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"Connecter les villes, connecter les citoyens. Vers un développement durable partagé"
Après plus d'un an de pandémie, le titre précédemment choisi pour la conférence annuelle CAMOC 2021 de Barcelone, Connecting Cities, Connecting Citizens. Towards a Shared Sustainability, a pris un nouveau sens. Les changements technologiques, accélérés par la pandémie, l'incertitude sociale et la politique actuelle, soulignent l'importance des villes et du réseau urbain dans l'avenir. Dans ce contexte, la réinvention des musées de la ville peut jouer un rôle clé dans la construction d'un monde démocratique avec plus de justice sociale et de respect pour la planète.
C'est pourquoi la réunion CAMOC 2021 à Barcelone vise à approfondir le rôle que les musées de la ville peuvent jouer en tant qu'institutions stratégiques de cohésion urbaine, sociale et culturelle, permettant de connecter les villes et la citoyenneté en faveur d'une durabilité partagée.
Le musée de la ville, conçu comme un espace de connaissance de l'histoire et du patrimoine urbain, peut être configuré comme un pôle explicatif innovant, favorisant la création de nouveaux liens, en écho aux luttes pour la vérité, l'égalité et le dialogue culturel. Relier les villes et les citoyens dans un réseau à plusieurs échelles, en tenant compte à la fois des perspectives du quartier, de la ville et du monde, peut également contribuer à une économie urbaine plus diversifiée et durable.
Les musées urbains peuvent promouvoir de nouvelles pratiques touristiques plus respectueuses de l'environnement et de la population locale. En même temps, les musées doivent également être considérés comme des nœuds essentiels de connaissances techniques en matière de conservation et de gestion du patrimoine, d'innovation culturelle et de cohésion urbaine, susceptibles de contribuer au développement local.
Le CAMOC et le MUHBA (Musée d'histoire de Barcelone) proposent trois jours de travail partagé pour réfléchir aux principaux axes de la nouvelle muséologie urbaine du XXIème siècle, pour passer de la "ville-musée" au "musée des citoyens", avec des bases solides fondées sur la recherche dans les domaines de l'histoire urbaine, de la gestion du patrimoine et de la participation citoyenne. Le programme est organisé en trois sessions, qui s'articuleront autour de trois concepts : le travail muséal, le reportage sur la ville et le renforcement de la citoyenneté, plus un atelier sur les musées urbains dans les métropoles à croissance rapide.
Modalité d'inscription à la conférence
Sur place : Tickets
En ligne : Remplir le formulaire
"Connecter les villes, connecter les citoyens. Vers un développement durable partagé"
Après plus d'un an de pandémie, le titre précédemment choisi pour la conférence annuelle CAMOC 2021 de Barcelone, Connecting Cities, Connecting Citizens. Towards a Shared Sustainability, a pris un nouveau sens. Les changements technologiques, accélérés par la pandémie, l'incertitude sociale et la politique actuelle, soulignent l'importance des villes et du réseau urbain dans l'avenir. Dans ce contexte, la réinvention des musées de la ville peut jouer un rôle clé dans la construction d'un monde démocratique avec plus de justice sociale et de respect pour la planète.
C'est pourquoi la réunion CAMOC 2021 à Barcelone vise à approfondir le rôle que les musées de la ville peuvent jouer en tant qu'institutions stratégiques de cohésion urbaine, sociale et culturelle, permettant de connecter les villes et la citoyenneté en faveur d'une durabilité partagée.
Le musée de la ville, conçu comme un espace de connaissance de l'histoire et du patrimoine urbain, peut être configuré comme un pôle explicatif innovant, favorisant la création de nouveaux liens, en écho aux luttes pour la vérité, l'égalité et le dialogue culturel. Relier les villes et les citoyens dans un réseau à plusieurs échelles, en tenant compte à la fois des perspectives du quartier, de la ville et du monde, peut également contribuer à une économie urbaine plus diversifiée et durable.
