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Le prix 2020 "Bonnes Pratiques"
Le prix "Bonnes pratiques" a été initialement organisé par le CECA, comité international pour l'éducation et l'action culturelle, pour les raisons suivantes .
- Établir un langage commun entre les membres du CECA dans le monde entier afin qu’ils puissent plus facilement partager leurs expériences;
- Lancer un mouvement partant de la base, au niveau international, encourageant ainsi de larges discussions autour du document afin de l’améliorer progressivement ;
- Favoriser la comparaison des programmes organisés dans le monde entier, afin que les membres du CECA puissent plus facilement intégrer les idées exogènes dans leur propre travail ;
- Discuter, au cours de la conférence annuelle, des programmes conçus et mis en œuvre selon les principes communs établis par le document sur les pratiques exemplaires.
- Diffuser les programmes présentés par les membres du CECA dans l’ensemble de la communauté muséale de façon à ce qu’ils puissent inspirer tous les professionnels du domaine.
Cette année 2020, les cinq meilleurs programmes recevront à nouveau ce prix, selon les critères présentés ci-dessous. Les lauréats se verront offrir la possibilité de participer à la conférence annuelle CECA en 2020 (Louvain, Belgique, 12-18 octobre 2020). Leurs frais d’inscription et une contribution de 400,00 euros pour leur hébergement seront pris en charge par le CECA. (Veuillez noter que les frais de transport ne seront pas couverts). Comme dans les éditions précédentes, ces cinq programmes seront publiés. Mais il y aura aussi d’autres programmes de haute qualité qui pourront être inclus dans le livre “Best Practice 9, A tool to improve museum education internationally”.
Critères
Caractéristiques du projet présenté |
Note attribuée |
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Conformité avec le document Best Practice |
Max 100
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TOTAL |
Max.100 |
Award Guideline
Anglais / Français / Espagnol
Award Application Form
Anglais / Français / Espagnol
Guide de participation au prix
Le prix est destiné exclusivement aux membres du CECA (à l’exception des membres du Bureau) et représente un avantage supplémentaire pour les membres du Comité. Pour confirmer leur adhésion au CECA, soit à titre personnel, soit par l’intermédiaire de leur institution (membre institutionnel ICOM/CECA), chaque candidat doit joindre à sa candidature :
- Une photocopie numérique de sa carte ICOM avec le timbre 2020
- Le reçu numérisé du paiement de ses droits
Pour participer, les membres doivent remplir un formulaire de demande conformément à la procédure de demande. Le formulaire doit être rempli électroniquement et envoyé exclusivement à Cinzia Angelini Secrétaire du Prix des meilleures pratiques : cinzia.angelini[at]uniroma3.it au plus tard le 27 avril 2020.
Les demandes tardives ne seront pas acceptées, pas plus que les demandes qui ne répondent pas aux critères décrits ci-dessus.
Un jury international, présidé par Marie-Clarté O’Neill, présidente du CECA et composé de lauréats du Prix des meilleures pratiques et de spécialistes reconnus dans le domaine de l’éducation muséale et de l’action culturelle, évaluera les projets soumis. Tous les projets feront l’objet d’une double évaluation.
Le tableau suivant présente l’ensemble du calendrier :
Envoi du formulaire de demande par les membres
Au plus tard le 27 avril 2020
Le jury international se réunit à Paris et évalue les programmes.
26-28 mai 2020
Le jury international publie le résultat du concours
Le 29 mai 2020
Les membres sélectionnés envoient les articles
Le 15 juin 2020
Les gagnants envoient des photocopies de leurs billets d’avion
1er juillet 2020
Le prix 2020 Colette Dufresne-Tassé
En 2015, le CECA - comité international de l'ICOM pour l'éducation et l'action culturelle - a créé le Prix Colette Dufresne-Tassé.
Ce prix vise à stimuler la recherche parmi ses membres, à accélérer le développement de l’action éducative et culturelle et à améliorer ainsi la capacité des musées à servir leurs publics.
