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ICETHICS (Comité International sur les Dilemmes Éthiques)

Comité International sur les Dilemmes Éthiques
Le Comité International de l’ICOM sur les Dilemmes Éthiques (IC Ethics) est un forum ouvert sur les défis pratiques concernant les dilemmes éthiques dans la profession muséale. IC Ethics est un espace où les professionnels des musées peuvent réfléchir, partager et discuter des dilemmes éthiques, les aidant à faire des choix plus éclairés. Il fait partie des 32 comités internationaux de l’ICOM. IC Ethics
- offre un canal de communication entre les membres de l’ICOM confrontés à des dilemmes éthiques similaires dans leur pratique quotidienne;
- partage les approches professionnelles des dilemmes éthiques;
- rassemble, en coopération avec tous les autres comités de l’ICOM, des expériences sur l’éthique muséale pour favoriser la diffusion des bonnes pratiques;
- fournit une contribution aux débats éthiques à travers différentes formes de diffusion des connaissances; et
- ne porte pas de jugement formel sur le bien ou le mal.
Président
Lina G. TAHAN
Secrétariat
Andrea C. Kieskamp
Prendre part à l'art et à la culture : Pratiques, théories et politiques de la médiation culturelle aujourd'hui
Le colloque international « Prendre part à l’art et à la culture. Pratiques, théories et politiques de la médiation culturelle aujourd’hui » (appel complet à télécharger ci-contre) s’intéresse à la question de la « participation » dans le champ culturel, aux facteurs de son évolution (notamment depuis les années 1970) et à la façon dont elle interroge le rôle de la médiation culturelle.
Les communications du colloque s’articuleront autour de trois axes principaux :
- Généalogie des pratiques de médiation participative (questionnant notamment le rôle de la médiation culturelle dans le tournant éducatif au sein des pratiques curatoriales)
- Médiation et droits culturels (interrogeant l’influence grandissante de la question des droits culturels sur la conception, l’interprétation et la réception du patrimoine artistique et culturel collectif)
- Enseigner la médiation culturelle aujourd’hui. Quelle place pour la discussion des enjeux actuels de la médiation dans la formation des médiateurs·rices ?
Ce colloque a pour objectif de poser l’ensemble de ces problématiques au prisme de la posture du·de la médiateur·rice, posture que l’on pourrait qualifier de paradoxale, au-delà même de la précarité de son statut dans le champ culturel. Dépositaire du lien entre des publics et une proposition artistique ou culturelle, sa parole n’est jamais tout à fait assimilée ni à celle des publics, ni à celle de l’artiste, ni même à celle de la structure qui l’emploie. Il·elle doit alors lutter sans cesse pour échapper au rôle dans lequel cette posture particulière menace de l’enfermer, celle de garant·e d’un ordre des choses qu’il·elle cherche précisément à abolir, participant à construire, depuis l’intérieur des murs de l’institution, une figure de l’extériorité, celle de publics jugés inadaptés à l’espace de la culture.
Le colloque aura lieu à Marseille, dans l’espace « Turbulence » d’Aix-Marseille Université et au Tiers QG de Manifesta 13, du 22 au 24 octobre 2020.
Les propositions de communication devront parvenir au plus tard le 20 mars 2020 à l’adresse suivante : mediation.
Passés difficiles, présents complexes et futurs incertains
Nous vivons une époque de changement où les certitudes du passé sont remises en question et où certains aspects de statu quo sont exposés et dénoncés, parce qu'ils renforcent l'exclusion politique, sociale et économique. Par ailleurs, la crise environnementale a favorisé la remise en cause des récits déjà affaiblis sur le progrès.
Des groupes autrefois réduits au silence ou marginalisés, tels que les personnes économiquement défavorisées, les défenseurs des droits des travailleurs, les militants pour le climat, les femmes, et les partisans de l'égalité LGBTQ, pour ne nommer que certains acteurs politiques émanant de la société civile, font maintenant entendre leur voix.