Les musées urbains peuvent promouvoir de nouvelles pratiques touristiques plus respectueuses de l'environnement et de la population locale. En même temps, les musées doivent également être considérés comme des nœuds essentiels de connaissances techniques en matière de conservation et de gestion du patrimoine, d'innovation culturelle et de cohésion urbaine, susceptibles de contribuer au développement local.
Le CAMOC et le MUHBA (Musée d'histoire de Barcelone) proposent trois jours de travail partagé pour réfléchir aux principaux axes de la nouvelle muséologie urbaine du XXIème siècle, pour passer de la "ville-musée" au "musée des citoyens", avec des bases solides fondées sur la recherche dans les domaines de l'histoire urbaine, de la gestion du patrimoine et de la participation citoyenne. Le programme est organisé en trois sessions, qui s'articuleront autour de trois concepts : le travail muséal, le reportage sur la ville et le renforcement de la citoyenneté, plus un atelier sur les musées urbains dans les métropoles à croissance rapide.
Modalité d'inscription à la conférence
Sur place : Tickets
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"Les crises et tragédies sanitaires dans les musées d'archéologie, d'histoire et des sites"
La prochaine conférence annuelle de l'ICMAH se tiendra à Dakar (Sénégal) du 11 au 15 décembre 2021. En collaboration avec ICOM Sénégal, la rencontre portera sur le thème "Crises et tragédies sanitaires dans les musées d'archéologie, d'histoire et de sites".
Les crises sanitaires, épidémiques et pandémiques ont touché tout au long de l'histoire un grand nombre de personnes dans le monde entier. Dues à des facteurs naturels, économiques ou sociaux, elles révèlent que nos ancêtres souffraient des mêmes problèmes de santé que l'homme d'aujourd'hui. Seule la fréquence de ces maladies et leur évolution ont été modifiées, mais elles nous interpellent par leur ampleur et les cicatrices qu'elles ont laissées sur nos terres et dans nos mémoires.
Dans les musées et sur les sites, de collections et de documents ont été rassemblés, conservés et entretenus.
L'analyse de ces témoignages matériels et immatériels datant de la préhistoire, mais aussi de l'époque ancienne et contemporaine, nous renseigne sur les variations de la fréquence de ces calamités au fil du temps et elle peut certainement nous éclairer sur la limitation des déplacements, l'isolement...
La conférence annuelle de l'ICMAH vise non seulement à réfléchir à ces crises et tragédies passées et à leur impact sur les musées, mais aussi à mettre en lumière le rôle de l'archéologie et de l'histoire dans l'information sur ces événements, afin d'aborder une série de questions liées à ce sujet :
- Comment les musées collectent, assemblent, étudient et interprètent les collections d'objets pour aider à comprendre le sujet ?
- Comment les musées s'impliquent-ils dans le travail de mémoire, dans la quête de reconnaissance ou de justice des héritiers de ces tragédies ?
- Comment les expositions permettent-elles de garder la mémoire vivante pour les communautés blessées ?
- Comment présenter des expositions sans créer de stress et de traumatisme pour les visiteurs ?
- Comment les musées et les institutions connexes peuvent-ils contribuer à la construction et à l'engagement des communautés après avoir vécu ces crises ?
"Les crises et tragédies sanitaires dans les musées d'archéologie, d'histoire et des sites"
La prochaine conférence annuelle de l'ICMAH se tiendra à Dakar (Sénégal) du 11 au 15 décembre 2021. En collaboration avec ICOM Sénégal, la rencontre portera sur le thème "Crises et tragédies sanitaires dans les musées d'archéologie, d'histoire et de sites".
Les crises sanitaires, épidémiques et pandémiques ont touché tout au long de l'histoire un grand nombre de personnes dans le monde entier. Dues à des facteurs naturels, économiques ou sociaux, elles révèlent que nos ancêtres souffraient des mêmes problèmes de santé que l'homme d'aujourd'hui. Seule la fréquence de ces maladies et leur évolution ont été modifiées, mais elles nous interpellent par leur ampleur et les cicatrices qu'elles ont laissées sur nos terres et dans nos mémoires.