Comment postuler pour le prix Colette Dufresne-Tassé ?
Les soumissions doivent être soumises avant la conférence (voir les exigences ci-dessous). Le prix est décerné à l’auteur du meilleur article de recherche empirique. Le lauréat présente son article à la conférence internationale annuelle de la CECA. Ce prix comprend également 400 euros pour couvrir les frais d’hébergement du gagnant, ainsi que les frais d’inscription à la conférence. Ces fonds ne peuvent être utilisés pour couvrir les frais de transport. De plus, le texte du lauréat est publié dans la revue ICOM Éducation et sur le site Web du CECA.
Caractéristiques du texte soumis
Rédigé en anglais, français ou espagnol, le texte doit comprendre :
- L’observation ou le problème qui a mené à la recherche ;
- Enquêtes et théories déjà publiées sur le sujet faisant l’objet de l’enquête ;
- Les questions ou hypothèses qui ont guidé la collecte de l’information ; l’échantillon (ou la population) utilisé, sa présentation et sa justification (pourquoi nous l’avons choisi) ;
- Instruments, leur description et leur justification ;
- Comment analyser l’information obtenue ;
- Les résultats, leur description, leur signification et leur contribution à l’éducation muséale, à l’action culturelle ou à la muséologie ;
- Suggestions de nouvelles pistes de recherche ;
- La liste complète des livres ou articles cités (voir les normes de l’APA) ;
- Texte de 35 000 à 70 000 caractères (espaces compris).
Évaluation
Le texte est évalué par un comité de trois membres (nommés par le conseil d’administration de la CECA) selon les critères suivants :
- La rigueur de la recherche ;
- C’est une contribution à l’éducation muséale ou à l’action culturelle.
Conditions de participation
- Être membre du CECA à titre personnel ou institutionnel et avoir payé les frais d’inscription l’année de la demande ;
- Avoir mené l’enquête pour sa propre institution ou pour un groupe d’institutions, y compris la sienne ;
- L’avoir fait vous-même, ce qui n’exclut pas la collaboration de collègues ou d’étudiants (si oui, ils sont considérés comme co-auteurs et nommés comme tels, mais les 400 euros et les frais de sont seulement payés au membre qui a soumis la nomination ou, à défaut, à un membre de son équipe, dont le nom est soumis à CECA avant la conférence internationale annuelle) ;
- La recherche doit être originale et non déjà publiée.
Note : Les membres du conseil d’administration du CECA ne peuvent être candidats.
Étapes
- Soumettre une proposition d’article de recherche tel qu’indiqué sur le site Web de la conférence internationale du CECA et préciser que vous postulez pour le prix ;
- Envoyez un texte de 35 000 à 70 000 caractères (espaces compris) au secrétaire de la CECA au plus tard le 1er avril 2020 ;
- Un mois après avoir été informé de l’attribution du prix, envoyez une photocopie d’un billet (billet d’avion, de train ou d’autobus) au secrétaire du CECA.
Note : Les propositions et les textes qui ne suivent pas la procédure décrite, par exemple ceux qui sont soumis tardivement, ne sont pas pris en considération.
Tous les candidats dont les communications seront acceptées, que vous ayez gagné ou non le prix, feront une présentation orale (20 minutes) de leurs travaux de recherche lors de la conférence internationale de la CECA.
Liste des rapports gagnants :
- 2016: Hervás Avilés, Rosa María; Sánchez Lázaro, Antonia María; Castejón Ibáñez, Magdalena, Universidad de Murcia, ”El museo como espacio de desarrollo local. Una experiencia de participación ciudadana.”