Le mécontentement général à l'égard du système politique et économique actuel a également conduit à l'émergence d'une rhétorique nationaliste, qui à son tour a conduit à la création de mouvements populistes d'extrême droite. Ce sont des temps difficiles, et des défis à relever.
Les musées, en tant qu'acteurs institutionnels ancrés dans un contexte social spécifique, ne peuvent pas échapper aux conflits qui les entourent. Les musées archéologiques et historiques répondent autant que tout autre type de musées, sinon plus, à leur environnement sociétal. En outre, ces musées ont la spécificité d'une perspective ouvertement diachronique : les enjeux actuels acquièrent des significations plus profondes lorsqu'elles sont liées aux processus historiques.
Au cours des dernières années, l'ICOM et ses membres ont réfléchi à ces questions difficiles. En 2017, le sujet pour la journée internationale des musées a été consacrée aux "Histoires contestées : dire l'indicible des musées", et cette année, ce sera "Musées pour l'égalité : Diversité et inclusion".
Cette année, la conférence annuelle de l'ICMAH entend contribuer à cette vaste réflexion
sur nos pratiques institutionnelles et professionnelles. À Bogota, nous avons l'intention d'examiner certaines de ces "questions difficiles" qui affectent la façon dont les sociétés et leur histoire sont représentées dans les musées, et la façon dont les musées interagissent avec leur environnement. Des passés difficiles, des présents complexes,
et des futurs incertains, leur interprétation et leur présentation dans les musées représente un vaste sujet. C'est pourquoi nous avons l'intention de procéder en proposant les questions suivantes :
- Comment les musées peuvent-ils se décoloniser et décoloniser leurs collections ?
- Comment les groupes marginalisés de la société peuvent-ils se voir accorder une voix dans les musées, d'une manière qui leur soit "profitable" ?
- Comment et pourquoi les musées représentent-ils la violence et les traumatismes dans leurs expositions ?
- Comment les musées peuvent-ils être des agents actifs dans leurs sociétés ?
Informations générales
La langue de la conférence est l'anglais.
La participation à la conférence annuelle de l'ICMAH est gratuite. Le voyage et les frais d'hébergement des participants ne peuvent être pris en charge par l'ICMAH.
Toutes les présentations seront publiées en ligne sur le site officiel de l'ICMAH.
Pour plus d'informations et de détails sur la conférence, veuillez consulter le site web de l'ICMAH
Proposition et acceptation des soumissions
Le calendrier d'envoi et d'enregistrement des propositions est :
- 31 mars 2020 - Date limite pour l'envoi des propositions
- 20 avril 2020 - Avis d'acceptation
Le temps des expositions. Héritages, programmation, publics
La FEMS organise la 18ème édition des Rencontres Professionnelles qui aura lieu à Arles du 06 au 09 avril, sur la thématique suivante : " Le temps des expositions. Héritages, programmation, publics ". Chaque année, les Rencontres constituent un moment d’échanges, de débats et de partages autour de nos pratiques professionnelles.
Elles sera accueillie par le Museon Arlaten & le Musée de la Camargue
Merci de bien consulter les conditions d'accès et les informations pratiques (lieux et transports) ci-dessous.
ATTENTION : Inscriptions exclusivement en ligne !
Vous avez jusqu'au mercredi 18 mars 2020 à 18h pour vous inscrire et faire votre pré-paiement en ligne sur Billetweb :
- Je m'inscris
- Je réserve mon ou mes repas
- Je choisis mon atelier et mes visites
- Je règle en ligne et je reçois ma facture dématérialisée à l'adresse email indiquée
Informations pratiques
INSCRIPTIONS
Inscription et prépaiement CB en ligne sur Billetweb
50€ / 2 jours
25€ / journée
Gratuité pour les adhérents et les étudiants
RESTAURATION / SOIREE
Sur inscription avec participation de 20€ / repas
Soirée conviviale au Patio de Camargue
Réservation obligatoire en ligne sur Billetweb
LIEUX ET TRANSPORTS
ATTENTION : Nous attirons votre attention sur les lieux où se déroulent les rencontres et plus précisément pour la 2ème journée qui se tiendra en dehors du centre d'Arles. Les possibilités pour s'y rendre sont limitées. La FEMS mettra en place des navettes pour les participants mais les horaires seront aussi réduits. Merci d'en tenir compte dans votre organisation (notamment dans le cas d'un départ depuis la gare d'Arles le vendredi - retour en centre-ville possible qu'après 17h).
