à réaliser des photographies d'objets pédagogiques dans un souci de reproduction fidèle de la couleur, de la géométrie et des détails de surface.
Dans une seconde partie du stage, la gestion des fichiers (editing, renommage, indexation) et leur postproduction (recadrage, correction de la luminosité et du contraste, retouche basique, etc.) seront abordés et mis en œuvre dans le cadre d'exercices pratiques.
Pour cette formation principalement pratique, les participants sont invités à apporter leur matériel professionnel ou personnel :
- appareil photographique numérique et accessoires associés (batterie, chargeur et carte mémoire),
- trépied,
- ordinateur portable avec installation du logiciel libre XnView MP.
Cette formation s'adresse à tous les professionnels du patrimoine et de la conservation-restauration amenés à documenter des objets patrimoniaux par la photographie numérique dans l'exercice de leurs missions : régisseurs d'œuvres d'art, restaurateurs, documentalistes scientifiques, chargés d'inventaire ou de récolement, conservateurs, etc. Niveau pré-requis : débutant – amateur.
Inscriptions
Prix : 460 euros (voir les conditions d’inscription) - Nombre de places : 12
Télécharger le bulletin d’inscription (PDF)
Bulletin d’inscription à envoyer à Charles Brun (formation.permanente.restaurateurs@inp.fr) - Institut national du patrimoine département des restaurateurs – 124, rue Henri Barbusse 93300 Aubervilliers. Renseignements au 01 49 46 57 92