- 2017: Pas de candidats ni de gagnants
- 2018: Pas de candidats ni de gagnants
- 2019: Rubiales García Jurado, Ricardo,”Más allá de tus ojos, una posibilidad para la metacognición, el diseño museográfico y el trabajo colaborativo.“
"La transformation des politiques de collecte dans les musées"
Les Bureaux d'ICME, INTERCOM et ICOM Azerbaïdjan sont heureux d'annoncer l'appel à communication pour la conférence conjointe qui se tiendra au Musée national du tapis d'Azerbaïdjan (le plus ancien et le plus grand musée du tapis au monde) à Bakou du 14 au 16 octobre 2020.
Nous vivons dans un monde complexe, confus et en rapide évolution. Les musées sont des institutions culturelles et sociales très importantes et doivent répondre à ces changements et les refléter. Les musées ont la responsabilité de sensibiliser leurs visiteurs, et la société en général, aux débats actuels par leurs actions, leurs expositions, leurs événements et leur activisme. Les défis de la décolonisation des musées, de l'engagement dans l'ethno-tourisme et de la mise en place d'un leadership permettant aux musées d'aborder des questions contemporaines importantes seront les thèmes centraux de cette conférence.
Les principaux objectifs de la conférence sont les suivants :
- Ouvrir un dialogue entre les chercheurs des musées ethnographiques et autres, et offrir une plate-forme pour la présentation et la discussion des recherches récentes ;
- Mettre en évidence l'importance des concepts de décolonisation des musées, de gestion et de direction de l'ethno-tourisme et de gestion des musées pour notre époque ;
- Faciliter un dialogue global sur ces thèmes en réunissant les professionnels des musées du monde entier ;
- S'engager de manière critique dans les théories et les méthodologies existantes et fournir une plateforme pour la présentation de nouvelles recherches et initiatives qui nous aideront à aborder ces questions fondamentales et les façons dont nous pourrions transformer le concept de "collection" qui a défini les musées pendant des décennies.
Participation
Etudiants de troisième cycle, doctorants, universitaires et professionnels des musées du monde entier sont invités à soumettre leurs propositions de contributions, qui porteront sur l'un des trois thèmes :
- Décolonisation des musées
- Gestion et direction de l'ethno-tourisme
- Gestion des musées
Soumettre une proposition
Les présentations peuvent être faites sous deux formes :
- Présentation papier /Power point (15 minutes)
- Présentation flash (20 diapositives en 8 minutes)
Les propositions doivent comporter les informations suivantes en anglais :
- Comité international, Nombre de membres de l'ICOM
- Quel est le thème du programme auquel vous postulez et la forme préférée (papier / présentation Power point ou présentation flash)
- Titre de la présentation soumise
- Résumé (ne pas dépasser 300 mots)
- Nom(s) de l'auteur (des auteurs)
- Affiliation(s), adresse(s) complète(s) et adresse électronique
- Matériel de soutien nécessaire
Toutes les soumissions doivent inclure une biographie de 100 mots avec une photo de chaque présentateur.
Veuillez envoyer les propositions dès que possible sous forme de pièce jointe au format Word à l'adresse électronique suivante : icom.azerbaijan.secretariat[a]gmail.com avec la référence objet "Proposition ICME & INTERCOM (votre nom)".
Les propositions seront évaluées par le Comité conjoint de la conférence de l'ICOM Azerbaïdjan, de l'ICME et d'INTERCOM
Edito - saison 2020

Chers membres,
L’ année qui s'achève a été très dense et vous y avez largement contribué : 6 soirées-débat, toutes mises en lignes ; une journée entière consacrée aux donations ; 8 publications ; de nombreuses interventions dans des colloques, un site actualisé en continu avec les informations que vous nous communiquez, une lettre périodique etc...
L’ année 2019 était aussi une année d’élection à ICOM France.
L' équipe renouvelée est plus que jamais déterminée à poursuivre la dynamique engagée pour rester l'organisation de tous les professionnels de tous les musées. Pour cela, nous avons besoin de votre implication à tous dans notre réseau.