Vous venez en voiture ? Pensez au covoiturage ! Rendez-vous sur le site TOGETZER pour proposer vos places libres ou réserver un trajet sur l'évènements RP FEMS 2022.
Réseaux de Transport Arles : Tout-envia
HEBERGEMENT
Hôtels conseillés :
- Hôtel Arles Plaza**** - Chambre + Ptdj à 99€
- Best Western Hôtel Atrium*** - Chambre + Ptdj à 89€
- Hôtel de l'Amphithéâtre *** - Chambre + Ptdj à 90€
- Hôtel Régence** - Chambre + Ptdj à 70€
- Hôtel Belvédère** - Chambre + Ptdj à 80€
Humanités, Création, Patrimoine
L’école universitaire de recherche Humanités, Création, Patrimoine accueillera à la rentrée 2020 les etudiant.e.s souhaitant s’engager dans un parcours doctoral de thèse par le projet.
L’école universitaire de recherche Humanités, Création et Patrimoine se propose d’affilier les UFRs en Sciences Humaines et Sociales de l’université de Cergy-Pontoise avec 4 écoles (Ecole Nationale d’Architecture de Versailles, Ecole Nationale Supérieure de Paysage de Versailles, Ecole Nationale Supérieure d’Art de Paris Cergy et Institut National du Patrimoine) avec le soutien de la Fondation des Sciences du Patrimoine, du Ministère de la Culture et de la Communication et du CNRS pour se positionner comme l’établissement de référence, au niveau master et doctorat, dans les domaines de la création et du patrimoine avec une méthodologie innovante de recherche par le projet (practice-led research) et un appui scientifique fort des humanités.
Le doctorat par le projet
Au niveau doctoral, l’EUR porte la création d’un practice-led PhD, sélectif, fortement internationalisé et ouvert, entre autres, aux architectes, artistes, paysagistes, restaurateurs, conservateurs ou écrivains. Une quinzaine de candidats sont sélectionnés chaque année et cinq contrats doctoraux attribués dans 5 mentions.
Les dossiers sont à déposer du lundi 23 mars 2020 à midi au jeudi 30 avril 2020 à midi sur la plateforme de candidature à l'adresse suivante :
Vous trouverez les documents relatifs à l'appel à candidature en suivant le lien ci-dessous :
Pour tous renseignements, écrire à doctoratparprojet@cyu.fr
Concours "Ma thèse d'histoire de l'art en 180 secondes"
Organisé par l'INHA et le château de Fontainebleau sous le patronat du Ministère de la Culture, le Festival de l'histoire de l'art se tiendra cette année les 5, 6 et 7 juin à Fontainebleau.
Rendez-vous incontournable des acteurs de l'histoire de l'art, le Festival dédié une attention particulière aux étudiants et doctorants en histoire de l'art. Cette année un volet spécifique de la programmation leur est dédié et propose des conférences, des ateliers-pratiques, des débats et des tables rondes mettant en avant la professionnalisation des étudiants et jeunes chercheurs en histoire de l'art.
Le concours "Ma thèse d'histoire de l'art en 180 secondes" et les Rencontres Internationales étudiantes (dont l'appel à participation sera ouvert sur le site du FHA le 1 mars 2020 ) complètent ce volet.
Concours "Ma thèse d’histoire de l'art en 180 secondes"
Initié en 2016, le concours « Ma thèse d’histoire de l’art en 180 secondes », donne l’occasion aux jeunes chercheurs de présenter leurs travaux de recherches devant un auditoire diversifié réunissant historiens de l’art, professionnels du patrimoine et grand public.