Dans les musées et sur les sites, de collections et de documents ont été rassemblés, conservés et entretenus.
L'analyse de ces témoignages matériels et immatériels datant de la préhistoire, mais aussi de l'époque ancienne et contemporaine, nous renseigne sur les variations de la fréquence de ces calamités au fil du temps et elle peut certainement nous éclairer sur la limitation des déplacements, l'isolement...
La conférence annuelle de l'ICMAH vise non seulement à réfléchir à ces crises et tragédies passées et à leur impact sur les musées, mais aussi à mettre en lumière le rôle de l'archéologie et de l'histoire dans l'information sur ces événements, afin d'aborder une série de questions liées à ce sujet :
- Comment les musées collectent, assemblent, étudient et interprètent les collections d'objets pour aider à comprendre le sujet ?
- Comment les musées s'impliquent-ils dans le travail de mémoire, dans la quête de reconnaissance ou de justice des héritiers de ces tragédies ?
- Comment les expositions permettent-elles de garder la mémoire vivante pour les communautés blessées ?
- Comment présenter des expositions sans créer de stress et de traumatisme pour les visiteurs ?
- Comment les musées et les institutions connexes peuvent-ils contribuer à la construction et à l'engagement des communautés après avoir vécu ces crises ?
Créer des pratiques muséales significatives et inclusives
Le 29 novembre, le premier cours en ligne ouvert et massif (MOOC) de l’ICOM sera en ligne et accessible à tous sur la plateforme Future Learn : “Créer des pratiques muséales significatives et inclusives”.
Le cours encouragera les professionnels des musées à explorer une série de méthodologies et de stratégies d’inclusion sociale et de soutien de la communauté qui peuvent être mises en œuvre pour permettre une participation culturelle plus large.
Le cours a été coordonné par le Département de Formations / Musées et Société du Secrétariat de l’ICOM, et le contenu a été développé par Armando Perla (El Salvador/Canada) et Deirdre Prins-Solani (Afrique du Sud), des spécialistes du patrimoine et des musées ayant une forte expérience sur le sujet.
À l’aide d’études de cas représentatives et de discussions avec des experts, des universitaires et des membres de la communauté, ce cours présente des méthodologies et des stratégies, telles que la co-curation, l’histoire orale, la collecte communautaire, la conception inclusive et la résolution de conflits. Il illustre une pratique muséale dynamique et évolutive qui se déroule dans différents coins du monde.
Ce MOOC de quatre semaines propose des pratiques permettant aux musées de garantir l’inclusion des personnes qui, pour quelque raison que ce soit, n’ont pas pu participer aux activités économiques, politiques, culturelles et sociales, comme les personnes âgées, les personnes en situation de handicap, les migrants, les minorités, les peuples autochtones, les membres des communautés LGBTQI+ et ethnoculturelles.
Dans le même temps, les instructeurs amèneront les étudiants à participer à des auto-évaluations et à des travaux évalués par des pairs afin d’encourager l’autoréflexion et l’apprentissage social.
Le cours encouragera également une réflexion sur les défis auxquels sont confrontés les institutions et les spécialistes, afin que les participants puissent élargir leur perspective sur le rôle des musées contemporains dans l’engagement communautaire et se doter des compétences nécessaires pour développer des projets muséaux significatifs et inclusifs.
"Les futurs fantastiques"
Cette conférence aborder les principaux thèmes relatifs au développement de l’IA dans les GLAM via des retours d’expérience, des exemples concrets, des confrontations de cas d’usage, mais également des présentations et des tables rondes prospectives : choix d’une stratégie collective, organisation interne, partenariats, formation, éthique, vision par ordinateur, reconnaissance d’écritures manuscrites…
Ces deux jours seront également l’occasion d’élargir le champ du débat et de la réflexion grâce à des invités qui partageront leurs recherches et leurs travaux en guise d’ouverture : Marion Carré, qui arpente, dans toutes les directions, les relations entre art et intelligence artificielle et Yves Citton, enseignant-chercheur en littérature et médias à l’université Paris 8, auteur de plusieurs ouvrages aux confins de la politique, de la culture, de l’art et de la philosophie.