L’ année 2019 fut également celle d’un coup de théâtre au sein de notre organisation internationale : à Kyoto, la présentation d’une « nouvelle définition du musée », dans laquelle de nombreux musées ne se reconnaissaient pas et ne reconnaissaient pas leur organisation ICOM, a suscité de multiples réactions des membres mais aussi de toute la communauté des musées, des acteurs culturels et de la presse. Pendant l’assemblée générale au Japon, une large majorité s’est dégagée pour reporter le vote de cette proposition et se donner le temps de retravailler. ICOM France y a pris une part très active - et de l’avis général décisive - et cela désormais nous oblige. Depuis, les échanges se sont poursuivis, jour après jour, avec d’autres comités nationaux et internationaux de l’ICOM.
En mars prochain, à Paris, nous accueillerons ces comités pour rapprocher nos réflexions. La présidente et le conseil d’administration d’ICOM international, ainsi que la présidente du groupe de travail qui a produit la « définition », sont naturellement conviés. Il s’agit de contribuer à dégager de manière constructive une vision partagée et de forger un nouveau consensus entre membres, sur ce qui définit un musée. Cette rencontre à Paris est une étape, il y en aura dans d’autres pays : la dynamique est internationale. Bien sûr, nous rendrons compte des travaux sur ce site. Nous vous le devons : nombre d’entre vous se sont mobilisés et sont désireux aujourd’hui d’en débattre. En particulier, avec les associations professionnelles membres du conseil d’administration d’ICOM France telles que l’AGCCPF, la FEMS, la FFCR …, le dialogue est installé et fructueux.
Le 29 avril, nous proposerons donc une rencontre publique sur ce thème de la définition. Ce sera notre 7ème soirée-débat déontologie avec l’INP, avec qui nous sommes désormais liés par une convention. Le moment est propice, à mi-chemin entre la journée de travail des comités et la prochaine assemblée générale annuelle de l’ICOM en juin à l’UNESCO, que nous aborderons nourris ainsi de vos questions. A cette date, le calendrier des étapes suivantes sera visible. Le groupe de travail international « Définition, projet et prospective » a été relancé il y a quelques jours, la présidente de l’ICOM, m’a invitée à y participer - ce n’était pas le cas du groupe précédent. J’ai exprimé d’emblée, avec Emilie Girard, notre vice-présidente, la requête d’avoir du temps et de la sérénité pour travailler - après tout, il n’y a pas d’urgence à actualiser une définition qui ne lèse personne - et la nécessité que le groupe s'attache non seulement aux mots d'une définition mais aussi à formuler des valeurs partagées. L' ICOM est devenu en 70 ans une ONG plus influente mais aussi plus hétérogène : 45 000 membres dans 135 pays. Forcément, tous n’ont pas la même structuration, les mêmes enjeux, les mêmes demandes. Avoir des attentes différentes ne veut pas dire diverger. Il est donc important de re-trouver ce qui nous unit aujourd’hui : c’est le défi de cette mandature. De ce point de vue, le « code de déontologie » me semble l'outil de notre culture commune. Traduit dans 37 langues, il s'adresse à chacun et permet à tous de s'appuyer sur des règles et des principes élaborés collectivement dans l'intérêt général. Cela donne du poids aux professionnels dans leur institution et aux institutions dans leurs territoires.
En 2020, encore, nous vous proposerons de nombreux temps d’échange, comme nous l’avons fait au cours des trois dernières années. Trois soirées débats-déontologie sont d'ores et déjà prévues avec l’INP, la journée professionnelle annuelle aura lieu les 25 et 26 septembre à Strasbourg, et ces rencontres sont ouvertes à tous, filmées pour que les absents les retrouvent sur internet, publiées dans notre collection ICOM France, sur le site et sur papier. Vous êtes de plus en plus nombreux à les suivre.