Il s’agit, pour les candidats sélectionnés, de parfaire leurs aptitudes en communication durant un moment convivial et riche d’émulation. Chaque candidat disposera de trois minutes (180 secondes) pour réaliser un exposé clair et concis de son projet de recherche. Les présentations réalisées par les candidats retenus devront convaincre deux jurys composés d’historiens de l’art et de professionnels.
Cet exercice permet aux étudiants de faire connaître leur recherche au cours d’une manifestation nationale favorisant les échanges et les rencontres entre jeunes chercheurs et professionnels confirmés.
A l’issue du concours, trois prix seront attribués aux trois meilleurs orateurs.
Prix remis aux vainqueurs
Premier prix : 1 000 € Deuxième prix : 500€ Troisième prix : 500 €
Critères d’admissibilité
Le concours est ouvert à tous les étudiants en histoire de l’art, conservation, restauration, études cinématographiques, école d’art et archéologie, à la condition d’être au minimum inscrit en doctorat.
Prise en charge
Les frais de transport et d’hébergement des participants hors région parisienne seront pris en charge sur présentation de justificatifs.
Candidature (formulaire en ligne ici : http://
Les propositions de candidature doivent comprendre un résumé de dix à quinze lignes de la recherche présentée ainsi qu’un curriculum vitae et une demande de prise en charge des frais de transports et d’hébergement si nécessaire pour les étudiants résidant en dehors de l’ Île-de-France (jusqu’à 150 €).
Date limite de candidature : 15 mars 2020 inclus.
Les projets incomplets ne seront pas soumis au comité scientifique.
Questionnaire du MuCEM sur les expositions collaboratives
Le Mucem expérimente de nouvelles formes de création d’expositions. Depuis deux ans, le musée s'attelle à des projets collaboratifs. Au fur et à mesure de l’avancée de ces projets, nous nous rendons compte que nous manquons d’exemples concrets sur lesquels nous appuyer, exemples que nous ne trouvons pas forcément dans la littérature spécialisée, notamment pour les musées français.
Nous sollicitons donc votre aide et expertise. Pourriez-vous avoir l’amabilité de répondre au questionnaire en ligne ?
Voilà le lien pour y accéder :
Le questionnaire sera clôturé le 31 mars 2020.
Dans le cadre de cette étude, nous entendons par « communautés », des collectifs composés de personnes issues de la société civile et concernées à différents titres par les sujets qui intéressent les musées (nous parlons aussi de "communautés-sources"). Nous pensons également la collaboration comme une construction collective de tout ou partie de l’exposition et des projets associés (communication, programmation évènementielle, médiation, etc).
La collaboration s’étend de la consultation au co-commissariat.
Vous pouvez également faire parvenir ce questionnaire à vos contacts susceptibles d’y répondre ou nous indiquer leurs coordonnées.
Vous remerciant par avance de l’attention que vous voudrez bien accorder à cette requête.
Julia FERLONI, Conservateur du patrimoine, Responsable du pôle “Artisanat, commerce et industrie”, Mucem
Florent MOLLE, Conservateur du patrimoine, Responsable du pôle “sport & santé", Mucem
Alina Dafne MAGGIORE, doctorante, Institut d’ethnologie méditerranéenne, européenne et comparative (Université d’Aix-Marseille, France) et Institute for Cultural Anthropology and European Ethnology (Albert-Ludwigs-Universität Freiburg, Allemagne)
De quelle définition les musées ont-ils besoin ?
PROPOS
L' Assemblée générale extraordinaire du Conseil international des musées (ICOM) décidait le 7 septembre dernier à Kyoto de reporter son vote sur la "nouvelle définition du musée", laquelle avait suscité d'intenses débats dont la presse internationale a largement rendu compte.