Les différentes présentations seront proposées en anglais ou en français, une traduction simultanée sera proposée pour la conférence principale.
Durant les jours qui précèdent la conférence à proprement parler, sont prévus plusieurs ateliers et tutoriels en ligne ainsi qu’une visite du très récent campus de l’Université Paris-Saclay.
Appel à publication pour ICOFOM Study Series, vol. 50, num. 1.
Le prochain appel à publication pour ICOFOM Study Series, vol. 50, num. 1 est ouvert ! En prévision de la célébration des 50 ans de la Declaración de la Mesa de Santiago en 2022, ICOFOM Study Series vous invite à une réflexion située dans le musée, au sens large, avec une perspective portant sur le long terme. Cet appel à contribution provient du souhait de l’ICOFOM de présenter une réévaluation des points de vue sur les musées et sur la muséologie dans le monde, 50 ans après la Mesa Redonda.
Date limite des propositions : 12 novembre 2021
Email : icofomsymposium@gmail.com, avec pour objet “ICOFOM Study Series, vol. 50, num. 1”
Appel à publication pour ICOFOM Study Series, vol. 50, num. 1.
Le prochain appel à publication pour ICOFOM Study Series, vol. 50, num. 1 est ouvert ! En prévision de la célébration des 50 ans de la Declaración de la Mesa de Santiago en 2022, ICOFOM Study Series vous invite à une réflexion située dans le musée, au sens large, avec une perspective portant sur le long terme. Cet appel à contribution provient du souhait de l’ICOFOM de présenter une réévaluation des points de vue sur les musées et sur la muséologie dans le monde, 50 ans après la Mesa Redonda.
Date limite des propositions : 12 novembre 2021
Email : icofomsymposium@gmail.com, avec pour objet “ICOFOM Study Series, vol. 50, num. 1”
Appel à résidence à la Villa Albertine
Le ministère de l’Europe et des Affaires étrangères, avec le soutien du ministère de la Culture, a lancé la Villa Albertine, nouvelle institution culturelle de la France aux Etats-Unis, qui accueillera entre novembre 2021 et décembre 2022 les premiers résidents de sa saison inaugurale.
Chaque année, la Villa Albertine accueillera 60 résidents, parmi lesquels des créateurs, penseurs et professionnels de la culture, pour des résidences d’exploration, ancrées dans les 10 principales villes du territoire américain (Atlanta, Boston, Chicago, Houston, La Nouvelle-Orléans, Los Angeles, Miami, New York, San Francisco et Washington DC) ou en itinérance en fonction des projets considérés. Ces résidences d'exploration ont vocation à multiplier les échanges avec l'écosystème culturel et créatif américain, plutôt qu'à produire une forme spécifique, notamment matérielle, comme y inviterait une résidence de production.
L'appel pour la deuxième saison de la Villa Albertine est ouvert jusqu'au 20 janvier 2022 et vise à sélectionner des projets de résidence qui se dérouleront dans le courant de l’année 2023, pour une durée comprise entre 1 et 3 mois. L’appel est ouvert à tout créateur, chercheur ou professionnel de la culture, issus d’un large champ de disciplines, qui associe à leur projet un partenaire français (institution publique ou privée). Toute structure publique ou privée peut être partenaire, le soutien apporté pouvant être de trois ordres selon les cas : aide à la conception du projet de résidence, promotion de la résidence, réalisation d'un volet post-résidence. Il n’est pas demandé aux partenaires de contribuer financièrement à la résidence.