Autre action prioritaire en 2020, venir en appui de nos membres dans leurs comités internationaux. 2500 membres français sont aujourd’hui membres de l’un des 31 comités internationaux d’ICOM (c’est la plus forte représentation nationale) et 11 sont élus d’un board. C'est une progression remarquable. Nous l'avions souhaitée, encouragée, avions sensibilisé les présidents des institutions à l'intérêt que leurs personnels participent à des comités internationaux. Les résultats sont là. Nous allons mettre en place des outils de communication entre ces membres pour permettre l'échange de bonnes pratiques. Rappelons qu’ICOM France peut aider les membres qui participent aux réunions annuelles de leur comité et apporter une contribution aux conférences des comités qui se tiennent en France.
J’évoque encore pour cette année notre action en faveur de la francophonie après l’initiative que nous avons lancée à Kyoto pour la constitution d’un réseau des musées francophones. 40 membres de pays francophones ont répondu à notre appel dès septembre et continuent de répondre.
Enfin, au cours de l'année, nous mènerons auprès de vous une enquête pour mieux vous connaître. Quels métiers nos membres exercent-ils, dans quelle région, au sein de quels type d’établissements, sous quel statut… ? Nous avons de plus en plus de demandes d’adhésion, alors même que nos critères pour adhérer sont toujours aussi rigoureux, c'est un signe de vitalité. Nous allons nous rapprocher d'autres comités nationaux pour harmoniser nos critères. Cela nous permettra de mieux encore saisir la réalité de la vie des musées aujourd’hui.
Je vous souhaite de nombreux beaux projets dans vos musées.
Bien cordialement
Juliette Raoul-Duval
Présidente d'ICOM France
Les musées, des projets à réinventer ?
Les musées sont des lieux qui évoluent avec le temps ; ils se modernisent, comme le Musée de la Poste, rouvert au public fin 2019 après six ans de rénovation, qui présente ses collections sous une forme totalement nouvelle. Le statut patrimonial de l’architecture du musée est particulier : il évolue au même rythme que celui-ci, mais de quelle façon y est-il amené ? L’évolution des musées passe par les différentes expositions qu'il abrite : expositions temporaires et collections permanentes. Quelle est la relation entre les deux et quels enjeux pose-t-elle ? Toutes ces questions et biens d’autres seront abordées lors de cette conférence.
Cette conférence sera animée par Simon Texier, professeur d'histoire de l'art contemporain, Frédéric Jung, architecte, Martine Morel, responsable de la communication du Musée de la Poste et Camille Gehin, directrice des projets de Poste Immo, filiale immobilière du groupe La Poste.
Cette conférence est organisée à l'occasion de la sortie du livre "Le Musée de la Poste, chronique d'une transformation", aux éditions Archibooks.
Auditorium du Musée de la Poste
34 boulevard de Vaugirard, 75015 Paris
Présence à confirmer à l'adresse : c.caranobe@bookstorming.com
La fabrication du luxe

La conférence annuelle de COSTUME, comité international de l'ICOM, qui devait se tenir du 29 juin au 3 juillet 2020 au Château de Versailles sur le thème "La Fabrication du luxe" a été annulée.
Une nouvelle date sera prochainement annoncée.
Thématique
Dans la mode, le luxe est tout d’abord associé avec les plus riches. Rois, princes et aristocrates rivalisaient grâce à leurs vêtements indiquant directement leur statut et leur fortune. Cependant, chacun, même quelqu’un de pauvre, avait sa propre conception du luxe auquel il aspirait. Pour une dame de la cour un châle en cachemire de la meilleure qualité était un luxe, tandis que pour une femme de la classe moyenne un châle de coton brodé imitant le châle de cachemire pouvait être l’objet de luxe. Le château de Versailles est le meilleur endroit pour approcher les aspects variés de la création, du luxe et de la mode.
- Concurrence entre monarques, ou comment éclipser les autres ?