En quelques mots, inspirés par une vision assez critique des musées du 20ème siècle - notamment occidentaux - la « nouvelle » définition proposait de déplacer le centre de gravité des musées : d’institutions conservant des collections et dédiées à la transmission aux publics de leur patrimoine artistique, historique, scientifique, naturel, le musée devenait lieu polyvalent, au service des droits humains dans leur ensemble. Une proposition en rupture avec la définition qui figurait jusque-là dans les statuts de l’ICOM et les textes réglementaires de nombreux pays membres, prenant ses distances avec l’ancrage professionnel de l’organisation, et qui a provoqué un report de discussion. Une grande majorité des membres a mesuré qu’au-delà des mots qu’ils découvraient, c’était leur vision commune des musées de demain, de leurs missions, de leur déontologie propre qui se trouvait mise en question.
Parmi les 4000 représentants des comités nationaux et internationaux de l’ICOM présents, sur les 44 000 que compte l’organisation dans 135 pays, nombreux sont repartis avec un sentiment d’urgence à redéfinir, non pas tant le mot « musée », que ce qui lie les musées entre eux et leurs perspectives d’avenir partagé : la « définition » est un outil opérationnel, non une parabole ; comme outil, elle doit être simple et consensuelle, et évidemment exempte de malentendus, de termes flous ou de lacunes.
Parvenir à définir ce qui rapproche les musées dans un projet commun est un autre enjeu, décisif pour une organisation mondiale qui les représente :
- Qu’est-ce qui fait la singularité d’un musée aujourd’hui et le distingue d’autres lieux « polyphoniques et inclusifs », comme il s’en crée chaque jour dans toutes les régions du monde (centres culturels, salles de spectacle…) ?
- En quoi les « collections » et le travail spécifique qu’elles requièrent sont-elles précisément ce qui fait le sens des musées et la force du lien social qu’ils suscitent ?
- Quelles nouvelles compétences et qualifications fondent aujourd’hui l’excellence professionnelle garante de la confiance que les publics accordent aux musées, pour transmettre leur histoire ?
- Quelle actualisation du code de déontologie, culture commune des professionnels de musée, est rendue nécessaire par ces changements à l’œuvre ?
Depuis Kyoto, ces questions ont pris place, parfois intensément, au sein des nombreux comités de l’ICOM et même au-delà, avec d’autres organisations professionnelles de musées et entre acteurs culturels, journalistes, associations, responsables publics… C’est le fruit de ces travaux qu’ICOM France se propose de recueillir, en mars, à Paris. Bien sûr, il s’exprimera des convictions et des propositions différentes voire divergentes. Parmi les 135 pays membres de l’ICOM, que de modèles culturels différents ! Il ne s’agit pas de vouloir harmoniser. Il s’agit d’avancer dans une même direction et de porter des valeurs qui rassemblent. C’est cela qui fait l’unité de l’ICOM depuis plus de 70 ans et permet aux professionnels, quelle que soit leur position dans leur organisation et la position de leur organisation dans leur pays, de dialoguer et d’exercer leur métier.
La journée de travail s'est consacrée à donner la parole aux représentants des comités nationaux et internationaux et des alliances qui ont animé des discussions avec leurs membres depuis six mois : positions exprimées, attentes et propositions pour la suite. Des tables rondes ont permis de comparer les approches et de relancer la démarche prospective.
INTERVENTIONS
Ouvertures officielles
Bruno David président du Muséum national d’histoire naturelle
Regina Schulz présidente du Conseil consultatif de l’ICOM
Présentation de la journée et de ses objectifs
Juliette Raoul-Duval présidente d’ICOM France
Introduction
François Mairesse professeur à l’université Sorbonne Nouvelle
Présentation des comités
Modération : Marie-Laure Estignard, directrice du musée des Arts et Métiers
Rapport de Florence Le Corre, conservatrice du patrimoine
Introduction juridique
Marie Cornu, Juriste et directrice de recherche au CNRS / ou son représentant
Introduction lexicale
Jean-Louis Chiss, Professeur à l’université Sorbonne Nouvelle
Table ronde 1 : A quoi sert une définition du musée par l'ICOM ?