Dans le champ spécifique des musées, du patrimoine et de l’histoire de l’art, les résidents peuvent être des directeurs d’institutions, des conservateurs, des historiens de l’art, des archéologues, des chercheurs, des professionnels de la médiation ou des questions éducatives etc. désireux de venir mener aux Etats-Unis une réflexion spécifique favorisant le dialogue franco-américain. Dans le cas de candidats appartenant déjà à une institution, celle-ci est alors le partenaire naturel de la future résidence.
Les institutions muséales et culturelles sont également invitées à soutenir en tant que partenaire les projets de penseurs ou créateurs (artistes visuels, cinéastes, écrivains, bédéistes, chorégraphes, musiciens, créateurs numériques, designers, etc.).
La Villa Albertine sera attentive tout au long du processus de sélection à la diversité des profils des candidats, que ce soit en termes de genres, d'horizons géographiques (pas de critère de nationalité), de disciplines et de parcours professionnels (la Villa accompagne des profils tant émergents qu’établis).
Pour toutes questions relatives à ces résidences, n’hésitez pas à contacter François Bridey, attaché « Musées et Patrimoine » (francois.bridey@villa-
Autour de Jacques Hainard
Profitant de la venue de Jacques Hainard à Paris, une journée d'étude est organisée par la Sorbonne nouvelle (Master musées et nouveaux médias et Chaire Unesco pour l'étude de la diversité muséale), le 3 décembre prochain, au Musée de l'Homme, afin d'évoquer l'influence en France et à l'étranger de la pensée du conservateur suisse, ancien directeur des musées d’Ethnographie de Neuchâtel et de Genève.
Au travers de témoignages de chercheurs et de professionnels de musées de plusieurs générations, cette rencontre souhaite en effet éclairer les manières dont les écrits et la pratique de Jacques Hainard, tout au long de sa carrière, ont pu nourrir et continuent d’influencer plusieurs générations de muséologues.
Inscription obligatoire : journeehainard@gmail.com
Programme
• 9h30 ----- Ouverture
- André Delpuech (conservateur général du patrimoine, Musée de l’homme)
- Juliette Raoul-Duval (Présidente d’ICOM France)
- François Mairesse (professeur à l’Université Sorbonne Nouvelle)
- Fabien Van Geert (maître de conférences à l’Université Sorbonne Nouvelle)
-----• 10h « Musées d’anthropologie et de société : le syndrome du politiquement correct », André Delpuech (conservateur général du patrimoine, Musée de l’homme)
-----• 10h30 « Troubles de voisinage » Philippe Mairot (conservateur en chef du patrimoine, chercheur à l’inventaire du patrimoine de Bourgogne-Franche-Comté)
-----• 11h15 ----- Pause
-----• 11h30 « Jacques Hainard and his Impact on Museology in the Spanish and English- speaking Worlds » Antony Shelton (Professor of Art History, Visual Art and Theory at the University of British Columbia)
----• 12h « L’humour selon Bach, Gell et Hainard » Mathieu Viau Courville (Université Fontys/OCIM)
-----• 12h30 ----- Repas
-----• 14h « Apprendre de Jacques Hainard sans Jacques Hainard » Audrey Doyen (Adjointe à la Déléguée générale d’ICOM France)
-----• 14h30 « Exposer c’est raconter une histoire, l’influence de Jacques Hainard sur la rénovation du Musée Savoisien » Marie-Anne Guérin (Conservatrice en chef - Directrice du Musée Savoisien) (en ligne)
-----• 15h Entretien avec Jacques Hainard
- Jean Guibal (conservateur en chef honoraire du patrimoine et ancien directeur du Musée dauphinois)
- Michel Côté (muséologue, ancien directeur du musée de la civilisation de Québec et du musée des confluences) (en ligne)
16h----- Pause
-----• 16h15 Entretien avec Jacques Hainard
- Octave Debary (professeur à l’Université de Paris)
- Olivier Schinz (conservateur adjoint au Musée d’ethnographie de Neuchâtel)