- Luxe et extravagance
- Matériaux luxueux, techniques sophistiquées et innovations au service de la mode
- Les réseaux et circuits de la production du luxe, commerce et consommation
- Le luxe de tout un chacun, copies et imitations de vêtements luxueux et d’accessoires de mode
- Comment s’habiller pour l’église ou la fête du village ?
Information et contact : corinne.thepaut-cabasset[a]chateauversailles.fr
Petits Spécimens 4
Rendez-vous annuel du Signe avec son jeune public, les écoles, les familles et tous ceux curieux de découvrir le graphisme sous un aspect ludique, cette exposition participative vous propose littéralement d'entrer dans les livres !
Le Signe ouvrira la 4e édition du parcours jeunesse, intitulé Les Petits Spécimens, avec les Éditions du Livre. Cette maison d’édition indépendante basée à Strasbourg publie des livres d’artistes pour enfants réalisés par des illustrateurs, artistes et designers graphiques.
Les ouvrages traitent de la relation comme forme établie entre un objet de consultation et son lecteur. Alexandre Chaize, fondateur des Éditions du livre et commissaire de l’exposition parle d’une « poétique de la manipulation de l’objet-livre dialoguant avec son contenu »; pour lui : « La forme du livre, c’est le fond ».
Le Signe propose à cette occasion un parcours dans l’univers de ces livres-objets devenus installations à taille humaine. Les visiteurs y découvriront une matriochka, des animaux, des légumes, des fruits et d'autres surprises tout en couleurs !
Conservation-restauration et environnement : Adaptons nos pratiques !
À l’heure où les enjeux environnementaux et les effets du changement climatique remettent en cause nos comportements et conditionnent les nouvelles politiques publiques, qu’en est-il dans le domaine particulier de la conservation-restauration des biens culturels ? Comment conjuguer la préservation du patrimoine et la protection de l’environnement ? Comment adapter les pratiques, afin de mieux répondre à l’ardente obligation du développement durable ? Quelles éventuelles contradictions se dessinent et comment les résoudre ? Autant de questions que cette 10e édition anniversaire des journées professionnelles abordera.
Organisées par la Direction générale des patrimoines du ministère de la Culture en partenariat avec la Cité de l’architecture & du patrimoine et l’Institut national du patrimoine,
les dixièmes journées professionnelles de la conservation-restauration rassembleront une trentaine d’intervenants qui feront état de leur réflexion et de réalisations récentes, dans tous les champs patrimoniaux (archéologie, archives, musées, bibliothèques, monuments historiques) tant sur le patrimoine ancien que contemporain.
Inscription gratuite, mais obligatoire.
Ouverture des inscriptions : 12 février 2020
Clôture des inscriptions : 12 mars 2020
Archives actualités
Musées et développement local

S’appuyant sur le partenariat ICOM-OCDE, qui vise, entre autres, à fournir des lignes directrices pour un programme de développement local à l’intention des gouvernements, des communautés et des musées locaux, mais aussi à accroître la « force de transformation de la culture », ce numéro propose des exemples des efforts consentis par les musées pour répondre à quelques-uns des problèmes sociaux, économiques et environnementaux les plus urgents de notre époque.
Des auteurs originaires du Royaume-Uni, des Balkans, de Croatie, de Grèce, de Finlande, d’Italie, de Pologne, du Canada, de Colombie, du Pérou, du Nigeria et du Pakistan illustrent les nombreuses façons dont le développement local et communautaire peut être traité, depuis l’approche sur le terrain jusqu’à la sensibilisation et l’intégration des communautés, en passant par les interrogations sur la mise en œuvre des objectifs de développement durable des Nations unies. Comme le montrent ces exemples, la résilience des communautés, leur bien-être et le développement d’un sentiment d’identité sont autant de questions qui sous-tendent le travail collaboratif mené par les experts du patrimoine et par les membres de ces communautés.
Les membres de l’ICOM peuvent accéder gratuitement à l’intégralité du numéro sur leur espace membre, sur le site internet de l’ICOM.
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