Modération : Emilie Girard, vice-présidente d'ICOM France
Présentation des résultats de l’enquête ICOFOM
Marion Bertin, secrétaire d’ICOFOM
Table ronde 2 : Comment élaborer une vision commune - qu'est-ce qui nous unit ?
Modération : Emilie Girard, vice-présidente d'ICOM France
Conclusions
Juliette Raoul-Duval, ICOM France
Recommandations
ICOM France, ICOM Allemagne, ICOM Europe & ICOFOM
ANNEXES
Documents de la matinée
Tableau récapitulatif des interventions
ICOM Allemagne, ICOM Autriche, ICOM Azerbaïdjan, ICOM Bangladesh, ICOM Belgique, ICOM Burkina Faso, ICOM Croatie, ICOM Equateur, ICOM Espagne, ICOM Estonie, ICOM France, ICOM Géorgie, ICOM Grèce, ICOM Irlande, ICOM Israël, ICOM Italie, ICOM Lettonie, ICOM Luxembourg, ICOM Pays-Bas, ICOM Pologne, ICOM Portugal, ICOM Slovaquie, ICOM Suisse, ICOM Turquie, ICOM Ukraine, AVICOM, CECA, CIDOC, CIMCIM, CIMUSET, COSTUME, DEMHIST, GLASS, ICFA, ICMAH, ICMEMO, ICOFOM, ICR, INTERCOM, MPR.
Documents de l'après-midi
Table-ronde 1 - À quoi sert une définition des musées pour / par l’ICOM ?
Modération : Emilie Girard, directrice scientifique et des collections du MuCEM - Vice-présidente d'ICOM France
Rapporteur : Céline Chanas, présidente de la FEMS
Intervenants : Daniele Jalla (ICOM Italie) ; Ech-Cherki Dahmali (ICOM Maroc / ICOM Arabe) par Skype ; Arja van Veldhuizen (ICOM Pays-Bas) ; Marie-Clarté O’Neill (CECA) ; Philippe Büttner (ICOM Suisse) ; Markus Walz (ICOM Allemagne)
Modération : Alberto Garlandini, vice-président d’ICOM international (par vidéo) et Emilie Girard, directrice scientifique et des collections du MuCEM - Vice-présidente d'ICOM France
Intervenants : Burçak Madran (ICMAH) ; Chedlia Annabi (ICOM Tunisie) par Skype ; Koré Escobar Zamora (ICOM Espagne) ; Alexandre Chevalier (ICOM Belgique) ; Elke Kellner (ICOM Autriche) par Skype
Synthèse des présentations de la Journée des comités par Markus Walz
What definition do museums need ?
TOPIC
The Extraordinary General Assembly of the International Council of Museums (ICOM) hold in Kyoto on September 7 decided to postpone its vote around the "new definition of the museum”, which had led to intense debates that were widely reported in the international press.
To be described in a few words and inspired by a rather critical vision of some 20th century museums - especially Western ones - the "new" definition proposed to shift the centre of gravity of museums: from institutions conserving collections and dedicated to the transmission to the public of their artistic, historical, scientific and natural heritage, the museum became a multi-purpose institution, serving human rights as a whole. A proposal breaking away from the definition that had hitherto appeared in ICOM's statutes as well as the regulatory texts of many member countries, distancing itself from the professional anchoring of the organization, and which caused a postponement of discussion.
A large majority of the members realized that beyond the words they were discovering, it was their common vision of the museums of tomorrow, their missions and their own ethics that were being called into question.
Among the 4,000 present representatives of ICOM's national and international committees out of the 44,000 that the organization has in 135 countries, many left with a sense of urgency to redefine, not so much the word "museum", but what links museums together and their perspectives for a shared future: "definition" is an operational tool, not a parable; as a tool, it must be simple and consensual, and obviously free of misunderstandings, unclear terms or gaps. Managing to define what brings museums together in a common project is another challenge, a decisive one for a world organization that represents them: what makes a museum singular today and distinguishes it from other "polyphonic and inclusive" places, such as those being created every day in all regions of the world (cultural centres, performance halls, etc.)? In what way the "collections" and the specific work they require, are precisely what makes the meaning of museums and the strength of the social bond they create? What new skills and qualifications are today the basis for professional excellence that guarantees the public's trust in museums to transmit their history? What updating of the code of ethics, the common culture of museum professionals, is made necessary by these changes at work?
Since Kyoto, these questions have taken place, sometimes intensely, within the many committees of ICOM and even beyond, with other professional museum organizations and among cultural actors, journalists, associations, public officials...
It is the fruit of this work that ICOM France intends to collect, in March, in Paris. Of course, it will express different and even divergent convictions and proposals. Among the 135 member countries of ICOM, there are so many different cultural models! It is not about trying to harmonize. It is about moving in the same direction and carrying values that bring people together. This is what has united ICOM for over 70 years, and allows professionals, whatever their position in their organization and the position of their organization in their country, to dialogue and to practice their profession.
The working day was devoted to giving the floor to the representatives of the national and international committees and the alliances who have led discussions with their members over the past six months: expressed positions, expectations and proposals for the future. Round tables compared the approaches and restart the prospective approach.
PAPERS
Official Openings
Bruno David, Chair, Musée national d’histoire naturelle
Regine Schulz, Chair, Advisory Council of ICOM
Presentation of the meeting and its objectives
Juliette Raoul-Duval, Chair, ICOM France
Introduction: Definitions and missions of museums
François Mairesse, Professor, Université Sorbonne Nouvelle
Committees' presentations
Chaired by Marie-Laure Estignard, Director, musée des Arts et Métiers
Synthesis by Florence Le Corre, conservator
Thinking of the museum as a legal category
Marie Cornu, Jurist and Research Director, CNRS / or her representative
Some linguistic remarks on the definition of "museum"
Jean-Louis Chiss, Professor, Université Sorbonne Nouvelle
Round table : What is the purpose of a Museum definition for/by ICOM ?
Chaired by Emilie Girard, Vice-president of ICOM France
Results of the ICOFOM survey
Marion Bertin, ICOFOM Secretary
Round table : How to develop a shared vision : What unites us? Role of Code of Ethics
Chaired by Emilie Girard, Vice-president of ICOM France
Closing
Juliette Raoul-Duval, ICOM France
Recommendations
ICOM France, ICOM Germany, ICOM Europe & ICOFOM
APPENDICES
Morning documents
Synotical table
ICOM Germany, ICOM Austria, ICOM Azerbaïdjan, ICOM Bangladesh, ICOM Belgium, ICOM Burkina Faso, ICOM Croatia, ICOM Equateur, ICOM Spain, ICOM Estonia, ICOM France, ICOM Georgia, ICOM Greece, ICOM Ireland, ICOM Israel, ICOM Italy, ICOM Latvia, ICOM Luxembourg, ICOM Netherlands, ICOM Poland, ICOM Portugal, ICOM Slovakia, ICOM Switzerland, ICOM Turkey, ICOM Ukraine, AVICOM, CECA, CIDOC, CIMUSET, CIMCIM, COSTUME, DEMHIST, GLASS, ICMAH, ICMEMO, ICOFOM, ICR, INTERCOM, MPR.
Afternoon documents
Roundtable 1 - What is the purpose of a museum definition for / by ICOM?
Chaired by Emilie Girard, Scientific Director, head of collections, MuCEM - Vice-president of ICOM France
Rapporteur : Céline Chanas, Chair, FEMS
Participants: Daniele Jalla (ICOM Italy) ; Ech-Cherki Dahmali (ICOM Marocco / ICOM Arab) via Skype ; Arja van Veldhuizen (ICOM Netherlands) ; Marie-Clarté O’Neill (CECA) ; Philippe Büttner (ICOM Switzerland) ; Markus Walz (ICOM Germany)
Roundtable 2 - How to develop a common vision: what unites us? The place of the Code of Ethics…
Chaired by Alberto Garlandini, Vice-president, ICOM International (via video and Skype) & Emilie Girard, Scientific Director, head of collections, MuCEM - Vice-president of ICOM France
Participants: Burçak Madran (ICMAH) ; Chedlia Annabi (ICOM Tunisie) via Skype ; Koré Escobar Zamora (ICOM Spain) ; Alexandre Chevalier (ICOM Belgium) ; Elke Kellner (ICOM Austria) via Skype
Synthesis of the presentations of the Committees' day by Markus Walz
COVID-19
Comme vous le savez certainement, le virus Covid-19 continue de se propager et le nombre de pays touchés, de cas et de décès associés augmente. Au cours des prochaines semaines, ces chiffres continueront très probablement à augmenter.
Hier, l'Organisation mondiale de la santé a déclaré que l'épidémie est désormais une pandémie: https://www.who.int/fr/dg/speeches/detail/who-director-general-s-opening-remarks-at-the-media-briefing-on-covid-19---11-march-2020
Les membres de l'ICOM étant répartis dans le monde entier, veuillez consulter les conseils et les directives de vos propres autorités nationales concernant les mesures de confinement et les voyages, et vous conformer à ces recommandations. Les ministères et autorités de santé nationaux ou régionaux ont publié des conseils sur les mesures d'endiguement sur leurs sites web, et les ministères des affaires étrangères disposent d'informations détaillées sur les restrictions de voyage actuelles.
Si vous organisez une conférence, un séminaire ou un atelier dans les prochaines semaines, veuillez tenir compte à la fois des réglementations du pays où l'événement est prévu et de celles des pays d'où viennent les participants, car des restrictions de voyage peuvent s'appliquer, les conseils et les directives diffèrent d'un pays à l'autre et la situation évolue rapidement. Par exemple, les États-Unis ont annoncé aujourd'hui une interdiction générale d'entrée aux États-Unis pour les résidents européens et l'Allemagne a classé hier l'Est de la France comme zone à risque.
Si vous organisez une conférence, un séminaire ou un atelier dans les prochaines semaines dans un pays où le virus circule activement, veuillez travailler avec les partenaires locaux et vérifier s'il est possible de reporter ou d'annuler l'événement. Il est possible d'invoquer la "force majeure", mais les options juridiques à cet égard peuvent varier d'un pays à l'autre.
L'UNESCO a reporté ou annulé toutes les réunions du mois de mars avec plus de 50 participants internationaux (y compris les orateurs et les panélistes). L'ICCROM a reporté ou annulé la plupart des événements prévus en mars et avril 2020. L'ICOM, l'ICOM Chine et le Musée du Palais de Pékin ont reporté le cours de printemps au Centre international de formation de l'ICOM, qui était prévu pour avril.
Veuillez garder à l'esprit qu'en tant qu'organisateurs, vous êtes responsables de la santé et de la sécurité des participants. Nous vous recommandons de fixer une date limite pour observer les développements et de décider ensuite avant cette date si l'événement doit avoir lieu ou doit être annulé.
Si vous prévoyez un événement pour plus tard dans l'année, veuillez suivre attentivement l'évolution de la situation sanitaire, communiquer régulièrement avec vos partenaires et tenir les membres du comité et les participants potentiels informés. Si vous prévoyez des réunions du comité ou des groupes de travail, veuillez essayer de les organiser par vidéoconférence ou en utilisant d'autres solutions numériques, afin de réduire les risques mais néanmoins de permettre aux membres du monde entier d'y participer.
Veuillez tenir le secrétariat général de l'ICOM informé des activités et des événements que vous reportez ou annulez, afin que nous puissions en informer le réseau élargi.
Vous pouvez envoyer ces informations à l'adresse suivant :
L'ICOM est le seul réseau mondial de musées et de professionnels des musées ; et en tant que tel, nous devons et nous allons maintenir les échanges professionnels internationaux, malgré les défis auxquels nous sommes actuellement confrontés.
Dr. Peter KELLER
Directeur général │ Directeur général │Director Général
ICOM - Conseil international des musées